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diop-ahmadou-renaissance Panafricaine-Journal-liberté-démocratie- Patriotisme-le Sénégal : demain, c’est maintenant !

diop-ahmadou-renaissance Panafricaine-Journal-liberté-démocratie- Patriotisme-le Sénégal : demain, c’est maintenant !

Blog Cris le 26/08/09. Ancien pensionnaire du Prytanée militaire Charles Nchoréré de Saint-Louis du Sénégal. Écrivain-Chroniqueur. Recueil de poèmes "Vaincre" aux Editions Saint-Germain-des-Prés à Paris 1991 [France]. Auteur chez Edilivre-Avril 2012 : Collection Classique/Essai/Etude Politique/ Sénégal. Actuellement, résident à Bordeaux. Il est actuellement le coordonnateur de la Conscience patriotique pour le Changement au Sénégal -CPC- ״XAM SA REW - BËG SA REW - JARIÑ SA REW״ -Pour une Nouvelle République Sénégalaise [NRS], saine, démocratique et transparente, la vraie de l’ivraie ! Un fonctionnaire si riche, multimilliardaire des ténèbres des postes politiques aléatoires de nomination Tan Sa bula Nex- n’est jamais synonyme de patriotisme.


Chronique d’un obscur multimilliardaire de la république ou la salissure d’une gouvernance culturellement, politiquement opaque.

Publié par Ahmadou Diop sur 14 Janvier 2013, 00:30am

mackyengageLa face cachée «  d’une bonne gouvernance de la  rupture ».

Pour commencer, parlons  maintenant  d’une  gouvernance à géométrie variable !

Hourra !!! Cà est, les drogués de la désinformation et des ignominies monstrueuses, crapuleuses, verbeuses, baveuses, verbeuses au travail maintenant !

Lâchés, les fauves, dans leur gong  et les vampires affamés et les gardes- chiourmes propagandistes et la meute de chiens voraces, pour un sou, distillent leurs sales guerres par des salves à répétitions, se déchaînent, dansent, chantent la chorégraphie macabre de leurs  piètres commanditaires, les maîtres d’œuvre à géométrie variable ; ce qu’ils savent faire le plus, c'est-à-dire le caniveau éminemment pestilentiel, à savoir, le savoir de pouvoir nuire  abondamment et gratuitement à ceux qui se dressent avec honneur devant eux comme des rocs imperturbables !

La culture « du diay dooley » de la revanche et des rancunes matériellement fournies,  commence maintenant et tourne en plein régime!

Du haut de son piédestal, son chef  à la fois, le président de la république et Secrétaire Général de son propre parti confirme la règle.  Il est bien le calque masqué de son clone, même s’il s’en défend maladroitement. Chassez le naturel, la rupture de la bonne gouvernance de «  l’apérisme » démesuré revient toujours au galop. Une évidence qui ne souffre d’aucune ombre. Les actions sur le terrain ne Ne riment nullement au matraquage politique. De l’esbroufe, du cosmétique, de l’enfumage classique, rien que du vent. Circulez, il n’y a rien à voir !

Dites donc, le chantage, la rançon ou la face cachée d’une gouvernance de la rupture d’un pouvoir de l’arrogance, quand tu nous tiens ! Diviser pour mieux régner ou la politique mécanique des pires, des méchants, des voleurs, des ennemis, des pilleurs, des justes et des bons etc.

 

 Sans discontinuer, chers bouffons, rhéteurs impénitents, blanchisseurs des histoires carambouilleuses, utilisez toutes vos armes bien bénies, ce  que vous savez faire, mais nous n’abdiquerons jamais, car  nous ne moulerons jamais dans cette mayonnaise, ni dans cette voie. L’automatisme repoussant, propagandiste, de la sarabande n’y fera rien.

 

La légèreté ne peut servir de levier pour l’abondance d’une gouvernance des mots, cette soustraction du politique face à ses responsabilités, ce discours des méthodes moribondes anachroniques.

Ni les contrevérités, ni les cavalcades des indignes conjurations, l’apanage de la crédibilité douteuse,  encore moins,  les basses grossièretés, abondantes ne vous honorent point,  vous détruisent,  au contraire, vous condamnent, vous réduisent en cendre, que ne le fait le pain sur le feu, vous élèvent à votre rang. Vous êtes  donc coupables jusqu’à la lie ! Pour certaines personnes d’une respectabilité de façade,  l’immoralité est  devenue  un  gagne-pain, une prière ! N’ont-elles pas honte de vouloir salir un homme de valeur, de haute stature, exceptionnelle, innocente, si ce n’est sa propre  liberté  qu’il tient comme la prunelle de  ses yeux ?

 

La grandeur d’un homme se mesure à l’aune de la lumière qu’il incarne pour faire jaillir l’éternelle vérité et non le contraire.

Les sarcasmes, les insultes éhontées par presse interposée, renforceront notre détermination, au contraire,  nous serons encore plus forts que nous ne l’étions. Écrivez, soulevez des montagnes, et dites tout, peu importe, notre chemin ne peut-être que celui de la liberté !

A l’exception du Tout-Puissant, le créateur de l’univers,  la puissance éternelle, rien ne nous fera taire, ni les griots médiatiques, cette  surabondance nauséabonde qui porte en elle-même son  propre poison !

Vous êtes coupables et vous le savez parfaitement, quoique vous fassiez ! La montée d’adrénaline démesurée,  de l’ivresse  arrogante, suffisante  n’aura  aucune prise réelle sur  les bonnes consciences  que nous sommes, n’en déplaise à ceux  qui ne veulent pas l’entendre de cette oreille

Ressaisissez-vous et revenez donc  à  de meilleurs sentiments, plutôt de vous enfoncer davantage, à vouloir éteindre la flamme de dieu, mieux vaut y ajouter un morceau de bois, pour vous honorer !

En Afrique, le traitre, honoré, victimaire, adulé, change sa trajectoire en fonction de la météo, selon ses propres pulsions névrotiques pour des raisons manifestement matérielles, sur fond de notoriété. A contrario, le véritable combattant, pour les intérêts légitimes  de la majorité,  on lui dénie systématiquement  le statut de héros. C’est la conséquence historique  d’une codification du fascisme d’antan. Lorsqu’il meurt, il devient extraordinairement un héros.  En Europe, au contraire, le traitre, est plombé définitivement  par la mémoire collective, laquelle agit toujours  en toute liberté et en  toute conscience.

Lorsque dans un pays, le vote étrangement  irrationnel est déterminé par les grosses cylindrées 4 x4, sorties de terre, sans qu’il y ait le moindre contrôle de leur provenance, il y a sûrement de quoi parler d’un blanchiment d’argent, d’escroquerie, d’association de malfaiteurs. Par extraordinaire, et pour le vainqueur, « les dons » massifs amassés dans  des conditions totalement ténébreuses, serviront   de capital pour le destinataire  et sa propre famille biologique.  Dans ces conditions, peut-on vraiment parler de rupture, de moralité, sans être ridicule ?

Lorsqu’un pouvoir  se sert  des deniers publics pour se servir et  créer une association "Servir" pour servir  sa propre famille, et qui parle plus qu’il  n’en fait, en réalité, ce qu’il dit matin, il le dédit le soir même,  dans les faits, n’y a t-il pas blanchiment d’argent, escroquerie, association de malfaiteurs ? Au nom de quoi Marième Faye distribue-t-elle des cadeaux à noël, des millions aux femmes Apr de St Louis ? D’où viennent donc ces ténébreux milliards  pour alimenter  un obscur « Servir le Sénégal » ? il y a sûrement  des arrière-pensées politiques.  Son propre frère de sang,  Daouda  Faye, est  le directeur des relations extérieures. Entre les dérives Wadistes et celles des sallistes, lesquelles des deux sont pires ? Sauf que le meilleur, est toujours celui qui est aux manettes. C’est la règle de la démocratie  dans ce pays étrange !

Est-ce pour cette raison qu’un argentier inconnu jusque-là, sorti  des ténèbres, sert d’exutoire comme étant le principal philanthrope d’un apérisme survoltant ? Nous le croyons

En contrepartie des échanges de service,  « les généreux donateurs d’or » bénéficieront plus de largesses extensibles, tel  « le bouclier politique », même si leurs richesses résultent d’une opacité matériellement avérée. A contrario, les autres, oui, les indociles, pour avoir  refusé de passer à la caisse, seront  automatiquement châtiés et massivement passibles de délits graves, sous de faux postulats, emphatiquement appelés «  blanchiment d’argent, escroquerie, association de malfaiteurs, au nom des audits audibles à haut débit illimité et à géométrie variable.  Non, nous ne pouvons pas nous inscrire dans ce registre là !

Pendant qu’Aliou Aidara Sylla, déféré pour blanchiment d’argent, association de malfaiteurs et escroquerie, le scandale de la Société Pétro-Tim Sénégal S.A créée par le propre frère de Macky Sall passe comme une lettre à la poste. On continue à nous rouler dans la farine. Le ménage  doit nécessairement commencer par soi-même, n’est-ce pas Monsieur le président ?

Un parti, une famille, une dynastie, des courtisans ! Tout n’est pas permis ! Halte ! Stop ! Ça suffit !

Le discours : « Le parti avant la patrie » cache bien le scandale de « l’affaire Aliou Sall », frère du président et la galaxie des nominations hystériques. C’est la preuve matérielle d’une dilution des consciences. « Je suis président de la république, je nomme donc qui je veux ». Les nominations à flot correspondent au personnage. En Afrique, le président de la république et sa famille, ses cousins, cousines, sœurs, frères de sang ou d’alliances et les membres du même clan politique se partagent bien le gâteau, sous le prétexte fallacieux de diplômes douteux, brandis ça et là pour tromper les consciences, méprisées. La bonne gouvernance n’est qu’un vain mot. La réalité est tout autre. L’excès des nominations de «wade junior » nous donne la chair de poule. Un dilettantisme d’état ahurissant. Gouverner, c’est prévoir et traduire en action les promesses. La patrie avant le parti : une supercherie. L’habileté du discours révulse par son caractère à la renverse fondamentalement dictatorial.

C’est un euphémisme de dire qu’on est dans une entreprise unipersonnelle familiale dans laquelle il est nécessaire de porter des noms particuliers pour avoir des largesses au plus haut sommet de l’état. L’homme se dédit le soir même ce qu’il dit le matin même.

La réalité contraste avec le discours. Apparemment, Macky Sall, sa propre famille, sa garde rapprochée et ses courtisans peuvent aisément s’enrichir librement, mais l’enrichissement des autres est illicite, s’ils  ne passent pas d’abord à la caisse, la condition sine qua non, pour  être des sujets. C’est ça le seul crime de lèse-majesté d’Aliou Aïdara Sylla. N’en déplaise à ceux qui ne veulent pas l’admettre, par couardise ou bouffonnerie indécrottable qui les habite !

Lorsque la salissure devient un modèle de gouvernance, le peuple libre ne peut s’inscrire dans ce registre condamné,  condamnable. Le ver était-il dans le fruit ? C’est notre intime conviction, jusqu’à preuve du contraire.

Lorsque le fantasme devient un modèle de gouvernance pour absoudre les consciences collectives, tôt ou tard,  la graine avariée finira par tomber d’elle même pour le bonheur d’un peuple d’honneur.

Tout pouvoir burlesque, abusif, autoritaire finira dans les décombres de l’histoire, comme un mauvais souvenir.

C’est une illusion monumentale que de croire pouvoir enterrer, gruger éternellement un peuple en colère que l’on croit  pouvoir soumettre par la politique de la ruse et des intimidations.

Lorsque l’autoglorification, l’auto flagellation, se mesurent à  l’ivresse d’un pouvoir inique d’une  arrogance titanesque emprunte  la  voie obscure pour renouveler un mandat hypothétique, il est clair que le même peuple qui l’a mis là où il est, aura le dernier mot, le moment venu par les urnes bien parlantes.  C’est la preuve matérielle d’une culpabilité proéminente, là où ça se passe et au moment où elle se passe. Lorsqu’on  passe son temps par presse interposée à livrer des balourdises, en  accusant à libre cours  un homme d’honneur, aux âmes bien nées, c’est que ces gens-là  ont quelque chose à se reprocher dans leur for  intérieur. Un homme d’honneur doit être à la hauteur et non point à insulter honteusement, gratuitement, un comble pour inverser les rôles parce qu’ils ont les médias de la sarabande.

C’est la nouvelle rhétorique comme système de gouvernance absolue ou plutôt l’autoritarisme blanchi en vérité éternelle.

C’est toute l’ambigüité d’une gouvernance des rancunes et des rapines politiques par des mécanismes douteux. En politique, tout se  tient, il est de notoriété publique d’établir la politique machiavélique  de ce que l’on appelle une pierre deux coups : régler savamment les comptes de ceux qui ont le culot de rejeter le racket, sous le  paravent à haut débit d’une présumée bonne gouvernance, pour arriver à leur fin, c’est à dire, les mauvaises raisons doivent servir nécessairement les bonnes causes cousues de fil blanc. C’est cela  la justice des vainqueurs, en attendant, demain, la revanche populaire, bien programmée, à l’horizon 2017, si toutefois, il y aura des élections à date échue, car  l’homme qui nous dirige maintenant, est élu pour un septennat.

 

Le combat continue !

 

 

 

 

 

 

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