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diop-ahmadou-renaissance Panafricaine-Journal-liberté-démocratie- Patriotisme-le Sénégal : demain, c’est maintenant !

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Blog Cris le 26/08/09. Ancien pensionnaire du Prytanée militaire Charles Nchoréré de Saint-Louis du Sénégal. Écrivain-Chroniqueur. Recueil de poèmes "Vaincre" aux Editions Saint-Germain-des-Prés à Paris 1991 [France]. Auteur chez Edilivre-Avril 2012 : Collection Classique/Essai/Etude Politique/ Sénégal. Actuellement, résident à Bordeaux. Il est actuellement le coordonnateur de la Conscience patriotique pour le Changement au Sénégal -CPC- ״XAM SA REW - BËG SA REW - JARIÑ SA REW״ -Pour une Nouvelle République Sénégalaise [NRS], saine, démocratique et transparente, la vraie de l’ivraie ! Un fonctionnaire si riche, multimilliardaire des ténèbres des postes politiques aléatoires de nomination Tan Sa bula Nex- n’est jamais synonyme de patriotisme.


[Contribution]-ce régime d’apprentis sorciers opportunistes, excelle, ouvertement, dans l’indécence et l’insolence.

Publié par Ahmadou Diop sur 25 Novembre 2010, 15:30pm

Abdoulaye wade et sa bande de camériers foulent du pied  notre terre d’honneur.

 

La moindre parcelle de respectabilité probante ne peut être décelée chez ces gens pires que des vampires.

Aussi extraordinaire que cela puisse paraître, le pays entier  est devenu le mouton de panurge corvéable à merci pour une seule famille en lambeaux. Il faut le voir pour le croire. A mesure que les échéances électorales se précisent de plus en plus, les déclarations  de la vague bleue se déchaînent à l’emporte pièce, qui frisent la démence.

Alors nous disons, mieux vaut des hommes de poigne, éternels que des vermines éternelles de poubelle inscrites dans les annales de l’histoire.

 

Or, dans le cas précis, il s’agit bien de combattants du recul et de la médiocrité. Ils n’ont ni humilité, aucune probité ne les couvre à jamais. Ils se servent allégrement de la République, plutôt de la servir. Tant que dieu nous donne vie, nous les dénonçons avec vigueur, jusqu’à leur défenestration totale de leur posture, à la mesure de leur  l’impunité.

Tous les intellectuels souteneurs, seront démasqués sans pitié. Ni de compromis, encore moins de compromissions, d’aucune  sorte sur cette question vitale.

 

 Un intellectuel n’est pas un ramassis de connaissances mécaniques, abstraites au service d’un despotisme déclaré, dans les mêmes faits, têtus. Un intellectuel dispose d’autorité, car étant, par excellence et par définition, l’expression de la  société, la cheville ouvrière des intérêts vitaux de la nation, non le griot assermenté et versatile au service d’un juge et partie, avocat de son propre fils, un flibustier effronté, dont les incompétences et les expériences imaginaires révèlent un népotisme historique au cœur d’un Etat vassalisé.

 

Comment un inculte congénital, telle une teigne à la peau,  à la langue plus que pendue, plus rapide que la vitesse de la lumière et du son, qui se taille les meilleures parts des affaires lucratives, super ministre d’Etat de quatre portefeuilles,  en sus de l’énergie, non seulement budgétivore, avec ses coupures intempestives, malgré des surfacturations de complaisance, un homme à scandales et à répétition, le sommet de l’oci en témoigne, à plus d’un titre,  de toute l’histoire politique,   qui ne dispose d’aucun mandat électif, malgré une défaite plus que cuisante des municipales de   mars 2009, qui lui renvoie à ses études imaginaires,  puisse-t-il s’arroger le culot de clamer haut et fort, que c’est que parce qu’il est le fils du président de la république, qu’il est compétent, qu’il est, aujourd’hui, la victime idéale d’une opposition déboussolée ?

 

Quand les autres pays travaillent, nos gloutons, hélas, excellent dans l’inconscience et l’inaction, le tout dans une effronterie donnant la chair de poule.

 

L’ambassadeur du népotisme et du despotisme hors pair,  est abonné dans une course effrénée de la part du gain et des achats massifs d’avions, un deux, trois, quatre et peut être plus, demain, qui sait ?

On est bien au cœur d’une république bananière, inintelligible, car pas un seul jour ne passe sans que nous entendions des âneries indignes de piètres bouffons, si ce n’est le premier d’entre eux, contre exemple de la bonne gouvernance, arrosant son cancre avec une remarquable médiocrité affligeante.

 

 

C’est ça l’alternance des nouveaux riches, riches comme Crésus,  au nom du raccourci politique, en un quart de tour,  ne comptant plus leurs châteaux, tels des champignons, sans compter des comptes bancaires bien fournis, grâce à l’argent racketté de la poche du contribuable qu’on croit extensible, tant que cela marche.

 

Quant au supposé ministre supposé des affaires étrangères, une marionnette pitoyable, indigne,  un curieux personnage dont l’accoutrement loufoque ne trompe plus personne, se passe de commentaires. Il est tout simplement au début et à la fin de la pitrerie indécrottable, pour plaire à son mentor, super ministre de son propre père et non celui des Sénégalais que nous sommes dans le sang et l’esprit.

 

Il est certain qu’il sera jugé, publiquement, quand la justice de ce pays sera libre et libérée des griffes du principal ennemi de la république avec la complicité de sa mère française, de peau, dans les faits bien établis. Rien ne justifie le budget colossal dont elle dispose pour ses propres caprices. C’est bien  elle qui gouverne, en réalité, avec la complicité de son fiston paresseux.

 

 Sindjéli s’occupe du folklore et jouit des deniers publics, pour un festival des dépenses excessives, que nous n’avons jamais souhaitées, pendant que le reste de la population tire le diable par la queue. C’est ça le wadisme démesuré, dans les faits têtus, depuis dix ans.

Un recul de la liberté d’expression, avec une pléthore de journalistes embastillés, d’hommes politiques, de la société civile, dans l’exercice de leurs devoirs moraux.

 

Dans un pays qui  se respecte, ces gens là n’auraient pas le temps de faire leurs valises. On condamne l’honorable journaliste d’investigation, aux preuves bien époustouflantes, ALC , au motif  de diffamation, dont le moins qu’on puisse dire, est scandaleuse, farfelue, de ce qu’il est convenu d’appeler les fourberies d’une justice débridée, à répétions,  bien tenue en laisse, et qui le prouve, tous les jours qui passent.

 

En dépit de la crise et de la morale, Abdoulaye Wade semble reléguer au second plan la morosité financière, en nommant des ministres et des ministres à la pelle, contre vents et marées, puisque Alassane Dialy Ndiaye, devient ministre, à son tour ministre d’Etat, chargé de la connectivité.

 

Décidemment, dans ce pays, le gourou, contre valeur, est bien le pape des portefeuilles jamais égalés jusqu’ici.  Il a tout inventé pour étriller et aiguiller des hommes jusque là supposés fréquentables, à dessein, sûrement, de redorer un blason condamné à mort. C’est bien un régime de festivités et de jouissance, dans sa conscience en putréfaction, celui qui est censé nous diriger n’en a cure des préoccupations majeures des populations, tétanisées par les spectacles indignes du grand manitou, ayant perdu depuis fort longtemps le sens des réalités. La bamboula continue dans le pays de profusion. Dire que nous sommes la risée du monde civilisé est une litote.

 Les factionnaires de la République piétinée, agenouillée, insultée, doivent, absolument, en découdre  avec le traitre et l’ennemi public de premier plan.

 

 

Comment, dés lors, entériner l’intention d’une candidature du recul, pire encore, pour quelqu’un dont les facultés mentales ne souffrent, désormais, d’aucune ambiguïté.

 

Ce régime de gloutons ne brille que dans la léthargie et la médiocrité déconcertantes, les seules valeurs plus que négatives dont il se dispute l’ignominie. Nous avons commis l’irréparable, en élisant le maître du culot incommensurable, faisant la promotion exclusive de sa progéniture nuisible, pithiatique, toujours boulimique.

 

On s’apitoie, sans scrupules de pirouettes multiples, à défaut d’arguments plausibles. On lui demande de révéler  le secret de ses sources, c’est finalement garantir l’impunité et le banditisme d’Etat. Une monstruosité incongrue qui n’a d’alter ego dans le monde civilisé. L’histoire suivra immanquablement son cours, tandis que, demain, ceux qui se sont compromis, directement ou indirectement, rendront des comptes. C’est ça qui nous réconforte.

 

Voilà les seules valeurs dont ils se disputent le déshonneur  débridé depuis qu’ils sont aux commandes.

Il est tant d’en finir avec eux, avant qu’ils n’en finissent avec nous, pour paraphraser l’honorable journaliste, aux âmes bien établies, Souleymane Jules Diop.

 

Alors, n’en déplaise aux piètres bouffons,  le maître des Céans et des malédictions,  en l’occurrence, Abdoulaye Wade, partira, pour notre bonheur, qu’il l’accepte ou non !

 

Le combat continue !

Ahmadou Diop

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