Alioune Aidara Sylla
Macky Sall ordonne la libération d’Aliou Aidera Sylla.
« Sacci deundeu yombna wayé fokoy tegué mo diafé », en terme clair, cela signifie que voler un tam-tam est une chose, mais le battre, c’en est une autre. Le spectacle permanent continue pour amuser la galerie !
Pas de médiation « fénal », ni de redressement fiscal d’aucune sorte ! La justice doit laver publiquement et solennellement son honneur bafoué pour le blanchir à jamais !
Manifestement, Macky Sall, « le petit Staline sénégalais », apparaît nettement comme le seul justicier, libère qui il veut, quand le veut, n’est qu’un vil despote fraudeur au plus haut sommet de l’état personnalisé, métamorphosé en entreprise unipersonnelle, familiale.
Je continue à dénoncer les simagrées burlesques d’un gangstérisme d’état, comme système de gouvernance, à défaut de masquer son inadvertance ou de prouver les preuves matérielles de la culpabilité d’Aliou Aïdara Sylla, l’ancien député libéral, chef d’entreprise, président de la communauté rurale de Thilmakha, arbitrairement détenu, cherche une porte de sortie, à la seule fin de se dédouaner indignement.
Les mensonges cousus de fil blanc sur fond de rancunes mal placées des rapines politiques, résultent incontestablement des règlements de compte d’un banditisme d’état sponsorisé par le premier d’entre eux, en l’occurrence, Macky Sall, d’apparence respectable, n’est qu’un pickpocket de classe exceptionnelle, faussement peint sous les oripeaux victimaires, est étrangement transmué en obscur multimilliardaire des noirceurs par le raccourci politique avec ses grosses cylindrées sorties de terre on ne sait et comment, sans compter son patrimoine si gigantesque, au point qu’il s’autorise par l’indécence à blanchir sa fortune si immense qu’il place lui-même dans les paradis fiscaux et à l’abri de tout regard indiscret. Un combe du comble !
En vérité, Aliou Aïdara Sylla, accusé sous le fallacieux soubassement de blanchiment d’argent, d’escroquerie, association de malfaiteurs n’est qu’un vaste tissus de mensonges grotesques d’un état voyou, qui ne s’encombre, outre mesure, d’aucune moralité probable ou probante.
Les moyens peu orthodoxes d’une politique totalitaire, sont substantiellement conformes à un pouvoir ethnique, pithiatique, peu éthique, est fondamentalement autoritaire par les preuves de salissure effroyable.
Que vaut donc tout ce matraquage de la percussion politico-médiatico ethnique, frisant la démesure de l’aigreur d’une gouvernance de l’arrogance suffisante, cet enfumage classique qui nous donne la mesure d’une soustraction totale du politiquement incapable, face à ses contradictions les plus criardes.
La prétendue bonne gouvernance de pacotille n’engage que leurs auteurs, qui ne sont point à la hauteur. Le discours décousu, ne peut être de l’argent comptant. La sémantique « Bonne gouvernance » en dit long sur la culpabilité matérielle avérée des incubateurs de telles inepties. Que cela ne tienne, il n’y a rien qui tienne ! Du début jusqu’ici, tout est faux, c’est une lamentable escroquerie de basse facture.
Le peuple, dans son ensemble, est largement édifié sur la vraie nature d’un totalitarisme désuet, qui crée lui-même les preuves réelles et les conditions obligatoires de sa propre chute programmée, de sorte qu’il y soit enterré de la façon la plus remarquable du monde pour le bonheur du peuple grugé. C’est ça qui est rassurant, en fin de compte !
Le combat continue !
Ahmadou Diop
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