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diop-ahmadou-renaissance Panafricaine-Journal-liberté-démocratie- Patriotisme-le Sénégal : demain, c’est maintenant !

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Blog Cris le 26/08/09. Ancien pensionnaire du Prytanée militaire Charles Nchoréré de Saint-Louis du Sénégal. Écrivain-Chroniqueur. Recueil de poèmes "Vaincre" aux Editions Saint-Germain-des-Prés à Paris 1991 [France]. Auteur chez Edilivre-Avril 2012 : Collection Classique/Essai/Etude Politique/ Sénégal. Actuellement, résident à Bordeaux. Il est actuellement le coordonnateur de la Conscience patriotique pour le Changement au Sénégal -CPC- ״XAM SA REW - BËG SA REW - JARIÑ SA REW״ -Pour une Nouvelle République Sénégalaise [NRS], saine, démocratique et transparente, la vraie de l’ivraie ! Un fonctionnaire si riche, multimilliardaire des ténèbres des postes politiques aléatoires de nomination Tan Sa bula Nex- n’est jamais synonyme de patriotisme.


L’arrogance de la servitude de référence ou le symbole de l’avilissement. Par Ahmadou Diop

Publié par Ahmadou Diop sur 21 Mars 2015, 01:01am

L’arrogance de la servitude de référence ou le symbole de l’avilissement. Par Ahmadou Diop

A l’exception de la radio Sunuker FM, la première Africaine en Californie la plus crédible par son patriotisme agissant et son nationalisme bien agencé, plus de doute possible sur le reste, qui se tient en carpe, qu’on le veuille ou non. ! Que cela plaise ou non, nous n’avons plus de médias professionnels, ni de presse responsable, faisant preuve de dignité et de déontologie, mais de piètres serviteurs, corrompus, intervertis « en doungourous » sémillants, lamentables, corvéables et crevables à merci pour un sou.
Décidément, une certaine presse de caniveau peut-elle faire l’économie des traitres coalisés, dont les accointances avec des lobbies et des oligarchies internationales financières tapies dans l’ombre sont si ténues, au point que nous passons notre temps à n’élire que de piètres médiocres en lieu et place des vrais patriotes ?
On inverse ridiculement les rôles pour amuser la galerie. Le miracle n’aura pas lieu depuis le regrettable soir du 25 mars 2012. Le lynchage médiatique harnaché par le totalitarisme masque les charrettes des scandales infinis d’un régime népotique, pourri. C’est le moins que l’on puisse dire, car le délire total d’une presse de service, embrigadée et déchainée, attend le retour de l’ascenseur programmé, après s’être mise dans le cambouis.
Pendant ce temps, l’amateurisme gouvernemental sur les questions sociales, cruciales, en particulier, les nominations hystériques aux relents ethniques et les marchés de gré à gré sans fin, tente de blanchir son brutalité abracadabrantesque pour se faire une bien maigre santé peu honorable.
En vérité, plutôt d’informer librement les citoyens, conformément à la liberté d’expression, inscrite de marbre dans la constitution, une certaine surabondance stérile, prend le contrepied l’esprit républicain, se transforme vulgairement et de façon systématique, en machine de propagande, mécanique infernale, dont l’objectif premier reste, bien évidemment, la désinformation et la manipulation, tendant à couvrir par la ruse, le nouveau élu falsificateur et sa cohorte corporatiste, à dessein de tromper, embrigader tout le peuple présumé amnésique.
Décidément, pour une certaine presse de chorégraphique aux ordres, déchainée, envoyée aux charbons et sur l’autel d’un autoritarisme décapant, obéit servilement, pour plaire, espérant ainsi, piteusement, un retour sur investissement. C’est ça aussi la singularité d’une certaine presse pressurisée, vassalisée jusqu’à la lie, abdiquant par consentement, qui se déculotte, se défausse, se déshonore publiquement et affreusement, en se convertissant en machine propagatrice ordurière, passe sous silence les forfaitures d’un régime agonisant, corrompu, clientéliste.
Quand la bassesse de l’abondance fait totalement abstraction à l’interdiction de manifester devant l’ambassade de la France, pendant que Jean Félix Paganon s’incruste lui avec arrogance et condescendance sur les affaires sénégalo-sénégalaises, cela prouve tout simplement que nous avons des désolants au plus haut sommet de l’état.

Une offense contre tout un peuple debout, qu’on continue à abreuver d’injuries colonialistes pour les assujettir à jamais.

Dire que nous n’avons que des pantins et des valets, résulte incontestablement d’un euphémisme. « Si vous n’êtes pas vigilants, les médias arriveront à vous faire détester les gens opprimés et aimer ceux qui les oppriment », déclarait, remarquablement, le leader noir, très charismatique, Malcom X, assassiné le 21 janvier 196, lors d’un meeting à Harlem.

Aujourd’hui, nous sommes bien de plein pied dans ce cas de figure au Sénégal, lequel est tombé plus bas malgré son apparence.

Immixtion de l’ambassadeur français, jean félix Paganon sur les affaires sénégalo-sénégalaises, tandis que Macky, himself, pro consul, donne ordre à son préfet d’interdire la manifestation prévue devant l’Ambassade de France à Dakar. Une insulte additionnelle au même peuple. Un comble du comble de la soumission totale. C’est bien les preuves de la république des cancres indigènes nègres de service.

La profusion nauséabonde propagandiste de la tartufferie prête dangereusement allégeance à un despote, traitre, faussaire de naissance. En effet, sous ce nullard, on aura tout vu, tout entendu, puisqu’on tente d’inculquer à petites doses aux citoyens sénégalais, le « niak jom » et la déchéance généralisée des consciences érodées. L’attitude scandaleuse de servitude fait l’apologie de la tyrannie et y trouve un enthousiasme surprenant, pourvu qu’elle soit, elle seule, arrosée de billets de banques volés dans la poche du contribuable. Nous sommes plus que jamais menacés. Le matraquage ordurier se produit pitoyablement en spectacle, consent ridiculement par sa bassesse et son immoralité, prête le flanc face à un fasciste, dont la trahison manifeste n’échappe plus à personne. En vérité, qui contrôle la presse, contrôle nécessairement tout le peuple.

Ahmadou Diop, leader de la Conscience Patriotique pour le Changement au Sénégal/CPC

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