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diop-ahmadou-renaissance Panafricaine-Journal-liberté-démocratie- Patriotisme-le Sénégal : demain, c’est maintenant !

diop-ahmadou-renaissance Panafricaine-Journal-liberté-démocratie- Patriotisme-le Sénégal : demain, c’est maintenant !

Blog Cris le 26/08/09. Ancien pensionnaire du Prytanée militaire Charles Nchoréré de Saint-Louis du Sénégal. Écrivain-Chroniqueur. Recueil de poèmes "Vaincre" aux Editions Saint-Germain-des-Prés à Paris 1991 [France]. Auteur chez Edilivre-Avril 2012 : Collection Classique/Essai/Etude Politique/ Sénégal. Actuellement, résident à Bordeaux. Il est actuellement le coordonnateur de la Conscience patriotique pour le Changement au Sénégal -CPC- ״XAM SA REW - BËG SA REW - JARIÑ SA REW״ -Pour une Nouvelle République Sénégalaise [NRS], saine, démocratique et transparente, la vraie de l’ivraie ! Un fonctionnaire si riche, multimilliardaire des ténèbres des postes politiques aléatoires de nomination Tan Sa bula Nex- n’est jamais synonyme de patriotisme.


Chronique : Spécial Macky Sall, le récidiviste « bénit » ses reniements (…) Par Ahmadou Diop CPC

Publié par Ahmadou Diop sur 5 Janvier 2016, 16:10pm

 Chronique : Spécial Macky Sall, le  récidiviste «  bénit » ses reniements (…) Par  Ahmadou  Diop CPC

 Macky Sall  sait dans son for intérieur, qu’il  a  bel et bien volé  toutes  les ressources et  tout l’argent de l’état  sénégalais, qu’il  a partagés  avec son clan, en particulier,  avec  son frère, Aliou Sall,  veut  absoudre ses forfaitures  suintantes et utiliser les mécanismes douteux par l’entregent des institutions qu’il tient absoument à asservir pour sa propre cause .  Celui  qui n’a rien à se reprocher, est impatient d’organiser des élections présidentielles, transparentes, démocratiques,  libres et  à date échue.

Depuis le regrettable soir, du 25 mars 2012, comme toujours, Macky Sall,  qui est  fidèle à lui-même,  car à chaque décembre,  rien n’y fait.   L’histoire se répéte, puisque  le notoire « affairiste Pétain Noir » est  devenu  depuis belle lurette, le charlatan qu’il  reste, se transforme  radicalement de plus  en plus  un  « Guissané kat »-  niengo-  l’homme décomplexé  de la magie noire,  ne déroge point à la régle, nous habitue  d’une compilation  de chiffres alignés, totalement bidon.  Les sénégalais scotchés épileptiques perdent leur «Cocc Barma». « Un conte  de fée ou magnétisme divin »,  que j’ai publié, le 18 Août 2012.  

 L’homme de  la surcharge pondérale  a bien  une  peur bleue d’être poursuivi, demain,  devant les  tribunaux libres et indépendants.  C’est bien cette épée de  Damoclès qui pèse sur sa  têtte, comme tout lâche de  son espèce. Comme dit l’adage, derrière un menteur, surtout professionnel de classe exceptionnelle, se cache  toujours un voleur.

Naturellement,  la majorité  des sénégalais qui   ont déchanté, sont  heurtés,  estomaqués, scandalisés, stoïques,  indignés  choqués et outrés devant les esclades massives  à répétions de Macky Sall, lequel est  passé  le maître  de classe exceptionelle des menteries inflationnistes.  Les  sénégalais  sont  déçus de l’homme, présumé de la rupture- tous  « diaxlé ».

Le  Farba de  la françafrique,   le manipulateur - « wendi ay cadom »-  embellit son bilan  catastrophique,  calamiteux-  veut nous faire croire  d’un  Sénégal  qui brille.  Un portrait idylique de la gouvernance ethnique, totalitaire, sans éthique, ni équité  dans  laquelle  les mensonges sont devenus une norme.

Macky qui s’était  bien engagé à réduire non seulement  son mandat  présidentiel  de  7  à 5  ans,  dés les premiers mois de sa magistrature,  mais  cerises sur le gâteau,  avait certifié la baisse des denrées de première nécessité qu’il avait pourtant  promises,  sont oubliées.,  fait volte-face et  donc  s’est  donc  désengagé,  à faire faux bond   aux sénégalais . Il s’est  résolu à les trahir publiquement.

Pire, l’homme des galéjades, s’est dégonflé affreusement à la place publique, en particulier, la  rupture totale,  sobre, vertueuse, efficiente, et transparente, le principal thème de sa campagne électotorale. Une incongruité qu’on ne saurait passer sous silence.

Alors, le  Sénégal   sera-t-il, alors,  donc  au rendez-vous  de  l’histoire  et   à l’épreuve  de  la légitime  défense  contre «  l’affairiste Pétain Noir », MackySall, le guignol, traitre nègre de service ? 

Demain, c’est maintenant !  Battre le fer tant qu’il est chaud.  Ne jamais reporter  ce qui est bien possible maintenant,  pour entrer  dans l’histoire, à l’instar du balai  citoyen du pays des hommes intégres.  

Sans la liberté, on ne peut  rien construire  de  solide.  Entre  l’esclavage et la liberté, il n  y a qu’une seule  option réalisable,  rationnelle,  c’est celle de la  légitime défense,  face à l’impunité. La république des  fripouilles  ne peut  faire l’histoire du Sénégal.

Juridiquement, politiquement,  Macky Sall  n’a nullement les prérogatives  légitimes   de consulter le président de  l’Assemblée national et celui du Conseil constitutionnel sur la question.  Tous les deux sont arrimés et sous botte du tyran de  la  platitude  du  félon  Farba  de la Françafrique en chair et en os.

En clair, il n’appartient  pas à l’Asemblée Nationale et au Conseil constitutionnel de trancher sur la question du référendum.  Le calendrier  républicain prime sur tout le reste.

Selon l’article 27 de la constitution,  la réduction du mandat présidentiel  ne peut être modifiée  que par voie référendaire.

Le calendrier républicain  est supérieur  aux  intérêts partisans mesquins, crypto-personnels.

En  aucun cas, il n’est écrit de marbre  dans la constitution  qu’il  incombe à l’Assemblée Nationale,  encore   moins  au Président du Conseil constitutionnel de trancher sur la question  vitale, concernant le référendum en  lieu et place des sénégalais.

Décidément,  le  symbole  paranoïaque, Macky Sall,  choisit  le mois de  décembre,  pour bénir, blanchir  ses  propres  simagrées  et  échappées  torrides !

Cloué  de s’être enrichi illicitement,   Ousmane Ngom, qui   a transigé dans le secret des dieux  par  la  médiation pénale—   Fenal—  passe à la caisse. Révélations de haute facture  du Grand journaliste  d’investigation, Baba Aïdara,  gros calibre de la bonne plume alerte.  CEY SUNU  Rewmilé !

 « Léguétu  kessé naxut ay bëy ».,  autrement dit, la calebasse vide ne saurait tromper la vigilance des chèvres. 

Macky Sall sur l'affaire Samuel Sarr : « Que personne ne vienne me parler de médiation ». Retournement ou « Fen di dadialé ? ». Comme par harsard, Ousmane Ngom, Samuel Sarr et Madické niang, Macky a levé leur interdiction de sortie sur  une simple  décision administrative du chef de l’exécutif -« Takhrip »- fait  ipso facto  de  jugement,   sans que les juges  ne puissent trancher.  Pendant ce temps,  le député,  Omar Sar, qui n’a pas  voulu  transvaser  à la loge maçonniqe, a été cueilli chez lui à 5 heures du matin.

 Ousmane Ngom, ex ministre de l’intérieur, déclarait sans  ambiguïté    en novembre  2012 : «  Macky Sall  a fait preuve d'un grand banditisme financier »

 Les hommes politiques  changent  selon la météo du  moment.  Il  ne suffit pas  de faire de beaux discours.   Ce  qui    compte,  ce sont   les  actions concrétes, directes, palpables et visibles  sur le terrain  Est-ce donc   le cas d’espèce ?  Ce type est-il  vraiment  un batrométre crédible ?  Tous sont imbus de leurs propres personnes, ne roulent  que pour leurs intérêts  mesquins.

Certainement  pas.  Les discours  verbeux — « du  réchauffé » —  entrent en droite ligne  des  écrans de fumée, cosmétiques, dans lesquels  les effets d’annonce  stériles  par des  verbiages taillés, emphatiques, engendrent  l’unique   l’échafaudage  d’une  rupture écloppée.  Ce qui prime pour les citoyens, ce sont les réalisations, la gestion transparente  des affaires de la cité, dont l’éthique, l’équité  constituent le socle fondamental de toute réelle  à  l’épreuve des faits tangibles. 

 De  telles sorties  nauséabondes, sont lamentables. Mais  que voulez-vous ?   L’ancien ministre n’est pas un cas anodin, car  il y en a  beaucoup  à  la pelle sur le paysage  singulier  de la classe politique, désertique, antipatriotique  et  majoritairement. 

Le 31 décembre est-il  donc  devenu le puzzle  des mystifications  bénies à propensions,  chez Macky Sall,  le schizophréne,  symbole maléfique de  la   paranoïa ?

 Comme d’habitude, Macky Sall, le récidiviste  fourbe  chevronné,  bénit  une fois de plus  ses mensonges  le 31 décembre 2015 une incongruité abrasive. Plus il ment, plus, il  en rajoute des couches supplémentaires.

Par  Ahmadou  Diop CPC

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