La face cachée « d’une bonne gouvernance de la rupture ».
Pour commencer, parlons maintenant d’une gouvernance à géométrie variable !
Hourra !!! Cà est, les drogués de la désinformation et des ignominies monstrueuses, crapuleuses, verbeuses, baveuses, verbeuses au travail maintenant !
Lâchés, les fauves, dans leur gong et les vampires affamés et les gardes- chiourmes propagandistes et la meute de chiens voraces, pour un sou, distillent leurs sales guerres par des salves à répétitions, se déchaînent, dansent, chantent la chorégraphie macabre de leurs piètres commanditaires, les maîtres d’œuvre à géométrie variable ; ce qu’ils savent faire le plus, c'est-à-dire le caniveau éminemment pestilentiel, à savoir, le savoir de pouvoir nuire abondamment et gratuitement à ceux qui se dressent avec honneur devant eux comme des rocs imperturbables !
La culture « du diay dooley » de la revanche et des rancunes matériellement fournies, commence maintenant et tourne en plein régime!
Du haut de son piédestal, son chef à la fois, le président de la république et Secrétaire Général de son propre parti confirme la règle. Il est bien le calque masqué de son clone, même s’il s’en défend maladroitement. Chassez le naturel, la rupture de la bonne gouvernance de « l’apérisme » démesuré revient toujours au galop. Une évidence qui ne souffre d’aucune ombre. Les actions sur le terrain ne Ne riment nullement au matraquage politique. De l’esbroufe, du cosmétique, de l’enfumage classique, rien que du vent. Circulez, il n’y a rien à voir !
Dites donc, le chantage, la rançon ou la face cachée d’une gouvernance de la rupture d’un pouvoir de l’arrogance, quand tu nous tiens ! Diviser pour mieux régner ou la politique mécanique des pires, des méchants, des voleurs, des ennemis, des pilleurs, des justes et des bons etc.
Sans discontinuer, chers bouffons, rhéteurs impénitents, blanchisseurs des histoires carambouilleuses, utilisez toutes vos armes bien bénies, ce que vous savez faire, mais nous n’abdiquerons jamais, car nous ne moulerons jamais dans cette mayonnaise, ni dans cette voie. L’automatisme repoussant, propagandiste, de la sarabande n’y fera rien.
La légèreté ne peut servir de levier pour l’abondance d’une gouvernance des mots, cette soustraction du politique face à ses responsabilités, ce discours des méthodes moribondes anachroniques.
Ni les contrevérités, ni les cavalcades des indignes conjurations, l’apanage de la crédibilité douteuse, encore moins, les basses grossièretés, abondantes ne vous honorent point, vous détruisent, au contraire, vous condamnent, vous réduisent en cendre, que ne le fait le pain sur le feu, vous élèvent à votre rang. Vous êtes donc coupables jusqu’à la lie ! Pour certaines personnes d’une respectabilité de façade, l’immoralité est devenue un gagne-pain, une prière ! N’ont-elles pas honte de vouloir salir un homme de valeur, de haute stature, exceptionnelle, innocente, si ce n’est sa propre liberté qu’il tient comme la prunelle de ses yeux ?
La grandeur d’un homme se mesure à l’aune de la lumière qu’il incarne pour faire jaillir l’éternelle vérité et non le contraire.
Les sarcasmes, les insultes éhontées par presse interposée, renforceront notre détermination, au contraire, nous serons encore plus forts que nous ne l’étions. Écrivez, soulevez des montagnes, et dites tout, peu importe, notre chemin ne peut-être que celui de la liberté !
A l’exception du Tout-Puissant, le créateur de l’univers, la puissance éternelle, rien ne nous fera taire, ni les griots médiatiques, cette surabondance nauséabonde qui porte en elle-même son propre poison !
Vous êtes coupables et vous le savez parfaitement, quoique vous fassiez ! La montée d’adrénaline démesurée, de l’ivresse arrogante, suffisante n’aura aucune prise réelle sur les bonnes consciences que nous sommes, n’en déplaise à ceux qui ne veulent pas l’entendre de cette oreille
Ressaisissez-vous et revenez donc à de meilleurs sentiments, plutôt de vous enfoncer davantage, à vouloir éteindre la flamme de dieu, mieux vaut y ajouter un morceau de bois, pour vous honorer !
En Afrique, le traitre, honoré, victimaire, adulé, change sa trajectoire en fonction de la météo, selon ses propres pulsions névrotiques pour des raisons manifestement matérielles, sur fond de notoriété. A contrario, le véritable combattant, pour les intérêts légitimes de la majorité, on lui dénie systématiquement le statut de héros. C’est la conséquence historique d’une codification du fascisme d’antan. Lorsqu’il meurt, il devient extraordinairement un héros. En Europe, au contraire, le traitre, est plombé définitivement par la mémoire collective, laquelle agit toujours en toute liberté et en toute conscience.
Lorsque dans un pays, le vote étrangement irrationnel est déterminé par les grosses cylindrées 4 x4, sorties de terre, sans qu’il y ait le moindre contrôle de leur provenance, il y a sûrement de quoi parler d’un blanchiment d’argent, d’escroquerie, d’association de malfaiteurs. Par extraordinaire, et pour le vainqueur, « les dons » massifs amassés dans des conditions totalement ténébreuses, serviront de capital pour le destinataire et sa propre famille biologique. Dans ces conditions, peut-on vraiment parler de rupture, de moralité, sans être ridicule ?
Lorsqu’un pouvoir se sert des deniers publics pour se servir et créer une association "Servir" pour servir sa propre famille, et qui parle plus qu’il n’en fait, en réalité, ce qu’il dit matin, il le dédit le soir même, dans les faits, n’y a t-il pas blanchiment d’argent, escroquerie, association de malfaiteurs ? Au nom de quoi Marième Faye distribue-t-elle des cadeaux à noël, des millions aux femmes Apr de St Louis ? D’où viennent donc ces ténébreux milliards pour alimenter un obscur « Servir le Sénégal » ? il y a sûrement des arrière-pensées politiques. Son propre frère de sang, Daouda Faye, est le directeur des relations extérieures. Entre les dérives Wadistes et celles des sallistes, lesquelles des deux sont pires ? Sauf que le meilleur, est toujours celui qui est aux manettes. C’est la règle de la démocratie dans ce pays étrange !
Est-ce pour cette raison qu’un argentier inconnu jusque-là, sorti des ténèbres, sert d’exutoire comme étant le principal philanthrope d’un apérisme survoltant ? Nous le croyons
En contrepartie des échanges de service, « les généreux donateurs d’or » bénéficieront plus de largesses extensibles, tel « le bouclier politique », même si leurs richesses résultent d’une opacité matériellement avérée. A contrario, les autres, oui, les indociles, pour avoir refusé de passer à la caisse, seront automatiquement châtiés et massivement passibles de délits graves, sous de faux postulats, emphatiquement appelés « blanchiment d’argent, escroquerie, association de malfaiteurs, au nom des audits audibles à haut débit illimité et à géométrie variable. Non, nous ne pouvons pas nous inscrire dans ce registre là !
Pendant qu’Aliou Aidara Sylla, déféré pour blanchiment d’argent, association de malfaiteurs et escroquerie, le scandale de la Société Pétro-Tim Sénégal S.A créée par le propre frère de Macky Sall passe comme une lettre à la poste. On continue à nous rouler dans la farine. Le ménage doit nécessairement commencer par soi-même, n’est-ce pas Monsieur le président ?
Un parti, une famille, une dynastie, des courtisans ! Tout n’est pas permis ! Halte ! Stop ! Ça suffit !
Le discours : « Le parti avant la patrie » cache bien le scandale de « l’affaire Aliou Sall », frère du président et la galaxie des nominations hystériques. C’est la preuve matérielle d’une dilution des consciences. « Je suis président de la république, je nomme donc qui je veux ». Les nominations à flot correspondent au personnage. En Afrique, le président de la république et sa famille, ses cousins, cousines, sœurs, frères de sang ou d’alliances et les membres du même clan politique se partagent bien le gâteau, sous le prétexte fallacieux de diplômes douteux, brandis ça et là pour tromper les consciences, méprisées. La bonne gouvernance n’est qu’un vain mot. La réalité est tout autre. L’excès des nominations de «wade junior » nous donne la chair de poule. Un dilettantisme d’état ahurissant. Gouverner, c’est prévoir et traduire en action les promesses. La patrie avant le parti : une supercherie. L’habileté du discours révulse par son caractère à la renverse fondamentalement dictatorial.
C’est un euphémisme de dire qu’on est dans une entreprise unipersonnelle familiale dans laquelle il est nécessaire de porter des noms particuliers pour avoir des largesses au plus haut sommet de l’état. L’homme se dédit le soir même ce qu’il dit le matin même.
La réalité contraste avec le discours. Apparemment, Macky Sall, sa propre famille, sa garde rapprochée et ses courtisans peuvent aisément s’enrichir librement, mais l’enrichissement des autres est illicite, s’ils ne passent pas d’abord à la caisse, la condition sine qua non, pour être des sujets. C’est ça le seul crime de lèse-majesté d’Aliou Aïdara Sylla. N’en déplaise à ceux qui ne veulent pas l’admettre, par couardise ou bouffonnerie indécrottable qui les habite !
Lorsque la salissure devient un modèle de gouvernance, le peuple libre ne peut s’inscrire dans ce registre condamné, condamnable. Le ver était-il dans le fruit ? C’est notre intime conviction, jusqu’à preuve du contraire.
Lorsque le fantasme devient un modèle de gouvernance pour absoudre les consciences collectives, tôt ou tard, la graine avariée finira par tomber d’elle même pour le bonheur d’un peuple d’honneur.
Tout pouvoir burlesque, abusif, autoritaire finira dans les décombres de l’histoire, comme un mauvais souvenir.
C’est une illusion monumentale que de croire pouvoir enterrer, gruger éternellement un peuple en colère que l’on croit pouvoir soumettre par la politique de la ruse et des intimidations.
Lorsque l’autoglorification, l’auto flagellation, se mesurent à l’ivresse d’un pouvoir inique d’une arrogance titanesque emprunte la voie obscure pour renouveler un mandat hypothétique, il est clair que le même peuple qui l’a mis là où il est, aura le dernier mot, le moment venu par les urnes bien parlantes. C’est la preuve matérielle d’une culpabilité proéminente, là où ça se passe et au moment où elle se passe. Lorsqu’on passe son temps par presse interposée à livrer des balourdises, en accusant à libre cours un homme d’honneur, aux âmes bien nées, c’est que ces gens-là ont quelque chose à se reprocher dans leur for intérieur. Un homme d’honneur doit être à la hauteur et non point à insulter honteusement, gratuitement, un comble pour inverser les rôles parce qu’ils ont les médias de la sarabande.
C’est la nouvelle rhétorique comme système de gouvernance absolue ou plutôt l’autoritarisme blanchi en vérité éternelle.
C’est toute l’ambigüité d’une gouvernance des rancunes et des rapines politiques par des mécanismes douteux. En politique, tout se tient, il est de notoriété publique d’établir la politique machiavélique de ce que l’on appelle une pierre deux coups : régler savamment les comptes de ceux qui ont le culot de rejeter le racket, sous le paravent à haut débit d’une présumée bonne gouvernance, pour arriver à leur fin, c’est à dire, les mauvaises raisons doivent servir nécessairement les bonnes causes cousues de fil blanc. C’est cela la justice des vainqueurs, en attendant, demain, la revanche populaire, bien programmée, à l’horizon 2017, si toutefois, il y aura des élections à date échue, car l’homme qui nous dirige maintenant, est élu pour un septennat.
Le combat continue !
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