À quoi joue donc le pédigrée singulier : « le petit caudillo sénégalais », qui est devenu si riche par les raccourcis politiques bruyants ?
Kii lumu NAR –lumuy Liguey ak lumuy tog lum ci diublu ?
Xalis rek lëbëgueu nguir njariñu bopam reck ak aw tureum.
Ci la Deuk Gudi ak Bëchek. lan moy yonam héxup diguenté arabyi ?
Am na bénène liguey bumu wara def ci Sunu rewmi. mooko war.
Déma tina Paris di yagar yagari ñu ti koy
Ndiguël lumu wara def diko womat.
Bet tuma ndax waxon nako ci sama Emission « Xew Xewi Rewmi » du mardi, intitulé : « Y aura-t-il encore « du Réchauffé » entre la France et ses Colonies d’Afrique ? Qui vivra, verra !
Comme par hasard, les enquêtes au canada sur les biens mal acquis qui portent des soubassements politiques, épargnent extraordinairement Macky Sall et Alassane Ouattara, tous les deux alignés, chouchoutés. Et on si regardait un peu plus du côté des Etats-Unis et les paradis fiscaux pour le cas des deux ?
Or, l’homme, qui est au sommet de l’état sénégalais, n’a jamais pipé un seul mot sur le pétrole et gaz du Sénégal.
Chez nous, quoique l’on puise dire, l’essence même de la fonction de député est galvaudée. Depuis l’installation du régime présidentiel, il n’y a pas de députés du peuple par le peuple et pour le peuple, mais des godillots et des marionnettes arrimés, agencés, agrégés, tous deviennent ou presque des tondus en permanence pour le président de la république.
Aussi bizarre que cela puisse paraître, une telle disposition n’est jamais écrite dans la constitution étrangère, moribonde, soit elle, comme si le député est l’agent prestataire du chef de l’état. C’est un déni de justice et de démocratie.
Le mode de scrutin majoritaire à deux tours tel qu’il est conçu, constitue une monarchie pour donner une majorité présidentielle parlementaire à l’assemblée nationale. C’est un impératif absolu, si nous voulons un véritable état de droit dans lequel la transparence tiendrait lieu de contradiction par les actions matérielles sur le terrain. Pour ce faire, il faudrait donc changer nécessairement impérativement la constitution et la remplacer par le régime parlementaire, à l’instar des grandes démocraties, tels que le brésil et les Etats- unis.
Nous n’avons que des institutions en panne, accroupies, sont taillées sur mesure pour le président de la république.
Les législatives des submersions cataclysmiques du 30 juillet 2017 ne visent en réalité que des abstentions de sorte que le scrutin majoritaire attribue une majorité parlementaire présidentielle : un scandale toxique, comme il en existe en Afrique des suffrages universels de pacotille.
Les enjeux électoraux législatifs sont de taille. Et pour cause. Car le mode de scrutin majoritaire à deux tours constitue immanquablement la principale clé de voûte d’une grosse escroquerie. Puisqu’en définitive, la dynamique politique du régime présidentielle donnera largement une majorité mécanique, absolue au président monarque de la république.
Les scrutins de pacotille portent incontestablement la marque de fabrique du président de la république.
Emmanuel Macron, son chef ne daigne pas se déplacer à Dakar – le voyage coûte cher, il appartient donc à l’Envoyé Spécial Colonial en Afrique, attitré à Dakar de mettre la main dans la poche. Le préfet est convoqué d’urgence, simultanément et de façon concomitante, presto illico, à Paris le dimanche dernier avec son homologue Alassane Ouattara, les deux chouchous de la françafrique, sous le couvert de la lutte contre le terrorisme.
Et la Rencontre Macky Sall- Netanyahou- ? A quoi bon ? Et à quelle fin ? L’obscurité continue – Le maquilleur a-t-il donc le courage de rappeler son ambassadeur en Israël à Dakar pour consultation et en réponse à l’occupation de la Palestine par Israël ? Tout se tient – historiquement, l’ambassadeur britannique juive à londrès a joué un rôle prépondérant pour la monarchie Abdel Aziz ibn Saoud- son rival= Ibn Rachid descendant du prophète.
En fait, il ne s’agit que d’un prolongement du colonialisme soft, que l’on peut décrypter le socle du dirigisme comme mode opératoire.
La France demande à l’ONU d’autoriser le déploiement d’une force africaine antiterroriste dans le Sahel ?
La lutte contre le terrorisme n’est-elle pas devenue un prolongement du colonialisme, au point qu’elle se passe de toute l’Afrique. Pour l’occuper durablement que cela s’avérera nécessairement.
Ce fut la même chose en Côte d’ivoire en 2011. Puisqu’à l’époque les bombardements tout azimut contre Laurent GBABO ont traqué dans ses retranchement jusqu’au palais d’un pays libre, qu’il occupait en tant que président légitime de la république .
Et pour ce faire, sous le fallacieux prétexte de protéger les civils, qui furent les victimes collatérales. Alassane Ouattara, arriva au pouvoir grâce aux fourgonnettes étrangères par les esclandres des coups de canon. Sous Alassane Ouattara, la Côte d’ivoire est-elle devenue un exemple de la démocratie ou un modèle ?
Face à ses incantations cataclysmiques infinies casseroles qui l’accablent, l’ensevelissent, le poursuivent à jamais dans son existence , dont il ne peut s’en dépatouiller, quoiqu’il puisse dire, à savoir d’abord les libertés fondamentales de conscience, qu’il foule du pied de façon récurrente, laissent apparaître nettement des manquements et des dysfonctionnements, que l’on ne saurait égrener; notamment le manque de transparence, de communication sur les ressources pétrolières et gazières du Sénégal, qu’il a bradées et distribuées de manière quasi gratuite à ceux qui lui tracent son chemin, et en échange, bien entendu, des services rendus réciproques.
Qui peut nier les intrusions, les contorsions et les collusions à grand tapage sur l’imbroglio arabe- entre l’Arabie Saoudite et le Qatar ?
En lieu et place des africains, la dynastie des Al Saoud autoproclamée, du haut de son piédestal, se s’arroge, charge et se substitue à eux pour trancher en lieu et place des sénégalais. En vérité, il ne s’agit que d’une récompense par son allégeance indéfectible à l’égard du wahhabisme.
Le Roi Salman, fait vent debout et envers contre tout le peuple sénégalais, pour saluer le leadership du Président Macky Sall et ses différents succès en Afrique et dans le monde ? Mon œil ! Une telle décoration attentionnée aussi paradoxale, ne nous engage pas nullement, nous les sénégalais ; ne vaut pas son pesant d’or, si ce n’est son caractère blasphématoire contre tous les sénégalais que l’on méprise et en les réduisant au silence.
Macky Sall rappelle son ambassadeur à Dakar au Qatar. Et le ridicule ne tue plus dans notre pays étrange et à a renverse. C’est parce que la monarchie saoudienne en a décidé autrement.
Qui a donc expulsé Karim Wade au Qatar, l’ancien super ministre du Ciel et de la Terre, si ce n’est au gré du roi et sous la bienveillance du chef de l’exécutif sénégalais ? Si le roi du Qatar a affrété un avion spécial à Dakar, c’est parce qu’il l’a bien voulu par entente directe. Y a-t-il donc des arrière- pensées politiques ? C’est un contre-sens.
Le rôle prétendument joué par le locataire de l’avenue Roume pour lequel le Roi du wahhabisme ne tarit pas d’éloges, n’est nullement une science infuse.
À quoi joue donc le piano-américano français, où le vocable de la françafrique ? Il s’agit de celui qui franchit de plus un nouveau palier- versus, saoudien, s’aligne mécaniquement sur les plates bandes du Wahhabisme, maintenant, quand on sait que le Géant du pétrole qui n’est pas une sainteté dans les droits de l’Homme, passe à la potence tous les vendredis par des exécutions sommaires des africains et des africaines, en particulier. C’est cocasse et surréaliste. C’est un secret de polichinelle of corse, comme disent les anglais.
La charpente d’une telle solidarité à la monarchie saoudienne nous renseigne éloquemment sur un soutien mu par des intérêts financiers en bandoulière en toute logique, et en retour certainement d’une brouette de riyals.
Autrement dit, les litanies monarchiques sont-elles si bien placées pour nous donner des leçons de moralité ou de pédagogie politique ?
Les tirs groupés, désordonnés, les alliances sidérantes contre –nature, à quoi s’ajoute la singularité de la démocratie familiale, étayée par les placements sans éthique , ni équité des fils de marabouts – ou la caste politico –religieuse par Macky Sall ont la sauce de la wadésie débridée Bis, donnent un avant goût des rapines savamment orchestrées.
Alors qu’en 2012, le parangon autoproclamé de la rupture cristallisait les esprits et le socle en faisait son ADN. Qu’en est-il aujourd’hui ?
La guerre des positionnements des uns et des autres sur fond des querelles d’arrière-boutique, de marchandages qui font rage, n’augurent rien de bon pour notre pays, d’autant plus que les législatives risquent à coup sûr de n’être qu’une simple formalité administrative.
Primo et tout d’abor, avant de vouloir promouvoir la paix, ailleurs, il faut que l’adjudicataire lui-même soit droit et qu’il donne les preuves matérielles chez lui.
Secundo, certes, décorer complaisamment son poulain est une chose, qui est sorti de terre on ne sait où et comment; mais lorsqu’il s’agit de prouver la matérialité des faits en bonne et due forme, c’en est une autre.
Les illuminés croient pouvoir tromper, dieu, le Tout-puissant, le miséricordieux, le Clément, le maître créateur de tout l’univers, mais une telle mission est vouée à l’échec.
Décidément, le burlesque envoyé spécial Colonial en Afrique, attitré et accrédité à Dakar, s’arroge le réfractaire de la démocratie dans son propre, détient exclusivement le triste record de l’outrecuidance, ne se prive de rien.
Lequel après avoir reçu sa gratification de chef des esclaves cousue de fil blanc pour son rôle soi-disant de la paix dans le Maghreb entre le Maroc et l’Algérie, n’y va plus sur le dos de la cuillère, est reçu à son tour en grande pompe par le Roi Salman d’Arabie Saoudite, qui lui décerne le wistam la décoration Roi Abdel Aziz.
Fondamentalement, l’islam dans son ses sourates et dans ses versets n’a jamais recommandé ni de près ni de loin le caractère sacré monarchique d’une famille, d’où qu’elle vienne et d’où qu’elle puisse appartenir.
À ce prisme là, on peut se demander ce que vient faire l’arriviste sur les règlements de compte entre l’Arabie saoudite et le Qatar, les deux frères ennemis ?
Alors, l’archétype, ou l’éternel naufragé, étonnant, n’en démord jamais, continue dans son sillage, tente toujours de trouver des pirouettes au nom d’une bouée de sauvetage décousue partout et par tous les moyens, croit pouvoir s’en sortir aisément, comme s’il bénéficie d’un philtre magique exceptionnel.
Encore une fois de plus, le même mercenaire, béni continue à faire parler de lui avec fracas, sur la scène internationale, tient mordicus à se faire une santé politique imaginaire par la petite porte sur le bourbier saoudo-qatari , dans l’espoir d’attirer l’attention de la communauté internationale, laquelle s’auto déclare faiseur d’opinion et de roi.
Pour marquer l’esprit, l’attitré soldat de la françafrique BËK NEK dans sa nature, ne se contente pas de se laisser ravir la vedette sur l’imbroglio de la sous –région, veut frapper encore fort pour se faire voir et se partager les dividendes politiques, rappelle bruyamment à Dakar son ambassadeur, Mamadou Sall , accrédité au Qatar, n’est rien d’autre que le frère d’Abdoulaye Sall, l’argentier présumé et le bras droit de l’apr , en provenance de Libreville, avait été cueilli avec diligence à l’aéroport International Léopold Sédar Senghor, pour blanchiment d’argent sale dans la nuit du samedi 24 et dimanche, 25 janvier 2009.
Pour rappel, l’affaire avait fait couler beaucoup d’encre à l’époque, il y a seulement 8 ans de cela.
Toutes les actions du pedigree portent systématiquement en bandoulière la puissance de l’argent pour n’importe quel prix. Chassez le naturel, il revient toujours au galop, n’est-ce pas ?
L’envoi de nos Diambars par la force comme des chairs à canon en Arabie saoudite et les faits historiques qui parlent d’eux-mêmes, sont têtus.
Car en Afrique, selon la conception étriquée de l’ethnocentrisme débridé, le pouvoir est une affaire de famille, de clan et d’ethnie, au point que tous les autres sénégalais, qui sont aussi bien fournis en matière de grise et en terme diplômes équivalents, avérés, voire même supérieurs avec des expériences plus prononcées , passent au second plan.
Puisque le symbole du népotisme qui est juge et partie, ne déroge jamais à la règle ethnique, édictée qu’on l’accepte ou non.
C’est pourquoi, nous disons tout haut et de façon audible que nous ne sommes pas ni naïfs, ni oublieux, ni des gueux, encore moins incrédules, même s’il nous prend pour tels que nous ne sommes jamais.
Alors que rien n’est sûr et tout incertain ou presque depuis hélas, le 25 mars 2012 au soir, pour que les législatives se passent et se fassent sereinement dans le règles de l’art et dans des conditions totalement optimales, transparentes et démocratiques; le robot, tonitruant , programmé, continue de filer du mauvais coton, fait du bruit pour rien, pour se faire distinguer encore un peu plus sur la scène internationale, en particulier chez les Saoud, les monarques autoproclamés, où les pétrodollars coulent à flot qu’ils distribuent à tout vent, pour corrompre librement, selon l’allégeance et l’agenouillement des uns et des autres Matelassés– de la trempe du versatile encombrant TALI ñarett- SOUKOU RAM DI DjEBOULOU par ses courbettes de bas étage. La fin justifie les moyens et peu importe qu’ils soient peu recommandables.
. Il faut le voir pour le croire. Il n’en a cure des intérêts supérieurs de la nation sénégalaise. Le calendrier régalien, républicain ne l’intéresse pas, qu’il relègue au second plan.
Ce qui l’intéresse, c’est son surmoi, c’est sa propre publicité, c’est sa propre personne imbue qu’il se fait de lui-même, c’est son égocentrisme ; c’est sa notoriété retentissante auprès des monarques saoudiens qu’il veut égaler par la dynastie des Sall Faye, des Timbo , des Gassama et Cie.
Au lieu de jouer le paillasson, les pantalonnades, ou les courbettes, le personnage curieux ferait mieux de donner l’exemple chez nous, avant de balayer ailleurs, alors que dieu sait qu’il y en a beaucoup à faire ici chez nous.
En effet, les liaisons dangereuses avec le wahhabisme ne peuvent développer notre pays, le Sénégal, au contraire, le mimétisme de la fourberie incommensurable et les gesticulations stériles aggravent sa dépendance dynamique, le vassalisent, l’avilissent davantage qu’elles ne l’aident en réalité.
Décidément, que ne ferait pas donc l’étrange imposteur, qui est totalement impopulaire à l’intérieur de notre pays, tient par la renverse à être apprécié à l’extérieur et croit pouvoir garder le pouvoir par la ruse, nous insulte par les faux bonds auxquels il nous a toujours habitués, depuis l’étourderie généralisée des sénégalais grugés, enfarinés à l’échelle nationale ?
C’est la règle ubiquitaire des nègres de service, tous asservis et tondus n’utilisent que des manières aléatoires, biscornues, pour arriver à leurs fins.
La quête d’une renommée internationale et sur fond de prestige n’autorisent pas tout.
Le suiviste mouton blanc, qui est aligné et présente sa solidarité au royaume saoudien, Macky rappelle son ambassadeur au Qatar, n’obéit qu’à un d’œil à l’ethnie wahhabite, pour faire plaisir à l’Arabie saoudite.
Que vient faire faire le Sénégal dans cet embrouillamini entre arabes ?
Le Sénégal a-t-il rappelé son ambassadeur à Riyad Dakar, suite à la condamnation à mort de notre compatriote, Mbayang Diop ? Dieu sait que beaucoup de Mbayang Diop, sont séquestrées, vivant en Arabie saoudite et à qui on arraché et confisqué leurs passeports. Cela constitue une violation flagrante des droits de l’Homme.
Sommes dans un monde à la renverse dans lequel l’hypocrisie tient lieu de diplomatie laxiste, et sur fond de clientélisme et d’allégeance vis-à-vis d’une dynastie, où l’impunité prime sur tout ?
C’est triste et regrettable ! L’Arabie saoudite peut-elle s’exonérer du terrorisme international de la sous région ? Qui est terroriste et qui ne l’est pas ?
Ceux qui ont crée et soutenu cette de toute monarchie ne vont jamais l’accuser même si elle est coupable-stratégie politique.
Le polarisme Arabie- Iran- sunnite- chiite- mon œil ! Ou la ruse géostratégique politique pour contrôler toute la sous région du Moyen-Orient ? Au nom des intérêts masqués, on dresse un camp contre un autre qui ne passe pas à la caisse ?
Évidemment, lorsque l’Arabie saoudite finance mécaniquement la démocratie mondialiste de l’arbitraire et de la tyrannie et leurs caniches, il va sans dire que ses parrains ne veulent rien entendre, ne veulent n’entendre rien, demeurent sourds et muets. Et le Qatar, qui fiance le sport, engloutit des milliards de dollars en hexagone, est accusé de terrorisme.
Toutes les monarchies pétrolières sont créées exclusivement et sous la bénédiction des mêmes puissances et non certainement pas par leurs peuples respectifs. Tant qu’elles obéissent machinalement, elles sont toujours bénies et auront de belles années devant elles.
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