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diop-ahmadou-renaissance Panafricaine-Journal-liberté-démocratie- Patriotisme-le Sénégal : demain, c’est maintenant !

diop-ahmadou-renaissance Panafricaine-Journal-liberté-démocratie- Patriotisme-le Sénégal : demain, c’est maintenant !

Blog Cris le 26/08/09. Ancien pensionnaire du Prytanée militaire Charles Nchoréré de Saint-Louis du Sénégal. Écrivain-Chroniqueur. Recueil de poèmes "Vaincre" aux Editions Saint-Germain-des-Prés à Paris 1991 [France]. Auteur chez Edilivre-Avril 2012 : Collection Classique/Essai/Etude Politique/ Sénégal. Actuellement, résident à Bordeaux. Il est actuellement le coordonnateur de la Conscience patriotique pour le Changement au Sénégal -CPC- ״XAM SA REW - BËG SA REW - JARIÑ SA REW״ -Pour une Nouvelle République Sénégalaise [NRS], saine, démocratique et transparente, la vraie de l’ivraie ! Un fonctionnaire si riche, multimilliardaire des ténèbres des postes politiques aléatoires de nomination Tan Sa bula Nex- n’est jamais synonyme de patriotisme.


Le Cartel étranger, servile et bien engraissé, peut-il empêcher la Disqualification du Label Ethnique ? Par Ahmadou Diop.

Publié par Ahmadou Diop sur 14 Mars 2019, 15:00pm

Dernier  Réglage : pas d’indécis, ni de cacophonie, nous ne devons encourir aucun risque, et  votons tous  massivement contre  le Mal du Siècle, Casseur- Voleur au Sénégal et ses lois  Confiscatoires à la Démocratie  obéissent toutes  à des  connotations  “NEDO KO BANDOUM“  ETHNIQUES !

LA MACHINE PROPAGANDISTE DE REFERENCE NE PASSERA  PAS, ET QU’ELLE  SE LE TIENNE,  SE LE DISE POUR DIT !

La trahison est source de bénédiction, plus les faquins en font, plus ils sont considérables, et  ont le vent en poupe, plus  l’impunité va crescendo, mieux  c’est.  À contrario, le patriotisme est synonyme  de désunion. Tout ethniciste déclaré, devient ipso facto un pro impérialiste, un consensus généralisé en Afrique des nègres  soumis à l’échelle continentale dite honteusement francophone.

La caste fédérale africaine à l’échelle continentale  plus  francophile  que kamitophile emprunte aussi le même chemin, pour exister, oublie sa raison d’être.Le  franc Cfa,  est une bonne monnaie à garder, dixit Macky Sall. Défendre le nazisme monétaire, c’est emprunter le discours de Senghor, selon lequel la colonisation est un mal nécessaire.

Comment des crimes peuvent-ils être  nécessaires ?  On marche su la tète.

Le  FCFA, est un crime contre l’humanité. Une insulte permanente contre nos mémoires  c’est aussi faire l’apologie des crimes.

 Lire « Coup d’Etat permanent : ou “les Vols Armés” des Eternels Mercenaires – Comploteurs. Par Ahmadou Diop « 

Toute l’Afrique des élites serviles, farandoles, reste le ouvert obscurci des marionnettes, sont dans cette logique de la  dépendance sismique. Il faut que cessent  le harcèlement les intrusions  et les incursions  cataclysmiques   des  asservis nervis, mandatés par la république guignolesque   des  proxénètes et  des  macoutes,  et dont l’objectif  diabolique est de  nature à  semer la pagaille,  à dessein de  faire peur  aux candidats  présidentiels   en lice, dont sont victimes  les journalistes. C’est  bien connu  dans la galaxie  de la Sale  Fédération Internationale des Autocrates Africains, Terroristes aux Ordres [SFIAO] tous restent sous soumis  aux lois  du  pré-carré colonial tout-puissant. !

Le revoilà de nouveau  le changeant,  avec  ses sabots promet  de plus qu’il n’en fait, Macky Sall : “Créer une banque dédiée à la diaspora”. Il a déjà crée sa propre banque- BMS- à son effigie. Pourquoi promettre maintenant, alors  qu’il avait toute  la latitude de la mettre sur pied ?

  Soyons vigilants,  le jour J avec les Procès verbaux dans tous les bureaux de vote, pour éviter tout effet de surprise peu ou prou !

À quelques mois du référendum -Deum en mars 2016, le changeant, déclarait sèchement : « personne ne peut lui tordre ses bras »

 Plus tard,  le renégat, le récidiviste en mettait une couche épaisse : «  ce n’est pas lui qui fait les  lois »

19 avril. 2018 : vote  de la loi  antidémocratique, visant à imposer aux candidats à l’élection présidentielle un parrainage de 0,8 % du corps électoral

 Un mensonge grossier parmi tant d’autres, puisque c’est lui qui  impose ses lois scélérates  à travers  son assemblage godillot interposé, a voté la loi  sur le code électoral par  120 députés de la majorité sur 165 parlementaires

L’opposition qui avait  quitté l’Assemblée nationale,  a été  criblée de grandes lacrymogènes. un déni de justice ne compte plus. Après Bassirou Faye,  voici la liste  funèbre  et provisoire  des victimes :

– Fatou Matar Ndiaye

–Abdoulaye Timéra

–Seck Ndiaye

–Pape Sarr

 -Fallou  Sène

-Ibrahima Mbow, mort d’une balle lors d’une émeute à la MAC de Rebeuss

– Elimane Touré

–Omar Watt

 Voilà  l’étrange grille de lecture  d’un voyou  qui ose parler d’un une démocratie absolue au Sénégal !

Drame de Tamba : La liste des 26 “gorilles” du Pur impliqués

 Une justice à deux vitesses  agit  en toute impunité et à sens unique,  est dans l’appendice du pouvoir foutoir. Circulez il  n’y a rien à voir !

Entre les déclarations supposées choquantes,   qui consistent à brûler 50 ou 70% des bureaux de vote,   et    le braquage électoral  programmé du Brigand, qui faut-il croire ?   Il n’y a pas de tète lucide. Le même flot étranger  a choisi son camp,  préfère-t-il  le coup d’état électoral permanent ?  En Afrique des fraudeurs nègres de services, les scrutins ne sont qu’une simple formalité administrative,  passe comme une lettre à la poste, comme tout le reste. Faut-il que wade tue son fils, pour qu’il soit crédible ?

 L’affluence- mercenaire de la débauche lointaine, paternaliste, n’a rien à faire ici, chez nous  et à qui on délègue le sale boulot.

 Aucun des candidats  n’a jusqu’ici entre ses mains le fichier de la discorde- « dieunde ndiane ci pax ». Il est sous bonne  garde du  conseil anticonstitutionnel,  qui est lui-même  l’auxiliaire du pantin.

 Personnellement, quand  l’hypothèse d’un problème, est  fausse, tout s’écroule. Abdoulaye Wade  déclare  que Macky Sall s’est  déjà proclamé vainqueur, a déjà  son  pourcentage 55 % ou 65 %, et donc  le coupable désigné, est le fichier électoral.  Jusqu’à preuve du contraire, Je lui donne un quitus.  

 Donc, la seule option qui vaille, Macky Sall,  quoiqu’il fasse des pieds et des mains,  il doit  perdre absolument  l’élection présidentielle du 24 février 2019  au soir ! C’est le seul  sens  raisonnable  de la consultation présidentielle ! À défaut, le planificateur des paroles dédites et des parodies électorales, qui  a déjà réécrit à maintes reprises le scénario, arrachera par devers sa propre victoire, si nous serons davantage  dans notre   somnolence.  Pas de risques à encourir  il  faut  que l’escroc  dégage à tout prix !  Il n’est  jamais fiable.

 Compte tenu du double fichier électoral et son caractère blasphématoire  et ses zones d’ombre, les médias endogènes, serviles, corrompus, taillables à merci,  se confinent  tous dans leur rôle de relais et  au profit  du régime fasciste capitulard, fantoche en place, se plieront comme à l’accoutumée à la règle des observateurs étrangers- leuco dermes douteux.

La sémantique « Bonne gouvernance » en dit long sur la culpabilité matérielle avérée  des incubateurs de telles inepties. Que cela ne tienne, il n’y a rien qui tienne. Tout est faux jusqu’ici, c’est une escroquerie de basse facture. Tenez-vous bien !  L’expression : «  le procureur spécial » emphatiquement mis en valeur est remarquablement parlante. Face à cette  surenchère d’une surabondance médiatico-politique, défroquée, loufoque, digne d’une tartufferie surréaliste, le sémiologue, scandalisé, éclaterait de rire devant ce spectacle amusant, pour divertir les sénégalais que l’on prend comme des  moutons tondus et librement astiqués.

En Afrique, « les meilleurs élèves « sont souvent des voleurs déclarés, non- déclarés. Avec une fortune qui s’élève à environ 2 millions d’euros, Macky Sall dépasse très largement le président français et ses quelques 1,17 million d’euros. C’est ça l’étrange pays des richesses  plus rapides que la vitesse du son et de la lumière.

Lundi 25 Juin 2012 :  trois mois près son accession au pouvoir, Macky Sall a choisi les colonnes de l’hebdomadaire  jeune Afrique, pour s’exprimer. Est-ce donc un hasard ? Allez savoir !

 JA : comment comptez-vous incarner la rupture promise, vous qui avez tout de même participé, comme ministre puis chef du gouvernement, au régime d’Abdoulaye Wade et compte tenu de votre marge de manœuvre économique et financière pour le moins étroite ?

Macky Sall : « La rupture n’est pas qu’un slogan »

« Visiblement, il vaut mieux ne rien publier et cacher son patrimoine. Cela attire moins de problèmes ».

 Hier, et  à 5 jours de la présidentielle du 24 février 2019, le Journal  attitré,  fait ses choux Gras, titre pompeusement : «  comment Macky Sall s’est placé en maître du jeu ? »

A quel fin et pourquoi ?  Fait-il preuve de neutralité ?  Que cache  donc  le plumitif  de référence présumée ?  Macky  Sall, est-il donc  le messie ? Qu’a-t-il fait-il des placements des amis, des griots,  de sa famille et de son clan dans toutes les structures de l’état, au point que les critères  de sélection  sont à l’aune des mêmes patronymes particuliers, bien sonnants ? Les réalisations coloniales sont-elles donc synonymes de patriotisme ? Ces  constructions expansionnistes sur commande n’excluent pas qu’il soit lui-même  un autocrate déclaré, en chair et en os, qu’il met en exergue et en bandoulière. C’est le propre de tout pirate.

La majorité des  sénégalais tombent des nues, manquent de tout, ne travaillent pas, ne mangent pas à leur faim, et sont privés en même temps  des soins de santé les plus élémentaires, pataugent dans la misère galopante et pandémique

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