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diop-ahmadou-renaissance Panafricaine-Journal-liberté-démocratie- Patriotisme-le Sénégal : demain, c’est maintenant !

diop-ahmadou-renaissance Panafricaine-Journal-liberté-démocratie- Patriotisme-le Sénégal : demain, c’est maintenant !

Blog Cris le 26/08/09. Ancien pensionnaire du Prytanée militaire Charles Nchoréré de Saint-Louis du Sénégal. Écrivain-Chroniqueur. Recueil de poèmes "Vaincre" aux Editions Saint-Germain-des-Prés à Paris 1991 [France]. Auteur chez Edilivre-Avril 2012 : Collection Classique/Essai/Etude Politique/ Sénégal. Actuellement, résident à Bordeaux. Il est actuellement le coordonnateur de la Conscience patriotique pour le Changement au Sénégal -CPC- ״XAM SA REW - BËG SA REW - JARIÑ SA REW״ -Pour une Nouvelle République Sénégalaise [NRS], saine, démocratique et transparente, la vraie de l’ivraie ! Un fonctionnaire si riche, multimilliardaire des ténèbres des postes politiques aléatoires de nomination Tan Sa bula Nex- n’est jamais synonyme de patriotisme.


Déloger le Berger Colonial et Son Co pédigrée, ou le Binôme : une exigence capitale non négociable ! Par ahmadou Diop.

Publié par Ahmadou Diop sur 4 Octobre 2017, 12:50pm

D’abord, faisons un peu  de géopolitique internationale pour comprendre le climat délétère international, qui a  atteint déjà son paroxysme exceptionnel.

Je veux dire l’homme des dérapages qui passe tout son temps à travers 

des tweets sévissent par saccades, distribue  allégrement   des bons et mauvais points  aux uns et aux autres à la planète entière ; comme si la politique se résume, se réduit exclusivement  à des Bisseps, ou pour jouir du pouvoir.

Même ses  premiers collaborateurs les  plus proches, les plus verbeux, les plus prolixes, ont  lâché du lest,  quittent le navire, tels Steve Banon-, l’homme qui a  révisé l’accord de l’uranium iranien,  se situe dans l’aile droite la plus extrémiste du parti républicain,  l’ultra conservateur illuminé , qui fut  très  chevronné, et  proche des milieux suprémacistes kulux klein blancs,  comme conseiller  spécial principal,  au près de Trump  a rendu les amarres, comme tant d’autres à la pelle.

Ce n’est pas le droit, ni la justice  qu’il défend, tout dépend de la poche des uns et des autres.

 Le rouleau compresseur fonctionne à la politique du double standard et à géométrie variable,  dégomme et gomme   certains pays qui figuraient sur la liste. Bizarre et ridicule.  Le soudan a est exclu des pays terroristes et le Tchad y est inscrit de marbre.

Et le nègre de service, le terroriste  ségrégationniste, ethnique, encombrant, prit les  devants, se rendit aux États-Unis, livre le pétrole à kosmos Energiy pour un sou,  échappe à la règle des pays non grata,  a signé la présence militaire permanente américaine u Sénégal, figure parmi les bons élèves du piano- américano-français.

Et Donald Trump, qui a suggéré de “virer ces fils de p….. qui ne respecteraient pas l’hymne national, traditionnellement chanté avant une rencontre sportive.

Le chanteur, l’icône  Stevie Wonder, est solidaire des sportifs, pose deux pieds à terre.

On se rappelle le discours  poignant du  Trump  qui   renvoyait  dos à dos les néo-nazis, les membres du Ku-Klux Klan ,  les groupes  suprémacistes blancs, identitaires américains  et les militants antiracistes,  sont des victimes,  tous venus pacifiquement, massivement , pour dénoncer  à haute voix  la présence à Charlottesville des défenseurs  de prétendue race supérieure blanche.

L’islam, ou  l’éternel bouc émissaire permanent, est  le  principalement visé directement,  bénéficie des mesures coercitives,  comme toujours,  en  passant par  la communauté noire américaine, l’Iran, la Corée du nord,  et j’en passe, car tout le monde  en  a  pour son grade.

 En effet,  le tonitruant ovni multimilliardaire,  se distingue et singularise dans le paysage  politique de l’Oncle SAM incarné par Donald Trump, l’américain, l’archétype suprémaciste blanc des invectives, des boutades, des sorties décapantes à couper le souffle, dont lui seul à l’unique secret, fait parler de sa personne  et continue de défrayer la chronique, depuis qu’il est arrivé au pouvoir par l’esclandre de ses dollars subversifs, sévit  sans répit, tant à l’intérieur de  son pays, qu’à l’extérieur des frontières américaines.  Plus aucun dirigeant du monde n’est à l’abri de rien ?  Des scandales qui n’en finissent, s’enchevêtrent les uns aux autres, jamais, d’autres reprennent aussitôt  leur droit, dans un pays qui est  surtout censé être  exemplaire en matière dé démocratie  et  de droit. C’est   un mandat qui commence mal  et sent le roussi, n’augure rien de bon.

Le Sénégal et toute l’Afrique sous tutelle coloniale enterrent, dénient volontairement  le statut  de martyr aux  résistants kamit, n’aiment pas ses héros, mais  à contrario, bénissent, idolâtrent ses nouveaux  traitres bourreaux  guignols, tous  encartés à la démocratie mondialiste de l’arbitraire et de la tyrannie.  Autrement dit, l’africain ne devient héros que lorsqu’il meurt.

Toute capacité de rappeler l’histoire glorieuse, emblématique des Grands Résistants  national est vue sous l’angle d’une monarchie rampante, pérenne.

Or, le comble du  paradoxe cataclysmique, veuille que le prétexte fallacieux d’un prétendu universalisme bidon,  au nom de l’immoralité de l’école de la codification fasciste, mette  en exergue des institutions étrangères  colonialistes, servent de référence,  dans lesquelles les racailles, minables, faussaires  s’érigent immanquablement  en institutions de la décadence.   En vérité, nous marchons à  contre sens de nos valeurs historiques, qui constituaient, jadis,  le ciment fédérateur.  L’actuel berger colonial au Sénégal symbolise par devers et contre nous tous la régression, mène inlassablement une politique  aux antipodes à nos valeurs traditionnelles.

La bande  des soi-disant  élites  politiques, désertiques, cartellisées   n’existe que de nom, ont toutes  trahi et failli à leur mission régalienne, ne s’intéressent qu’à elles mêmes, ne parlent que d’elles, ne travaillent que pour leur  propre promotion sociale,  crypto  personnel mesquin, oublient délibérément par leur égoïsme ceux qui sont morts pour la patrie.

Ne rien faire face  au dictateur et son clone si  plastique,  pathétique, c’est se soumettre,  consentir et abdiquer.

 Si nous  continuons à rester   dans passivité active  face au tyran,  qui nous insulte, nous met au pas,   s’accommodera de  la surenchère, fera    bénéficier davantage son frère de nouveaux grades décousus  et de privilèges abusifs.

Dans cette hypothèse plus que plausible,  si nous ne nous fera rien, le mal  endémique, ethnique, en pis, triomphera, encore. Qui vole un œuf, vole un bœuf.

 En terme clair, nous en avons eu déjà  d’abord un parfum  et un  avant goût, lors des comédies  municipales de 2014, notamment àSt Louis, pendant lesquelles le dispositif sécuritaire, impressionnant  de la police de la Stasi alignée, avait assiégé totalement la ville, pour introniser son beau-frère, faquin, Mansour Faye, en qualité de maire et de ministre de l’hydraulique et de l’assainissement.

 A la suite de ce scandale qui est toujours  resté dans nos gorges comme du plomb,  s’ensuivent  successivement la parodie référendaire –Deum  et les tristes  abominables  expériences, prouvées par les législatives Des Submersions Cataclysmiques, Des abstentionnistes et des maladies : un Sabotage savamment élaboré par Des Professionnels de l’Imposture.

Les résultats de piètre qualité sont connus  avec le braquage électoral permanent  aux  effets multiplicatifs en continu. 

Puisque pour ne rien arranger, le professionnel  menteur, profanateur dans l’âme, en met systématiquement, comme toujours, des couches épaisses avec le Retour sur l’esclandre d’un Remaniement Ethnique en Continu des Reniements, dans lequel le renégat, l’homme des décrets   repositionne  une fois de plus  par décret Présidentiel, son bras droit, qui n’est rien d’autre que son frère, le complice,  bien connu, n’a jamais rien  obtenu de lui-même.

Tout ce qu’il a entre les mains vient de son frère, qui est juge et partie. C’est idem pour Macky  Sall himsel. Il ne doit sa posture qu’à des postes de nomination Tan Sa Bula Nex, grâce à l’étourderie manifeste  de son mentor, qui n’avait rien vu venir.

Ne soyons pas donc surpris de voir cet homme, qui  s’est catapulté avec fracas  à la direction générale de  la caisse de dépôt, acquiert déjà   en sus des postes baroques, grâce à la bienveillance tacite de son complice, gravira, demain,  de nouveaux degrés,  tel le poste de vice-président de la république à la Ouattaracratie !

 Si toutefois  par malheur- nous ne le souhaitons- car  rien n’est exclu, le despote choisit  cette mégarde, personne ne pourra dira qu’il ne savait pas, alors que, maintenant,  nous savons  tous ce qui  ce prépare à petit feu, le traitre-pion nègre de service, ne déviera jamais de sa trajectoire, pour  parachever la démocratie des Bongo I,  Bongo II- des Eyadema I et II, etc.

Quand cela arrivera, il sera trop tard pour bien agir. Car il ne sert à rien de courir. Il faut partir à point.

L’axe colonial savait dans le secret des dieux que le pétrole  et le  gaz couleraient à  flot demain, pour eux, peignait  faussement  son poulain-mercenaire sous l’habillage des défroques victimaires des leurres n’avait d’autre objectif  majeur que de faire main basse sur toutes les ressources vitales  du Sénégal.

À cet effet, le nouveau expansionnisme international, capitaliste, versus Françafrique, Mafiafrique des larbins alliés de la trempe du traitre endurci, sous le couvert de la rupture éclopée, aveugle ses radars, ferme intentionnellement ses yeux et pour cause les dérives exponentielles, du régime qui est abonné Adukalpé – tortionnaire, délinquant, calamiteux, moribond, fantoche,  indigène, colonial,  cliniquement clanique, mis soigneusement  en place, n’excellant piteusement  que dans les coups bas et par le braquage électoral permanent, et  qui agit lamentablement  en toute impunité et à visage découvert, depuis hélas, le triste regrettable  soir historique du 25 mars 2012.

Ce qui intéresse de prime abord la démocratie mondialiste des leurres  de l’arbitraire et de la tyrannie,  ce n’est pas tant le droit inaliénable des peuples à disposer d’eux-mêmes, mais ne cherche qu’à sauvegarder sa propre survie menacée de faim.

 Car seul compte pour elle, leur propre droit à sens unique, économique, politique, financier,  militaire,  idéologique, ou tout simplement  la géopolitique internationale, dont le but est de contrôler  partout le monde, là où il y a du grain à moudre.

Pour arriver à leurs fins, les impérialistes hégémoniques agissent tous en concert et en harmonie, sans état d’âme  et  par entente directe,   développent  et appliquent systématiquement des outils domination à l’encontre  des pays où poussent  des ressources immenses, extensibles,  en particulier,  en Afrique des guignol, l’éternelle vache à lait tenue par des élites  nègresses  des courbettes, matelassées, ou  le Far west  désigné  des Cowboy,  qui agissant sans foi ni loi.

Déloger le traitre- pion, telle une huitre sur son rocher, tient  bien, demeure plus que jamais  sur les plis du  piano-Américano-Français,  devient nécessairement  un impératif.

Pour rappel, le Sénégal, notre pays,  que nous aimons tant, telle la prunelle de nos yeux,  ne peut pas sous aucun prix,échapper vraiment aux contingences mondiales, obligatoires, spécifiques à chaque peuple, pour assouvir son propre destin et opérer une véritable rupture totale.

Nous avons au sommet de l’état sénégalais des minables  traitres de naissance, combinards, multimilliardaires, chenapans, chapardeurs, vampires,   monstres des ventrus et joufflus, et dont l’indécence farfelue constitue absolument  un euphémisme sidérant.

La Françafrique n’a jamais trouvé portes closes ni au Sénégal, ni dans les 14 pays désignés sordidement  francophones.

 L’envoyé Spécial Colonial en Afrique, attitré et accrédité à Dakar, dénommé le  Pétain Noir en chair et en os,  plus connu sous  le caniche  de l’Occident est de loin  le chouchou de ses maîtres blancs.

Naturellement, celui qui contrôle les finances, contrôle nécessairement  les médias de la servilité, contrôle de facto tout le pays.

L’argent qui est faiseur de roi et d’opinions détermine en vérité les éternels cirques de pacotille. En politique tout se tient.

La culture de la trahison  l’emporte sur celle du patriotisme dans nos pays tenus d’une main de fer par des fascistes, préfèrent grossièrement porter la corde au tour de leurs, sont tous assistés matériellement  en toutes sortes de logistiques.

C’est la cigale et la fourmi.  Comme en témoignent  témoignent  éloquemment les livraisons d’armes et la médaille Coloniale à l’Américaine, en sus de sa Gratification de la légion d’honneur française en mars 2008.

Les deux se ressemblent textuellement  comme deux gouttes d’eau.

Dans ces conditions, nous n’avons d’autre choix que de le déloger  dans ses repères  en toute légitimité  et en toute conscience.

C’est la seule alternative possible qui tienne lieu de rigueur, pour en finir avec le laquais notoire et sa république de la racaille des garnements organisées en syndicat ethnique, familial indigne et pandémique.

L’Afrique est le seule continent au monde où les  tyrans tous des défroqués,  se travestissent allégrement  en capharnaüm  sont plus forts que leurs concitoyens.

Dans notre contient, la stature de président de la république autorise tout.  C’est un dieu sur terre.  L’immoralité est  un sacerdoce, une référence salutaire,  ubuesque, cataclysmique.  Il fait vent debout  envers et contre tout.

En Europe et dans les grandes démocraties, gouverner, n’est pas synonyme d’un chèque en blanc.

Mais ici, chez nous, c’est la règle érigée de la gouvernance moribonde, car le pouvoir est une affaire de clans et de famille en Afrique.

 Le Sénégal s’érige  le champion des donneurs des leçons est plus que jamais tombé bas qu’il ne l’était  hier, sous d’autres cieux.

L’arbitre et la tyrannie sont devenus des dogmes les mieux partagés dans les consciences abîmées, phagocytés, érodées, comme étant les normes bien  établies.

Direction de la Caisse des dépôts : Macky nomme son frère, s’en faut de tout, foule du pied l’éthique et l’équité  s’arcboute, persiste et signe continue ses nominations ethniques, familiales,  franchit des pas supplémentaires, fait fi de la morale, parachute une fois de plus son propre frère  de lait, le pâteux, fourbe, déjà maire, président des maires du Sénégal, président des élus locaux, banquier, administrateur de plusieurs sociétés,  devient maintenant le directeur  général des caisses des dépôts.

Sommes-nous dans que pays ? Sommes-nous des moins  que rien, pour que nous tous  soyons  soumis, pour n’être  que des sujets et les esclaves  du chef des esclaves nègres de service ?

Aujourd’hui, plus qu’hier, la sacro sainte loi d’une dynastie familiale de la dernière heure  consanguine, représentée par la cohorte indigne  d’une bande  de traitres, se  transforment  en Copédigrées, s’arrogent piteusement le label  consensuel contre l’ensemble des sénégalais, qui  apparaissent  tous  accroupis, se plient et se mettent garde-à-vous à la règle tyrannique ethnique, ségrégationniste, négationniste,  intégralement corporatiste d’apartheid.

Aujourd’hui, plus qu’hier, le Sénégal, le géant virtuel aux pieds d’argile,  démontre la capacité   de nuisance des félons abrutis,  tortionnaires, minoritaires,  sont plus structurés que la majorité des patriotes vaincus, renoue plus que jamais  avec le passé mortifère, complote  s’agenouille, abdique par son consentement réactionnaire  sur toute la ligne, face  à la république des chiffonniers alignés,  et des fripouilles, pouilleuses apparaissent  plus coriaces et plus tenaces jamais  que  tout le reste du pays réuni qui  se laisse dominer

Alors, place maintenant  à l’incongruité de  république  des potentats, guignols, caporalisés par le gendarme colonial, nous recolonise,  pille,  sévit plus bel que jamais,  rempile,  diligente tout  !

L’éternel, changeant  braqueur des parodies électorales  s’accroche telle une teigne  à ce qu’il sait faire de plus répugnant, dont l’incongruité  exceptionnelle, n’est  plus,  ne doit passer une seule minute au palais. Le renverser n’est plus un tabou.    Réveillons-nous  de notre torpeur et notre Masla, car nous  avons affaire  un usurpateur, maitre des scandales torrentiels, ubuesques.  En même temps, il nous tambourine avec son dialogue de piètre qualité, il ne recule devant rien pour maintenir abracadabra son prête-nom.

Croire qu’il changera, relève d’une illusion monumentale  tant qu’on le laisse faire, plus il  rempilera et en mettra des couches épaisses.

Macky Sall, le  vulgaire traitre  n’a plus sa place au palais, mais à Rebeuss. Il conviendrait  donc  absolument de le   déboulonner pour lui mettre les menottes.

Le pire malheur  qui puisse arriver à un peuple, c’est lorsque celui  voit le soleil, mais ne l’admet pas.

En lieu et place du pouvoir du peuple par le peuple et pour le peuple, nous  voyons  une dynastie  de la dernière heure, pathétique, pithiatique, qui  s’accapare de tous les postes les plus hauts de l’état.

Pourrions-nous rester les bras croisés, face à un abruti, pouilleux, incurieux, use et abuse  dangereusement de sa posture du moment, quotidiennement chaque jour que dieu fait,  imprime vaille que vaille sa tyrannique et par l’entregent de la force publique des fripouilles en bande organisée,  qui s’exécute bassement sur l’autel de l’égocentrisme horripilant, en échange de galons indus ?

L’histoire appartient aux bons et non à un capharnaüm de  moribonds, misérables, coalisés, encordés les uns sur les autres.

.L’ascension fulgurante d’Aliou Sall nous mène directement  ipso facto à la monarchie totalitaire.

Si nous n’agissons pas  dès maintenant,  en y prenant pas garde, l’intégriste politique ethnique  pourrait catapulter  le paresseux, l’opportuniste,  l’arriviste, gonflé, comme  le vice-président, à l’instar d’Alassane Ouattara,  qui a bien  nommé par la parodie référendaire de piètre qualité,  Daniel Kablan Duncan au poste de vice-président de la Côte d’Ivoire.

Tant que nous nous évertuons à rester dans somnolence, qui est source d’abdication et de couardise, petit a petit et à coup sûr,  le pâteux, gâteux mongolien, l’inculte, franchira de plus en plus des  paliers supplémentaires, pour créer la dualité voulue,  parentale, concomitante  ethnique.

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