[Contribution]-Abdoulaye wade-Macky Sall ou le vrai faux duel de l’imposture.

Contrairement aux affirmations faussement distillées dans les consciences colonisées, selon lesquelles le maquisard des leurres a bien travaillé, l’envol du candidat de l’apr résulte tout simplement par son allégeance opportuniste à une certaine confrérie religieuse et sur fond de récupération ethnique « al pulaar » du vote communautariste, ayant opté massivement et délibérément pour son larron.

Abdoulaye wade, le talon d’Achille de la démocratie doit se retirer. Il doit partir maintenant et sans condition ! Qu’il dégage au plus vite possible ! La pilule amère ne passera pas ! Le dictateur impose son calendrier pressant contre vents et marées. L’organisateur du hold up électoral n’en démord pas et tente par des pirouettes indécrottables un baroud déshonorable sur fond de combinaisons de politiques politiciennes. Périr ou en finir avec le dictateur, autocrate ! L’impunité ne peut se vendre ! Le péril est devant nous ! Ne jamais reporter ce qui est possible maintenant. Demain, c’est maintenant, tenons-nous le pour dit !

Que cela ne tienne, manipulations, arrangements, basses manœuvres de bas étages pour arriver à ses fins. Le but ultime, c’est de faire en sorte que l’éternel vainqueur soit de l’écurie libérale pour sauver les meubles, ce jeu de quilles, inadmissibles. A l’exclusion de toute victoire possible de Bennoo siggil Sénégaal de la Coalition de Moustapha niasse, le candidat de l’unité et du rassemblement, la machine à rancunes des rapines politiques doit nécessairement remporter la mise quels que soient les scénarios imaginables. Une démocratie à la renverse et des leurres. La démocratie doit absolument se jouer exclusivement sur un seul camp présumé vainqueur avant l’heure, l’envers du décor contre l’autre, au bon endroit pour son grade.

Nous sommes bien au cœur de l’anomalie de la démocratie à guichet fermé selon la règle unilatérale, exclusiviste, édictée du -pds- dopé par le charivari du ndiguël (consigne de vote) de Cheikh Béthio Thioune en faveur de wade, qui crée par ricochet, la boule de neige au sein de l’écurie apr, sectaire par essence, bénéficie, elle aussi, en réalité, du même vote massif al pulaar encapsulé en ndiguël, ayant pris cause et fait pour le candidat de l’ethnisme déclaré, non-éclairé . Autrement dit, Macky Sall, la taupe, l’opposant virtuel de circonstance a bien joué sur deux tableaux imparables, à savoir, son appartenance confrérique et son apparat d’ethnisme chevronné, en l’occurrence, le ndiguël al pulaar, « légalisé »,ouvertement partisan , partial et partiel au su et au vu de tout le monde, contrairement aux autres votes libres des sénégalais aux convictions politiques, bien établies par les preuves plus fournies.

Face aux tirs groupés des relents exhibitionnistes et du communautarisme al pulaar unis pour faire gagner l’apprenti sorcier des leurres et son maître satanique, il n’y avait guère la moindre place d’une opposition républicaine. Voilà la réalité. Voir Macky sall comme le sauveur, le messie, relève d’une naïveté absurde. Entre le choléra et la peste, il n’y a rien à attendre, sinon que des lendemains pires à la gueule de bois. Car les mêmes causes reproduiront toujours les mêmes effets. Et pour cause.

Macky est bien connu pour son comportement violent, convulsif, hautain en 2007. Nous n’attendons rien de lui. Il reste bien la doublure de son inspirateur à qui il ressemble dans les faits têtus.

En lieu et place des vraies sentinelles de la république, les médiocres sont éternellement les meilleurs dans ce pays inintelligible.

Abdoulaye wade, disqualifié, à la fois intrus et maitre manipulateur, s’incruste comme étant le kyste de la démocratie en fonction de ses propres intérêts crypto personnels. Le maitre chanteur du jeu de dupes trouble la quiétude électorale et reste bien le talon d’Achille et régente l’anomalie de la démocratie pour couvrir par la ruse, ses propres arriérés et ceux de son cancre.

L’éternel diable devant l’éternel, telle une huitre sur son rocher, impose sa volonté satanique pour que triomphe le camp libéral, en définitive, quoiqu’il arrive. Le vrai faux duel de la poisse au nom de l’imposture Abdoulaye wade- Macky sall ou la démocratie apparentée à la tyrannie surréaliste, ubuesque. le changement dans la continuité à l’horizon n’est pas acceptable.

A suivre

Le combat continue !