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diop-ahmadou-renaissance Panafricaine-Journal-liberté-démocratie- Patriotisme-le Sénégal : demain, c’est maintenant !

diop-ahmadou-renaissance Panafricaine-Journal-liberté-démocratie- Patriotisme-le Sénégal : demain, c’est maintenant !

Blog Cris le 26/08/09. Ancien pensionnaire du Prytanée militaire Charles Nchoréré de Saint-Louis du Sénégal. Écrivain-Chroniqueur. Recueil de poèmes "Vaincre" aux Editions Saint-Germain-des-Prés à Paris 1991 [France]. Auteur chez Edilivre-Avril 2012 : Collection Classique/Essai/Etude Politique/ Sénégal. Actuellement, résident à Bordeaux. Il est actuellement le coordonnateur de la Conscience patriotique pour le Changement au Sénégal -CPC- ״XAM SA REW - BËG SA REW - JARIÑ SA REW״ -Pour une Nouvelle République Sénégalaise [NRS], saine, démocratique et transparente, la vraie de l’ivraie ! Un fonctionnaire si riche, multimilliardaire des ténèbres des postes politiques aléatoires de nomination Tan Sa bula Nex- n’est jamais synonyme de patriotisme.


Abdou Latif Coulibaly est tout simplement un homme d’honneur, d’exception par nature : dans son approche de journaliste d’investigation, après qu’il ait fait ses preuves, avec la publication

Publié par Ahmadou Diop sur 19 Novembre 2010, 19:06pm

diop

 

Un procès  cache toujours un autre pour le faire taire Qui arrêtera le fascisme débridé ? Harcèlement de l’honorable journaliste d’investigation, Abdou Latif Coulibaly, un acharnement infâme au compte d’un régime d’ignominie à l’agonie.

 

Abdou Latif Coulibaly est tout simplement un homme d’honneur, d’exception par nature : dans son approche de journaliste d’investigation, après qu’il ait fait ses preuves, avec la publication de nombreux ouvrages, entre autres, LE SENEGAL A L'EPREUVE DE LA DEMOCRATIE. Affaire de la Sudatel : Abdou Latif Coulibaly condamné pour diffamation dans son procès avec Thierno Ousmane sy, conseiller des nouvelles technologies du Président Abdoulaye Wade.

 

 

Il y a là, l’attitude tendancieuse d’une certaine presse de carpe, porte-parole, juge et partie, bien connue, le journal, le soleil, sous la plume de journalistes de caniveau, bien dévoués pour la cause maléfique d’un dictateur, complotant avec son fils si plastique, de notoriété publique.

 

Le 16 novembre 2010, le journaliste Abdou Latif Coulibaly a été condamné, avec deux de ses collègues, à un mois de prison avec sursis et 20 millions de francs CFA d’amende (environ 30 000 euros). Ce verdict ignominieux, illustre parfaitement une presse qu’on tient non seulement à museler pour les besoins du service, mais aussi à la mettre en laisse et d’une justice de carpe, corrompue, en coupe réglée au nom d’un fascisme déclaré dans les faits.

 

 

C’est bien le verdict d’une voyoucratie, dans les faits bien établis.

 

Ce procès ignominieux n’est certainement pas celui de l’homme d’honneur, ALC, mais celui d’un régime corrompu à scandales à répétitions.

 

Tous pour une mobilisation massive à la mesure de l’impunité pour défendre l’honorable journaliste !

 

Et la monarchisation en cours, parlons-en ! La Monarchisation du pouvoir : non merci, Monsieur le Président de la République, la "tandjanisation" ne passera pas, nous ne sommes jamais corvéables, encore moins des godillots indignes !

 

Dans l’hypothèse que nous laisserons faire le dictateur Abdoulaye wade, se présenter aux élections présidentielles de 2012, nous sortirons tous de l’histoire, pour n’y être à jamais entrés, quoique nous fassions, demain, face au péril de l’indécence et de l’indignité collectives; car nous n’avons pas été à la hauteur, pour en finir avec un simple homme insignifiant, historiquement. Comment un seul homme peut il défier tout un peuple un peu plus de 13 millions ?

 

N’est-ce pas là une illusion monumentale que de croire pouvoir enterrer tout un peuple en colère ? Même les plus éminents analystes politiques, qui soient, y compris les psychanalystes les plus confirmés, perdent leur latin de ce qu’il est convenu d’appeler le Talon d’Achille Sénégalais.

 

Pas un seul jour ne passe sans que nous entendions, des insanités, donnant la chair de poule, de la part d’un homme pour qui la république offre tout, et dieu, seul, sait que le même homme au passé comme au présent, aussi sombres que la nuit, ne trouve rien d’autre qu’à renvoyer, allégrement, le retour de l’ascenseur avec des déclarations plus que méprisantes, comme monnaie d’échange. Nit kii" fayout nar ba xoromom", en d’autre terme, celui qui est supposé nous gouverner, a trahi la conscience du peuple.

 

A ce titre là, il n’est rien d’autre qu’un modèle du terrorisme effronté, qu’il incarne, dans les consciences qu’il tient à éroder, dans les faits établis. Et la bête immonde, affolée s’emballe, à mesure que l’on s’achemine vers les échéances électorales. Les déclarations de guerre et les bourdes se corsent, à n’en plus finir.

 

Le rubicond a été franchi depuis fort longtemps. La cacophonie d’une opposition, incapable et stérile dans ses contradictions les plus effroyables, face à un chef de clan, ragaillardi dans son culot, renforce l’idée d’une anesthésie enivrante, qui nous donne la mesure d’un suicide collectif.

 

Nous sommes en sursis, à moins qu’un sursaut national mette un terme aux agissements insurmontables de celui qui se croit infaillible et surhumain. Abdoulaye wade, complice d’un complot ourdi par sa famille, confisque tous les pouvoirs, même l’armp n’échappe plus à la règle. Nous sommes, dans les faits, au cœur de la monarchie. Il devient le guichet automatique de la sous région, nomme un ministre chargé des affaires haïtiennes.

 

Le Sénégal n’attend plus rien de son ennemi principal. Aussi extraordinaire que cela puisse paraître, il est incontestablement l’écharde de la République. Une symphonie de tous les excès et scandales qu’on ne saurait égrener. Pour toutes ces raisons, nous n’avons d’autre choix que de reprendre du service, en franchissant un pas supplémentaire sous la signature de notre véritable nom.

 

Nous avions dit dans nos précédents articles, que le moment venu, nous nous exprimerons librement, sans compromissions ni compromis, d’aucune sorte, ici, et à visage découvert. Il vrai que karim wade nous défie, nous insulte et nous ignore, peu importe, le parapluie et les moyens d’Etat qu’il utilise, sans retenue, grâce à la complicité tacite d’un père, qui a bien choisi son camp, celui de la voie obscure, en réaction, aux agissements débridés, nous appliquerons la règle de la légitime défense, proportionnellement, à la mesure de l’impunité outrancière.

 

Dans l’hypothèse où karim wade était, aujourd’hui, le fils du sénégalais lambda, il n’y aurait aucune ambiguïté sur sa posture, à fortiori, de lui octroyer de tels portefeuilles qui dépassent de très ses capacités imaginaires. Désormais, tout n’est plus permis dans ce pays. A la guerre comme à la guerre. Car jusqu’ici, la retenue et l’humilité nous ont conduits à rester dans l’anonymat total pour éviter bien des amalgames.

 

Mais, l’accélération du calendrier monarchique, en cours, ne nous autorise plus à rester dans l’expectative.

Mais avant d’aborder la question de l’ennemi public, qui complote pour se faire succéder par son fils, comme il en existe, en Afrique, des dictateurs, parlons un peu d’Abdou Diouf, ancien président de la République du Sénégal, actuellement président de la francophonie, un démocrate qu’il a toujours prouvé. Dont acte !

 

Battu aux élections de mars 2000, il a reconnu sa défaite. Il est donc à l’opposé de celui qui est censé nous gouverner, car la réalité du pouvoir, aujourd’hui, est déléguée aux mains obscures d’un aventurier, parrainé par sa propre mère étrangère, comme lui, d’ailleurs, dans les faits.

 

Cependant, son refus catégorique, ambigu et contradictoire, sur la situation politique du Sénégal, est inconcevable, comme l’a révélé, à juste raison, Souleymane Diop, dans son émission deg deg de mardi dernier.

 

Une curiosité qui ne dit pas son nom. Espérons, que dans les prochains jours, les mois à venir, il corrigera le tir, pour nous éclairer, car les coups de foudre du maître chanteur ne sauraient dicter le cours de l’histoire.

 

Ses légendaires diatribes n’ont plus de prise, après qu’il eût été découvert à la face du monde libre, sauf peut être les petites âmes, faibles d’esprit, ayant un goût très prononcé de la puissance de l’argent.

 

La recherche de la parole libre et véridique pour notre période actuelle, plus que sombre, doit impérativement l’emporter sur le silence coupable de ceux qui ont exercé de hautes fonctions administratives et politiques, de surcroît, fussent-ils respectables ou respectés au sein de la communauté internationale.

 

 

Ce n’est qu’à ce prisme là, que nous pourrons consolider notre avenir et nos institutions, entravés par des aventuriers en quête de pouvoir absolu. Grande marche de la Diaspora : le 18 décembre 2010, dans toutes les capitales Européennes.

 

Pour conjurer le diable et son fils, contre la dévolution monarchique du pouvoir, en cours. N’en déplaise aux principaux concernés et à leurs piètres bouffons, nous tenterons d’éclairer nos compatriotes sur les dangers que nous encourons, demain, si nous sommes vaincus par les renégats et leurs garde-chiourmes.

 

Continuons donc notre discours sur le maître de la chorégraphie, macabre, contrefacteur de notoriété publique, dans la perspective d’un prix Nobel de la paix, à dessein d’égaler, sûrement, Nelson Mandela, pour sa seule gloire personnelle, sauve le peuple haïtien, en donnant des bourses à ses étudiants, en plus de l’hospitalisation du président Bissau guinéen, aux frais du contribuable sénégalais, laissés pour compte aux inondations quotidiennes, alors que charité bien ordonnée, confirme la règle.

 

Nous ne pouvons nous attaquer à des déclarations d’intention, de candidature, qui nous ne intéressent point, c’est ce qui nous incombe, c’est la proclamation de candidature incongrue que nous attendons, pour mieux réagir à la mesure de l’impunité. Notre pays ne se reconnaît plus dans sa dignité, au regard du déshonneur d’un homme, en flétrissure. La Renaissance Africaine est confisquée par une seule famille pithiatique et boulimique, pour se maintenir éternellement au pouvoir.

 

 

Et si par extraordinaire, demain, et si par malheur, qu’il ait été tenté par le diable, ce que nous excluons d’avance, le conseil constitutionnel décide et s’arroge l’impunité, en autorisant la candidature du président de la République, maître Abdoulaye wade, à briguer un troisième mandat, lequel est totalement interdit, au regard de nos institutions, pour les prochaines échéances présidentielles de 2012, ce qui voudrait dire, une déclaration de guerre flagrante contre l’ensemble d’un pays entier et souverain, qu’il bravera, pour en faire une dévolution monarchique du pouvoir par le sang, à sa guise, à ce moment là, la tripe populaire réveillera sa fibre et s’exprimera dans la rue, avec toute la rigueur et la vigueur requises sur cette terre d’honneur, lorsqu’elle a été blessée, chaque fois, dans sa trajectoire, dans sa dignité et arrachera par la force son droit légitime, rien, ni personne ne pourra l’en empêcher, pour triompher, à l’instar des grandes démocraties, civilisées(…)

 

La "tandjanisation" ne passera jamais, ici. L’enfant gâté fait tristement le buzz du net. Il est omniprésent, omnipotent, par l’entregent d’un contre exemple, un gourou, qui a tendance à absoudre nos valeurs intrinsèques. Il est dans toutes les sauces et se mêle de tout, pour quelqu’un, dont le moins qu’on puisse dire, représente la médiocrité absolue. Lorsque l’on est incapable d’être un chef de quartier, encore moins de résoudre une simple conférence islamique, malgré des mds à l’abondance et à disposition, nous ne voyons pas comment prendre le risque d’élire la doublure d’un père, dont l’irresponsabilité criarde n’honore plus la République.

 

Aujourd’hui, celui qui s’autoproclamait, hier, le chef historique de l’opposition, en mauvaise posture, n’est rien d’autre qu’un escroc politique, à ce titre, il est le champion, en Afrique, des forfaitures, puisqu’il a trahi l’attente des sénégalais, dans les faits bien établis.

 

Le supposé chef historique de l’opposition est un accident de l’histoire, élu, à défaut, à la magistrature suprême, dans des conditions exceptionnelles, sous les lambris bien dorés, en montrant son véritable visage hideux, une fois qu’il est bien assis.

 

Alors, la liberté, la démocratie, le destin d’un pays, de demain, d’un peuple guerrier et fier de l’être, se mesurent à l’aune de sa grandeur, de son histoire; quand elle se passe à un moment de son histoire, faite de luttes et de sacrifices, nécessaires, payés au prix fort et arrachés, sans complaisance, ni compromis ni compromissions, d’aucune sorte, au nom de la mémoire collective.

 

Quand la République est menacée par une horde d’opportunistes, pires que tout, nul n’a le droit de se dérober, de se complaire, au risque de se compromettre, lourdement, dans un silence coupable. Nous ne cesserons jamais de le dire assez, traditionnellement, depuis Senghor, Abdou Diouf, jusqu’à Abdoulaye Wade, le paysage politique sénégalais d’une certaine opposition crypto personnelle s’offre honteusement en spectacle et sans retenue aucune.

 

On mange dans tous les râteliers en se moulant dans des combines sordides. Sous de faux postulats, la machine opportuniste dans son âme, mute et se transforme, radicalement en serpents à deux têtes au service du nouveau maître des lieux. Une curieuse singularité dans le microcosme politique. Réalisme politique ou opportunisme ? On troque son âme contre de l’argent, voilà le jeu favori d’une certaine classe politique de faire de la politique.

 

C’est tout sauf un exercice honorable pour la République. On tend la sébile pour avoir sa place au soleil, tant qu’on y trouve son compte personnel. Les militants désorientés, perdent les pédales et leurs marques dans cette prise d’otage permanente. Mais qui sont donc ces maîtres aux paroles perdues dans les dédales de l’obscurantisme obsolète ?

 

 

Cette caste d’individus, peu crédibles s’adapte par leurs consciences en putréfaction à la sauce du moment, au gré du vent, en fonction de la météo politique, tels des œnologues dégustant à longueur de journées des crus.

 

 

C’est ça l’entrisme de la démesure des dinosaures de la vieille garde qui se transforme, vulgairement, en garde-chiourmes versatiles pour les beaux yeux d’un despote contre-modèle de la bonne gouvernance.

 

 

On se met à jointure et au diapason de l’alternance des richesses de la dernière minute avec une allégeance sans vergogne, orchestré par un mentor couvert d’opprobre de toute l’histoire.

 

Il s‘agit, en particulier, de deux individus notoires de la dernière espèce, les plus bavards, mais les plus vils de l’échiquier politique, tous les deux sont des transhumants du parti socialiste. Le premier est bien un opportuniste débridé de renom, tout comme le second, professeur émérite avec qui il partage des valeurs pourries.

 

Patriotes, soldats de la Résistance contre les nouveaux maîtres, riches, très riches de la dernière heure, favorables à la monarchie du pouvoir à pas de géants, et pour cause, nous vous invitons à la grande marche de la Diaspora du 18 décembre 2010, dans toutes les Grandes capitales Européennes, afin de parer le diable et son fils biologique, en l’occurrence, Karim, le paresseux, ne bénéficiant d’aucun mandat électif, super ministre de son propre père, il s’octroie, allégrement, le poste de ministre de l’énergie, en plus des 4 portefeuilles, un détournement des consciences, sans précédent, qu’il croit corvéables à merci.

 

 

Non, merci, monsieur le président de la République, nous ne sommes jamais des godillots, ni vos sujets. A cet effet, nous saluons solennellement l’honorable Souleymane Diop, la cheville ouvrière de la Résistance légitime contre le pouvoir incestueux, imposant sa marque de fabrique, le népotisme outrancier et les charrettes de concussions, le tout dans une impunité frisant la démence. La riposte doit être proportionnelle à la mesure de l’impunité.

 

 

Il n’y a de puissance, d’éternel que dans dieu. Rarement, dans l’échiquier politique de notre beau pays, un régime aussi versatile comme celui que nous connaissons, en ce moment, n’a été aussi décrié sur la scène nationale et internationale, tant, en l’espace de moins 5 ans, le pays ne se reconnaît plus dans ses valeurs d’antan et s’est métamorphosé en dictature et en censure, sa conception archaïque du pouvoir demeure étrange, par ses méthodes peu honorables, au regard de la morale tout court.

 

L’utilisation massive et sans discernement de la justice contre des journalistes semble porter au pinacle les allures d’une allégeance effective pour la cause exclusive d’une seule famille, à dessein de régler des contradictions politiques. La respectabilité de la République est vacillante, c’est la chute libre du recul de la liberté d’expression.

 

 

Le nombre de journalistes et d’hommes politiques, arbitrairement embastillés n’a été si impressionnant dans un pays, qui se targuait, pourtant, d’être la vitrine de la démocratie exemplaire, tropicalisée, en Afrique. Le pays de la téranga n’est plus ce laboratoire de la parole libre. Un net recul.

 

 

Les étalages tenus en laisse poussent comme des champignons, largement financés par le contribuable racketté pour les besoins du service, peu reluisants, tandis que d’autres auteurs, plus alertes, plus libres, mieux fouillés, tant au point de vue de la sémantique que de la syntaxe, sont censurés, dans les faits, subissent la loi de l’omerta ambiante, au premier desquels ALC, l’homme à la plume indomptable, est l’une des victimes arbitraires, au nom de l’ostracisme déclaré, légalisé, dans les faits bien avérés, au plus sommet de l’Etat.

 

 

Voilà que les mêmes faits, têtus éclaboussent, au grand jour, qu’il faille, maintenant trouver une pirouette : Inculpation burlesque du journaliste d’investigation, Abdou Latif Coulibaly pour vol et recels de documents administratifs privés : une dérive supplémentaire à pérenniser l’impunité en crescendo.

 

 

Une violation du secret des sources, c’est l’installation du fascisme déclaré. Il n’y a ni plus ni moins. Procès de la lonase [loterie Nationale Sénégalaise] contre le journaliste d’investigation, Abdou Latif Coulibaly. Debout les sentinelles de la République pour défendre le soldat, ALC. Exigeons donc l’abandon des poursuites judiciaires « pour vol et recels de documents administratifs et privés », contre le journaliste d’investigation, au motif éminemment politique.

 

 

Pas de compromis, ni de compromissions d’aucune sorte sur cette question extraordinairement injuste et loufoque ! Ce procès ignominieux n’est certainement pas celui de l’homme d’honneur, ALC, mais celui d’un régime corrompu à scandales et à répétitions.

 

 

Tous pour une mobilisation massive à la mesure de l’impunité ! Malgré les intimidations, la visite nocturne, les plaintes, tous azimuts, dont il est l’objet, il demeure impassible, tel un roc. Il tient bon, en continuant d’asséner la vérité des faits, tonnant comme des coups de marteau.

 

 

Quand bien même, ici, en Afrique, le Sénégal, des années post 2000, une certaine information, la vraie, la bonne, n’est pas du goût du plus haut sommet de l’Etat, elle est tout simplement taboue. Et pour cause.

 

 

Alors, bien qu’il se rende compte du danger encouru, il la publie, après maintes moult vérifications à la loupe. Abdou Latif Coulibaly est tout simplement un homme d’honneur, d’exception par nature : dans son approche de journaliste d’investigation, après qu’il ait fait ses preuves, avec la publication de nombreux ouvrages, entre autres, LE SENEGAL A L'EPREUVE DE LA DEMOCRATIE.

 

 

Enquête sur 50 ans de lutte et de complots au sein de l'élite socialiste, mais surtout, sur le Sénégal des maîtres de la manière forte, SÉNÉGAL AFFAIRE ME SÈYE : UN MEURTRE SUR COMMANDE. LOTERIE NATIONALE SÉNÉGALAISE Chronique d'un pillage organisé, et surtout, le dernier, mais pas le moindre, CONTES ET MÉCOMPTES DE L'ANOCI, le scandale du siècle.

 

 

C’est une icône de la liberté, le bon sang coule dans ses veines d’acier, je pèse mes mots, les mots ne relèvent nullement d’un fantasme, ni d’un encensement aveugle, mais plutôt d’une réalité, même si cela dérange une certaine classe politique et une presse indigne. En 10 ans de magistrature, nous obtenons la palme de bonnet d’âne de pays où la liberté d’expression est publiquement médiocre, au plan économique, on dégringole pour n’être que dans le peloton des vingt derniers, que compte la planète.

 

 

Pendant que le reste de la population tire le diable par la queue, sans compter les coupures intempestives du courant électrique, les inondations incessantes, contrastent avec l’accumulation de richesses personnelles, plus rapides que la lumière, en sus de châteaux sortis de terre, à l’opulence insolente, tels des champignons, pour des gens abonnés, hier au chômage chronique.

 

 

En l’espace d’une décennie, couronnée d’une politique aux allures de main basse, dont le moins qu’on puisse dire, est l’accaparement pur et simple de tout l’appareil d’Etat pour le compte d’un seul homme, qui ne doit sa promotion que grâce à un père, président de la République. Il faut le voir en chair et en os, pour le croire. C’est ce même homme qui a le culot effronté de clamer haut et fort, c’est parce qu’il est compétent, qu’il est critiqué. C’est ça les Républiques de l’Afrique du recul, du népotisme, des concussions et du clientélisme politique.

 

 

L’avocat du fils se sert comme un glouton, plutôt de servir la République pour sa propre gloire personnelle. Il n’a rien de la carrure d’un tel, il est juge et partie, tire sur tous ceux qui s’opposent contre la dévolution monarchique du pouvoir. Le premier de la mal gouvernance, l’incubateur du népotisme et des concussions nauséabondes, en duo permanent avec son fils biologique si plastique, bien connu, récidivent, tous les deux, en culot incommensurable, spectaculairement à la face du monde, dans un mépris affiché, comme ils savent toujours le faire sans scrupules, par des discours insultants à l’égard de notre Pays, dont ils croient être les seuls actionnaires plus que majoritaires, au nom d’ un legs, sûrement, « divin », fabriqué de toute pièce.

 

 

Parlant de son cancre dont il ne cesse de faire l’apologie, malgré ses échecs cuisants, répétitifs, il est financier, il est banquier, il réussit toutes les tâches que je lui ai confiées à cause de ses compétences que personne ne conteste, martèle toujours, le géniteur dans l’art des contre valeurs.

 

 

Sur l’utilisation des 435 MDS sur la gestion calamiteuse de l’anoci, son flibustier enchérit, exulte, dans ses habits traditionnels de piètre loufoque, donnant la chair de poule, dont lui seul et son géniteur, se disputent l’ignominie, dans un documentaire de christian Thiam, il déclare, sans ambages, nous le citons : « on m’attaque parce que je suis compétent ». De telles déclarations à l’emporte pièce ne peuvent que nous mettre dans nos gongs et nos tripes. L’arrogance et l’insolence de propos tels indignes nous donnent la mesure d’une vaste escroquerie politico-financière imprescriptible jusqu’à l’extinction du soleil et de la lune.

 

 

 

 

L’immoralité est devenue un gagne pain, une valeur sûre, qui prime sur tout. On absout les consciences fertiles pour les besoins du service. Un comble du déshonneur. Inadmissible dans un pays qui se respecte à l’instar des grandes démocraties standardisées à l’échelle internationale. Aussi paradoxale que cela puisse paraître, l’alternance est une boîte de pandore où tous les excès du délire en propension à grand spectacle et au nom de la charogne dégoulinante, pour tirer son miel dans la république insultée, agenouillée pour la cause égoïste d’une famille insatiable de toutes les dérives illimitées. Le pays est géré comme une entreprise familiale, le père, la mère et les fils.

A se demander s’ils n’ont pas droit de vie ou de mort. Ni plus ni moins.

 

 

Le journaliste qui apporte toutes les preuves irréfutables de détournements massifs de deniers publics est traîné dans la boue dans les tribunaux aux ordres, jusqu’au cou, s’il n’est pas menacé de mort, pire, encore, ses parents arrosés d’insanités les plus abjectes. Pour le faire taire, on ourdit, sans vergogne, un complot de cambriolage organisé, tendant à connaître illégalement et allégrement les relevés téléphoniques du journaliste, en utilisant les moyens d’Etat par la force. C’est tout sauf de la démocratie.

 

 

Alors, être élu président de la République, signifie-t-il être hors- la loi ? Le dénonciateur est sous l’œil du Cyclone. Les mêmes qui avaient fait une visite nocturne chez le fonctionnaire du FMI, sont toujours les mêmes qui continuent d’agir en toute impunité. Les commanditaires se tapissent dans l’ombre. Le journaliste digne de la République est accusé de son propre vol. On inverse les rôles tant que la fin justifie les moyens. La caravane passe. Pour ce faire, on libère des délinquants, parrainés par ceux qui se donnent une respectabilité de façade. Tous les moyens sont bons, pourvu qu’on se croie éternel et incommensurable.

 

 

Le journaliste de renom, Souleymane Jules Diop n’est nullement épargné, car les vérités époustouflantes qu’il assène au plus haut sommet de l’Etat lui valent des procès interminables, dont le contribuable sénégalais en paie les frais.

 

Président de la Génération Concrète, cette engeance maléfique étrangère, tendant à assouvir des ambitions politiques démesurées par rapport à un cursus scolaire inventé de toute pièce, jusqu’à l’anoci, cet autre plus gros scandale, entre autres, de toute l’histoire de la République, dont un premier ministre défenestré comme un malfrat, paya les frais, pour avoir fourré son nez dans les eaux tumultueuses de la vague bleue de l’arnaque organisée au plus haut de sommet de l’Etat et sous la complicité effective d’un avocat dévoué pour la cause de son propre fils.

 

Aucun audit, pendant que des journalistes subissent les lois d’un président de la République à la fois juge et partie. Nous sommes bien au cœur d’un monde inintelligible, qui dit bien son nom.

 

Le combat continue !

 

Ahmadou Diop

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