[Contribution] -Le 29 janvier 2012 : jour de vérité ou jour de haute trahison manifeste ?

5 millions de francs CFA mensuels indus en sus d’autres largesses pour chacun des membres du conseil constitutionnel. Abdoulaye wade est non seulement une machine des rancunes et des rapines à corruptions actives, mais le grand timonier  de la décadence et de l’imposture à répétions se convertit en vulgaire pyromane indigne. Point n’est besoin d’ergoter sur le Satan sénégalais  qui se croit le plus fort de 14 millions debout et en colère contre la monarchie du pouvoir par le sang.

Le conseil constitutionnel entrera-t-il dans l’histoire  ou contraire, sera-t-il balayé définitivement pour n’être qu’une  sarabande de guignols serviles, médiocres au service d’un  despote fini ?  Nous doutons de la crédibilité de cette institution jusqu’à preuve du contraire. Pouvons-nous leur accorder des circonstances atténuantes si jamais il ne répond nullement à l’attente des sénégalais ? Non certainement pas. Et pour cause. Mais espérons que le droit soit dit, c'est-à-dire la loi fondamentale rejettera purement et simplement la candidature illégitime moralement, juridiquement et politiquement. Nous sommes pessimistes, mais nous souhaitons que le bon dieu nous démente dans les prochains jours.

Le 29 janvier 2012 : jour de vérité ou jour de trahison. Une date historique pour magnifier ou non les membres du conseil constitutionnel. Jour de gloire ou jour  de bassesse ? Une seule question nous taraude l’esprit. Le conseil constitutionnel  aura-t-il le courage et l’honneur de dire la vérité historique, rien que la sentence honorable, en invalidant la candidature d’un dictateur honni, qui tente son baroud du déshonneur ?

 Dans le cas d’une faute politique commise par cette institution, le peuple sera le principal vainqueur puisqu’il se défendra lui-même admirablement pour le respect et le triomphe de la constitution, car un tel homme d’un âge pareil ne peut gouverner, si ce n’est qu’il travaille pour son paresseux fils, aux diplômes imaginaires, qui ne dispose d’aucun mandat électif.

Si d’aventure, le conseil outrepassera ses prérogatives, sa lourde responsabilité sera engagée devant l’histoire. En ce moment là, nous en tirerons toutes les conséquences. En attendant, wait and see !

A bon entendeur salut !

Le combat continue !