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diop-ahmadou-renaissance Panafricaine-Journal-liberté-démocratie- Patriotisme-le Sénégal : demain, c’est maintenant !

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Blog Cris le 26/08/09. Ancien pensionnaire du Prytanée militaire Charles Nchoréré de Saint-Louis du Sénégal. Écrivain-Chroniqueur. Recueil de poèmes "Vaincre" aux Editions Saint-Germain-des-Prés à Paris 1991 [France]. Auteur chez Edilivre-Avril 2012 : Collection Classique/Essai/Etude Politique/ Sénégal. Actuellement, résident à Bordeaux. Il est actuellement le coordonnateur de la Conscience patriotique pour le Changement au Sénégal -CPC- ״XAM SA REW - BËG SA REW - JARIÑ SA REW״ -Pour une Nouvelle République Sénégalaise [NRS], saine, démocratique et transparente, la vraie de l’ivraie ! Un fonctionnaire si riche, multimilliardaire des ténèbres des postes politiques aléatoires de nomination Tan Sa bula Nex- n’est jamais synonyme de patriotisme.


[Contribution]- Et les Cambrioleurs de Grand chemin se blanchissent en imams imaginaires.

Publié par Ahmadou Diop sur 18 Novembre 2011, 13:42pm

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Et les cambrioleurs ne sont pas nécessairement les bienvenus. Se blanchir soi-même ses propres mensonges, c’est trahir et humilier ouvertement la république et par ricochet, c’est mépriser et vouloir maîtriser le citoyen dévalisé publiquement. Après s’être livrés en sarabandes, les mêmes cambrioleurs finissent par déposer les armes et allument le calumet de la paix.

Mais  avant, ouvrons d’abord une parenthèse par rendre à cheikh Anta Diop, ce qui est  à lui, comme nous  le croyons toujours.  Comprenez  notre paradigme !  Mais que voulez-vous, lorsqu’on arrive au pouvoir avec  comme seul bagage, le bonnet d’âne, le doctorat en droit et sciences économiques, dans une université de province, avec comme seule unique  consolation- Un destin pour l’Afrique, introuvable sur le marché dont la médiocrité et la vantardise se mesurent au profanateur, de surcroît, un parrainage de l’opposition sénégalaise, venue le chercher à paris, aujourd’hui, décriée bizarrement, pour qu’il soit élu, dans des conditions tout à fait exceptionnelles, accidentelles. Cela n’est guère reluisant de la part d’un aventurier qui n’a rien de commun avec le poète le plus célèbre d’expression française partagée avec Aimé Césaire, l’auteur du pamphlet notoire bien connu : discours sur le colonialisme.

Nous voulons parler de Léopold Sédar Senghor. Wade récupère ses livres qu’il avait prêtés à Senghor. Ridicule. Monstrueux.

 Même si nous ne partageons pas totalement ses œuvres. Il fut un génie hors norme de la littérature.  Personne ne peut le nier. Nous le lui concédons. Mais quand  même ? C’est une insulte que de prétendre les comparer. Le premier est civilisé, parce que né de la bonne graine, tant disque, le second, un complexé doublé d’un usurpateur patenté par nature. L’homme est ainsi fait. Un cambrioleur de naissance s’inscrivant dans ses gènes. Un tic. Un cambrioleur de conscience. Ce qui vient de se passer là relève d’un acte délictueux,  tout simplement puni par la loi. Il n’y a pas d’autres mots. Ce n’est  pas parce qu’il est sénile qu’il s’autorise tout. Personne ne doit être au-dessus des lois. Il a toujours affiché une haine viscérale vis à vis du poète de la négritude, en particulier,  Cheikh Anta Diop qu’il tient à copier par la ruse avec une indécence maladroite. La liturgie remarquable dont il ne cesse de nous abreuver depuis qu’il est aux manettes, prouve éloquemment l’être déchiré. Il est par définition donc un admirateur du chantre de la négritude. C’est connu. Le pouvoir est  pour lui un exutoire, une revanche  pour régler ses comptes avec ses adversaires de taille aux âmes bien nées, qu’il n’arrive jamais à égaler sur le terrain.

Il faudrait donc que celui qui est passé maître dans l’art du plagiat historique, nous dise, preuves à l’appui, des écrits, entre autres, ou discours connus  à l’échelle continentale sur son panafricanisme de pacotille. ? Il n’y en a pas. Nous défions quiconque de nous donner la moindre preuve tangible.

Grandir donc dans l’ombre de wade n’est pas une qualité honorable au regard de la morale. Venir profaner la bibliothèque de Léopold Sédar Senghor, n’est pas un acte digne d’un homme d’Etat. C’est bien une déficience mentale, avancée qu’on le veuille ou non.  C’est très inquiétant. Mais les parcours entre le premier et le second sont diamétralement opposés.

Dans le même ordre d’idées, la même stratégie des mêmes cambrioleurs et  des rapines politiques semble être la seule chose la mieux partagée  dans ce pays étrange au point que le reste de l’échiquier ne vaut pas un seul souci. Surréaliste, ubuesque.

L’Afrique est le seul continent au monde où des  personnes pauvres, hier, deviennent  immensément riches par la baguette magique des jinn et qui tentent de justifier l’injustifiable, en donnant elles-mêmes et affreusement les preuves matérielles de leur propre culpabilité, lesquelles, curieusement,  plutôt de faire profil bas ou de  s’éterniser en prison pour le reste de leur vie, ont l’outrecuidance de demander, sans vergogne, les suffrages des citoyens qu’elles prennent  pour des gueux. Mieux, comme si cela ne suffisait pas, elles inversent les rôles en distillant dans les consciences des litanies de caniveaux à la hauteur de leur rang.  C’est comme si le degré des rapines politiques doit se mesurer, exclusivement, à l’indécence des récitations mécaniques  de la bible  et des versets coraniques. Le sorcier demande à ses victimes de  le bénir. Un comble du vandalisme !  Si l’Afrique est la première à entrer dans l’histoire, elle risque d’en sortir par la petite porte, du moins, cette  arrivée là ne nous honore point ? Et les cambrioleurs de Grand chemin se blanchissent en imams imaginaires. L’entendement dépasse même la rationalité. Extraordinaire Afrique ! Etrange Afrique ! Ouvres-toi donc  les yeux et réveille-toi ! Nous pouvions nous passer de cette séquence de chorégraphie macabre.

Les frères jumeaux déterrent la hache de guerre. Un duel sans merci. Le linge sale se lave publiquement pour que chacun puisse blanchir librement les taches immuables de ses habits, du moins, pour donner les apparences d’être propre. Place, désormais, à la bataille à  couteaux tirés sous le fallacieux manteau qui ne trompe personne. Qui des deux emportera le meilleur prix de l’école de la sottise made mal gouvernance ?  Qui donc  détiendra  le meilleur accessit de la fortune mal acquise ? Et tant mieux pour le citoyen reste édifié sur la nature même qui les unit : bonnet blanc et blanc bonnet.

Ridicule de choisir comme la seule option possible entre la peste et le cholera. Entre Idy  et Macky, même combat. Circulez, il n’y a rien à voir !  nio bok senn bay milenn dioor-tous les deux ayant en commun le même père, se valent par leur pitrerie.

La première impression qui se dégage de la bouche d’un sénégalais lambda prononçant son nom, c’est indiscutablement qu’il est remarquablement gloutonné  d’une richesse inexplicable, incompréhensible. Une réalité qu’on ne saurait nier, au risque d’être catalogué d’opprobre.

 Au moins, on est d’accord sur ce point là. Son nom est lié à l’escroquerie. Il n’existe pas d’âme qui puisse gommer d’un revers de main cette vérité historique. Celui ou celle qui s’aventurerait d’admettre le contraire, ne sera jamais né sur cette terre.

Quand on commet l’irréparable en toute connaissance  de cause, l’histoire, elle, retiendra les mêmes faits si têtus. Voilà la vérité. Qu’il soit d’accord ou non, l’éternelle forfaiture demeurera, qu’il le comprenne ou qu’il ne le comprenne pas, nul ne peut inverser le cours de l’histoire au risque de laisser sa peau en charpie.

On peut continuer ses propres niaiseries et jaspiner longuement, en donnant les preuves matérielles de sa culpabilité,  mais on ne pourra jamais ni détourner ni gommer les consciences libres de dire le contraire des choses qui sont palpables sur le terrain du crime. Il n’y a que deux façons d’être ou non dans l’histoire :

S’inscrire positivement dans l’histoire par sa moralité indéniable ou alors,  en sortir tel un malfrat  par son contraire dans l’histoire. Soit, on l’est ou ne l’est pas, mais pas les deux à la fois. Il nous semble que c’est bien le cas incriminé. La vie est un choix.

La même machine à rancunes des rapines politiques créera elle-même les conditions nécessaires de sa propre mort programmée. Un fait inéluctable, qu’on le veuille ou non. Nous en sommes convaincus.  

Car la forfaiture corollaire de l’immoralité se paiera cash ou tôt ou tard sur cette terre. Nous défions quiconque de nous apporter la moindre contradiction. C’est  la nature même de l’ordre du monde. Personne ne peut déroger à cette règle. Et heureusement ?

La nature même ne fait jamais les choses au hasard. Elle aura toujours le dernier mot par les preuves. Cheikh Anta Diop disait à juste titre que la nature ne passe jamais deux fois dans son  processus d’évolution. Mais nous disons aussi qu’elle ne se trompe jamais dans son verdict juste, parce qu’elle a de la mémoire que la mémoire humaine ne saurait contredire. On peut mentir à l’homme, mais  la nature elle-même n’accepte pas le mensonge. Elle est réfractaire à ce qu’elle ne peut accepter. Elle ne tolère jamais l’erreur. L’erreur est mortelle, contrairement à la vérité. Mais qui peut donc croire, une seule minute, aux dénégations insoutenables du leader de rewmi sur les 80 mds dont il est accusé ? Pour nous, il doit être dans les premières loges des accusés, dans l’hypothèse d’une nouvelle alternance en 2012. Voilà pourquoi il travaille d’arrache pied pour être à l’abri. Dans le cas contraire, personne ne doit être jugé. L’acquittement dont il a bénéficié sur les fonds politiques résulte tout simplement d’une parodie de justice domptée par le même politique aussi coupable que lui. Tiens moi, je te tiens, pourvu qu’on enterre la hache de guerre au nom du partage du butin bien digéré.

Cet homme veut-il donc installer sa propre machine à laver avant l’heure pour blanchir son linge sale.

A bon entendeur salut

Le combat continue !

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