Dernier Réglage : pas d’indécis, ni de cacophonie, nous ne devons encourir aucun risque, et votons tous massivement contre le Mal du Siècle, Casseur- Voleur au Sénégal et ses lois Confiscatoires à la Démocratie obéissent toutes à des connotations “NEDO KO BANDOUM“ ETHNIQUES !
LA MACHINE PROPAGANDISTE DE REFERENCE NE PASSERA PAS, ET QU’ELLE SE LE TIENNE, SE LE DISE POUR DIT !
La trahison est source de bénédiction, plus les faquins en font, plus ils sont considérables, et ont le vent en poupe, plus l’impunité va crescendo, mieux c’est. À contrario, le patriotisme est synonyme de désunion. Tout ethniciste déclaré, devient ipso facto un pro impérialiste, un consensus généralisé en Afrique des nègres soumis à l’échelle continentale dite honteusement francophone.
La caste fédérale africaine à l’échelle continentale plus francophile que kamitophile emprunte aussi le même chemin, pour exister, oublie sa raison d’être.Le franc Cfa, est une bonne monnaie à garder, dixit Macky Sall. Défendre le nazisme monétaire, c’est emprunter le discours de Senghor, selon lequel la colonisation est un mal nécessaire.
Comment des crimes peuvent-ils être nécessaires ? On marche su la tète.
Le FCFA, est un crime contre l’humanité. Une insulte permanente contre nos mémoires c’est aussi faire l’apologie des crimes.
Lire « Coup d’Etat permanent : ou “les Vols Armés” des Eternels Mercenaires – Comploteurs. Par Ahmadou Diop «
Toute l’Afrique des élites serviles, farandoles, reste le ouvert obscurci des marionnettes, sont dans cette logique de la dépendance sismique. Il faut que cessent le harcèlement les intrusions et les incursions cataclysmiques des asservis nervis, mandatés par la république guignolesque des proxénètes et des macoutes, et dont l’objectif diabolique est de nature à semer la pagaille, à dessein de faire peur aux candidats présidentiels en lice, dont sont victimes les journalistes. C’est bien connu dans la galaxie de la Sale Fédération Internationale des Autocrates Africains, Terroristes aux Ordres [SFIAO] tous restent sous soumis aux lois du pré-carré colonial tout-puissant. !
Le revoilà de nouveau le changeant, avec ses sabots promet de plus qu’il n’en fait, Macky Sall : “Créer une banque dédiée à la diaspora”. Il a déjà crée sa propre banque- BMS- à son effigie. Pourquoi promettre maintenant, alors qu’il avait toute la latitude de la mettre sur pied ?
Soyons vigilants, le jour J avec les Procès verbaux dans tous les bureaux de vote, pour éviter tout effet de surprise peu ou prou !
À quelques mois du référendum -Deum en mars 2016, le changeant, déclarait sèchement : « personne ne peut lui tordre ses bras »
Plus tard, le renégat, le récidiviste en mettait une couche épaisse : « ce n’est pas lui qui fait les lois »
19 avril. 2018 : vote de la loi antidémocratique, visant à imposer aux candidats à l’élection présidentielle un parrainage de 0,8 % du corps électoral
Un mensonge grossier parmi tant d’autres, puisque c’est lui qui impose ses lois scélérates à travers son assemblage godillot interposé, a voté la loi sur le code électoral par 120 députés de la majorité sur 165 parlementaires
L’opposition qui avait quitté l’Assemblée nationale, a été criblée de grandes lacrymogènes. un déni de justice ne compte plus. Après Bassirou Faye, voici la liste funèbre et provisoire des victimes :
– Fatou Matar Ndiaye
–Abdoulaye Timéra
–Seck Ndiaye
–Pape Sarr
-Fallou Sène
-Ibrahima Mbow, mort d’une balle lors d’une émeute à la MAC de Rebeuss
– Elimane Touré
–Omar Watt
Voilà l’étrange grille de lecture d’un voyou qui ose parler d’un une démocratie absolue au Sénégal !
Drame de Tamba : La liste des 26 “gorilles” du Pur impliqués
Une justice à deux vitesses agit en toute impunité et à sens unique, est dans l’appendice du pouvoir foutoir. Circulez il n’y a rien à voir !
Entre les déclarations supposées choquantes, qui consistent à brûler 50 ou 70% des bureaux de vote, et le braquage électoral programmé du Brigand, qui faut-il croire ? Il n’y a pas de tète lucide. Le même flot étranger a choisi son camp, préfère-t-il le coup d’état électoral permanent ? En Afrique des fraudeurs nègres de services, les scrutins ne sont qu’une simple formalité administrative, passe comme une lettre à la poste, comme tout le reste. Faut-il que wade tue son fils, pour qu’il soit crédible ?
L’affluence- mercenaire de la débauche lointaine, paternaliste, n’a rien à faire ici, chez nous et à qui on délègue le sale boulot.
Aucun des candidats n’a jusqu’ici entre ses mains le fichier de la discorde- « dieunde ndiane ci pax ». Il est sous bonne garde du conseil anticonstitutionnel, qui est lui-même l’auxiliaire du pantin.
Personnellement, quand l’hypothèse d’un problème, est fausse, tout s’écroule. Abdoulaye Wade déclare que Macky Sall s’est déjà proclamé vainqueur, a déjà son pourcentage 55 % ou 65 %, et donc le coupable désigné, est le fichier électoral. Jusqu’à preuve du contraire, Je lui donne un quitus.
Donc, la seule option qui vaille, Macky Sall, quoiqu’il fasse des pieds et des mains, il doit perdre absolument l’élection présidentielle du 24 février 2019 au soir ! C’est le seul sens raisonnable de la consultation présidentielle ! À défaut, le planificateur des paroles dédites et des parodies électorales, qui a déjà réécrit à maintes reprises le scénario, arrachera par devers sa propre victoire, si nous serons davantage dans notre somnolence. Pas de risques à encourir il faut que l’escroc dégage à tout prix ! Il n’est jamais fiable.
Compte tenu du double fichier électoral et son caractère blasphématoire et ses zones d’ombre, les médias endogènes, serviles, corrompus, taillables à merci, se confinent tous dans leur rôle de relais et au profit du régime fasciste capitulard, fantoche en place, se plieront comme à l’accoutumée à la règle des observateurs étrangers- leuco dermes douteux.
La sémantique « Bonne gouvernance » en dit long sur la culpabilité matérielle avérée des incubateurs de telles inepties. Que cela ne tienne, il n’y a rien qui tienne. Tout est faux jusqu’ici, c’est une escroquerie de basse facture. Tenez-vous bien ! L’expression : « le procureur spécial » emphatiquement mis en valeur est remarquablement parlante. Face à cette surenchère d’une surabondance médiatico-politique, défroquée, loufoque, digne d’une tartufferie surréaliste, le sémiologue, scandalisé, éclaterait de rire devant ce spectacle amusant, pour divertir les sénégalais que l’on prend comme des moutons tondus et librement astiqués.
En Afrique, « les meilleurs élèves « sont souvent des voleurs déclarés, non- déclarés. Avec une fortune qui s’élève à environ 2 millions d’euros, Macky Sall dépasse très largement le président français et ses quelques 1,17 million d’euros. C’est ça l’étrange pays des richesses plus rapides que la vitesse du son et de la lumière.
Lundi 25 Juin 2012 : trois mois près son accession au pouvoir, Macky Sall a choisi les colonnes de l’hebdomadaire jeune Afrique, pour s’exprimer. Est-ce donc un hasard ? Allez savoir !
JA : comment comptez-vous incarner la rupture promise, vous qui avez tout de même participé, comme ministre puis chef du gouvernement, au régime d’Abdoulaye Wade et compte tenu de votre marge de manœuvre économique et financière pour le moins étroite ?
Macky Sall : « La rupture n’est pas qu’un slogan »
« Visiblement, il vaut mieux ne rien publier et cacher son patrimoine. Cela attire moins de problèmes ».
Hier, et à 5 jours de la présidentielle du 24 février 2019, le Journal attitré, fait ses choux Gras, titre pompeusement : « comment Macky Sall s’est placé en maître du jeu ? »
A quel fin et pourquoi ? Fait-il preuve de neutralité ? Que cache donc le plumitif de référence présumée ? Macky Sall, est-il donc le messie ? Qu’a-t-il fait-il des placements des amis, des griots, de sa famille et de son clan dans toutes les structures de l’état, au point que les critères de sélection sont à l’aune des mêmes patronymes particuliers, bien sonnants ? Les réalisations coloniales sont-elles donc synonymes de patriotisme ? Ces constructions expansionnistes sur commande n’excluent pas qu’il soit lui-même un autocrate déclaré, en chair et en os, qu’il met en exergue et en bandoulière. C’est le propre de tout pirate.
La majorité des sénégalais tombent des nues, manquent de tout, ne travaillent pas, ne mangent pas à leur faim, et sont privés en même temps des soins de santé les plus élémentaires, pataugent dans la misère galopante et pandémique
Commenter cet article