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diop-ahmadou-renaissance Panafricaine-Journal-liberté-démocratie- Patriotisme-le Sénégal : demain, c’est maintenant !

diop-ahmadou-renaissance Panafricaine-Journal-liberté-démocratie- Patriotisme-le Sénégal : demain, c’est maintenant !

Blog Cris le 26/08/09. Ancien pensionnaire du Prytanée militaire Charles Nchoréré de Saint-Louis du Sénégal. Écrivain-Chroniqueur. Recueil de poèmes "Vaincre" aux Editions Saint-Germain-des-Prés à Paris 1991 [France]. Auteur chez Edilivre-Avril 2012 : Collection Classique/Essai/Etude Politique/ Sénégal. Actuellement, résident à Bordeaux. Il est actuellement le coordonnateur de la Conscience patriotique pour le Changement au Sénégal -CPC- ״XAM SA REW - BËG SA REW - JARIÑ SA REW״ -Pour une Nouvelle République Sénégalaise [NRS], saine, démocratique et transparente, la vraie de l’ivraie ! Un fonctionnaire si riche, multimilliardaire des ténèbres des postes politiques aléatoires de nomination Tan Sa bula Nex- n’est jamais synonyme de patriotisme.


[Contribution]- Les éternelles images mythico-magico-religieuses en lieu et place des Sénégalais. Une démocratie à guichet fermé. Circulez, il n’y a rien à voir !

Publié par Ahmadou Diop sur 7 Août 2011, 06:27am

Le mouride authentique, c’est celui qui fait allégeance au créateur de ladite confrérie, en se référant à lui et en respectant à la lettre les recommandations de son bâtisseur,  en toute circonstance, en tout lieu, conformément aux préceptes fondamentaux, fédérateurs de son promoteur historique, en l’occurrence, Cheikh Ahmadou Bamba,  en  prenant  fait et cause pour lui, dans les preuves des faits édictés, tangibles, en toute conscience, en dehors de tout calcul politicien pouvant entraver l’équilibre et la cohésion sociale, au risque d’élever la tension d’un degré, de nature à attiser de près ou de loin le feu ou à   cristalliser l’irréparable au sein de la communauté une et indivisible pour sa gloire personnelle. Non point un vulgaire opportuniste déclaré,  abonné  jusqu’aux os à la franc-maçonnerie, dans l’âme et aux reniements à répétitions, promettant plus qu’il n’en fait, en réalité, dans ses faits et gestes depuis qu’il est aux manettes. De surcroit, la Renaissance Africaine n’est salutaire que lorsqu’elle fait resurgir un passé glorieux d’un peuple aussi valeureux et honorable, certainement pas un crétinisme outrancier, tendant à faire preuve d’une liturgie démentielle, comptable d’un complexe historique, hystérique.

 

Sénégal- bilan d’une décennie de népotisme, corruptions, concussions, prévarications tous azimuts sans compter les charrettes de scandales à répétitions et d’enrichissements éclairs.

Un seul choix s’impose. Trois candidats présidentiables : Abdoulaye Bathily, Moustapha Niasse. Ousmane Tanor Dieng. Choisissons donc un candidat parmi  ces trois sentinelles précitées !

Avec ou sans prières, Abdoualye wade est déjà disqualifié de prime abord pour les élections présidentielles de février 2012. Ou alors, prières salutaires pour le discréditer. Il n’y a pas d’autre solution.

Abdoulaye wade doit rendre le tablier maintenant et sans condition. Qu’il dégage donc au plus vite !

Abdoulaye wade n’a plus de légitimité pour gouverner ce pays. Il doit partir maintenant et sans condition ! Il représente un danger pour la république. Il a trahi publiquement le peuple sénégalais pour parjure. "Wax waxeet"-les promesses n’engagent que ceux qui  y croient. " Il a déjà fait 12 ans de pouvoir et à commis les scandales les plus ignobles de toute l’histoire politique de la république depuis les indépendances. Ça suffit maintenant !  Les limites autorisées sont largement dépassées. Qu’il fasse des pieds et des mains, il doit s’appliquer à lui-même de gré ou de force les cours de la démocratie qu’il prétend donner au colonel Mouammar Kadhafi. Il n’est pas acceptable qu’il dise quelque chose et son contraire. Les reniements sont totalement antinomiques à la démocratie et aux valeurs de la république. Le machiavélisme est consubstantiel à la franc-maçonnerie. Le shérif des manières fortes ne peut être rééligible tangiblement.

Le dictateur pithiatique, autocrate déclaré doit nécessairement s’amender et abdiquer au nom du peuple et qu’il ne briguera pas un troisième mandat. Un préalable non négociable sur cette question.

Les éternelles images mythico-magico-religieuses en lieu et place des Sénégalais. Manipulations, désinformations au service du pouvoir politique et spirituel ou  la classe aux intérêts réciproques. Les confréries crées de toute pièce par le colonialisme français, sont elles devenues des capitalistes petits bourgeois, des alliés sûrs du pouvoir politique, prétendument chargés de jouer les ponts entre les populations soumises, contrôlées et asservies pour leur propre compte et celui du pouvoir en place ?

Il est donc tout à fait hasardeux d’apporter la moindre preuve tangible de leur efficacité, si ce n’est que pour se servir plein les poches, comme des goinfres, en laissant la majorité écrasante dans une pauvreté absolue. Par ricochet et par intérêts morbides, de par leur pouvoir, ils essaient de contenir le reste, en jouant les pompiers de service. Les entend-on souvent, quand les populations sont écrasées par le pouvoir réactionnaire et fasciste ? Ils se taisent dans un silence coupable et effrayant.

Les ascenseurs sociaux dont ils sont censés être, ne sont pas tout à fait démontrés. Ce sont des écrans de fumées qui ne disent pas leur nom. Un tabou, mais une réalité dérangeante et permanente. Nous voulons faire de la mayonnaise, sans casser les œufs.
Y avait –il une société de classe conservatrice, bourgeoise, capitaliste, confrérique pendant l’occupation coloniale ?  comment explique-t-on l’expansion rapide de l’abondance des richesses opulentes par le raccourci islamique depuis les années 60 jusqu’à aujourd’hui ? Corruption active ou enrichissements illicites ?

En réalité, les confréries se sont substituées à la féodalité et se sucrent de leur posture. Elles sont devenues des monarchies de droit divin pire que les rois eux-mêmes. Les sujets, taillables, crevables à merci, convertis en esclaves, talibés font des génuflexions comme autant les dynasties royales dans le monde. D’antan, on dénonce les pratiques coloniales, en reproduisant, exactement, dans les mêmes faits, les mêmes schémas, sauf que le colonialisme à l’envers est distillé dans les consciences, serviles, tenues en laisse. C’est ça l’obscurantisme du fatalisme dégradant des valeurs inhumaines. Prêcher la parole de dieu et en attendre le retour de l’ascenseur par la richesse matérielle comme monnaie d’échange, relève d’une dérive opportuniste. On fait travailler gratuitement les talibés, en échange, on croit dur comme fer à un hypothétique paradis, pendant ce temps, les uns roulent sur l’or est dans une opulence ostensible sur terre, tandis que les autres,  sont écrasées par le poids de leur grade. Les fondateurs pour lesquels, ils prétendent  se référer, étaient des gens humbles par leur comportement exemplaire durant leur existence.  Nous devons opérer une introspection et formater nos esprits dans le sens du progrès et non du recul. Qu’en est-il de leurs successeurs ? Le fils du médecin est-il  pour autant comme tel s’il n’a pas acquis les règles obligatoires  de la déontologie inhérente du métier ?

 

Quelle est alors la différence entre la royauté et les confréries, si ce n’est que ces dernières utilisent le même schéma héréditaire au nom de l’islam ? Dans quelle sourate du saint cora voit-on que l’islam est héréditaire  par le sang ?

Aujourd’hui, comme hier, où a-t-on vu leur efficacité dans la bonne gestion des pays précités. Comment comprendre une société prétendument musulmane où les inégalités sociales, les uns riches, très riches comme crésus, les dépravations des mœurs deviennent de plus en plus alarmantes ? On a bien vu le soleil, mais on s’entête par orgueil, à ne pas l’admettre, voilà la réalité.

 

 

 C’est un système de vase communicant aux intérêts réciproques bien établis, depuis la nuit des temps. Ce n’est pas pour rien que les candidats se bousculent chez eux à la veille des élections. Rien n’est donc nouveau. Nous sommes bien au cœur d’un système défaillant, une démocratie  à guichet fermé.  Certaines personnalités religieuses n’ont-elles pas troqué leurs âmes contre l’abondance de l’argent facile ? N’ont- elles pas donc trahi la conscience des fondateurs. Et pour cause.

 

Il n’est pas besoin d’acquérir des connaissances académiques pour le comprendre.  Pour cela, il suffit de voir l’intrusion spectaculaire  des dépravations des mœurs, ces dernières années, pour s’en rendre compte du crime sur le terrain. Une absolution massive des consciences décomplexées. Qui est responsable ? Le politique  ou le religieux, ou les deux à la fois ?  C’est bien la problématique de l’éthique morale qui est posée. Mais Un tabou.

 

Car la puissance de l’argent facile est le socle même des déconvenues, même si on ne l’admet pas. Voilà le nouvel ordre mondial hégémonique apparenté à la démocratie tyrannique ! On est franc-maçon ou musulman. Mais pas les deux  à la fois. Tantôt, on est franc-maçon, tantôt, on ne l’est plus. Vouloir être les deux à la fois, c’est se renier soi-même par la roublardise, en mentant à la société, sous de faux postulats, en falsifiant sciemment sa propre conscience satanique, dans l’optique de défendre sa cause, pour faire croire à quelque chose qui n’existe pas par quelque chose qui existe réellement, sous le manteau de la ruse pour être ce que l’on n’est jamais. Car derrière un menteur, se cache toujours un voleur en puissance.

 

Une démocratie biaisée version franc-maçonnique à guichet fermé. On ne change pas de fusil d’épaule quand il gagne et rapporte plus que tout  autre. Voilà le message démoniaque du machiavel franco-sénégalais, présumé éternellement mouride, en voyage à Touba, capitale du mouridisme.

Le mouridisme élit-il donc  à lui seul, le président de la république, en lieu et place des sénégalais ? " Wax waxeet" –les promesses n’engagent que ceux qui y croient. La morale vraie de l’ivraie peut –elle donc blanchir l’auteur de tels propos ? Un vrai mouride peut-il se dédire constamment au point de se ridiculiser comme un vulgaire reniement loufoque ?

 La bête reprend du poil plus que jamais L’excellence machiavélique, éternelle devant l’éternel à Touba  ou l’idolâtrie franc-maçonnique version mouride des leurres. Obscur vacarme titanesque au  tambour battant religieux sous couvert d’allégeance de l’esbroufe sur fond politique, tendant à aiguillonner, par la ruse, le vote des talibés crevables à merci ?

 Le tohu-bohu des cars "ndiaga ndiaye" reprennent du service dans un charivari indescriptible, habituellement, réquisitionnés à la pelle  avec l’argent du contribuable sénégalais offert gracieusement avec bien sûr, l’envers du décor, pour la circonstance.

Une mise en scène rocambolesque de haute facture, savamment élaborée et parfaitement  dressée en coupe réglée au service du grand manipulateur, non moins converti en franc-maçon, déclaré, talibé. Le spectacle hallucinant, à la fois ubuesque et surréaliste,  n’est que partie remise, puisque le diable, bien connu, n’étant jamais à son coup d’essai, connaît parfaitement la chanson huilée pour avoir en tirer profit, lorsqu’il accéda pour la première fois à la magistrature suprême, en mars 2000, accroupi et face à Serigne Saliou,  jadis, calife Général des Mourides, PSL- ou la photo  de l’homme des reniements à répétitions, sous les feux  acrobatiques des caméras sur commande recommandée ne laissait guère de doute sur le public mouride conquis.

 Du pouvoir de "vérité" au pouvoir symbolique de l'image. Quand la photo d'actualité fait lien social au Sénégal, sous la plume fertile d’un journaliste de talent, en l’occurrence, Ibrahima Sarr !

 

 Ibrahima sar assène sa vérité : « Le vainqueur de l'élection présidentielle de l'an 2000, Abdoulaye Wade, et le Khalife des Mourides, Serigne Saliou. Le premier est venu remercier le second de ses prières. Cette image à la " Une " des quotidiens sénégalais a provoqué l'indignation des cercles intellectuels dakarois. Les défenseurs de la laïcité ont profité de l'occasion pour cogner à bras raccourcis sur le nouveau pouvoir. Ils ont vu à travers la photo Wade-Serigne Saliou une " République humiliée " ou une " République couchée " devant les marabouts qui ne sont, à leurs yeux, que des courtiers embourbés dans des relations clientélistes avec le pouvoir politique, renchérissait Ibrahima Sarr, à l’époque des faits ».

Quand le mythe s'invite à la " Une " des quotidiens

 Rappelons-nous des faits décryptés par le journal, le Matin Libre. «  Le jour même de la reconnaissance par Abdou Diouf de sa propre débâcle électorale, Abdoulaye Wade se rend à Touba, la " Mecque " des Mourides. Son voyage a été largement couvert par la presse quotidienne. A la " Une " de son édition du 21 mars 2000, Le Matin titre : " Serigne Saliou intronise Wade ". Au-delà de l'information, c'est surtout la photo qui suscite la curiosité des lecteurs. Nous y voyons Wade, assis à même le sol, discutant avec le Saint-Homme calé sur son fauteuil. Le cadrage montre bien que la photo est un instantané. Elle a été prise sur le vif pour immortaliser l'événement : la première fonction assignée à la photographie d'actualité n'est-elle pas d'installer son lecteur dans un " croire vrai " pour lui faire accepter " l'objectivité " de son discours, la preuve de l'existence des faits qu'elle rapporte ? ».

Le franc-maçon transmué en chef de clan en visite officieusement religieuse, converti sous les oripeaux mourides, en l’occurrence, Abdoulaye  Wade à Touba, en quête perpétuelle de la baraka, en vue d’obtenir le miracle exceptionnel, pour assouvir, non seulement, ses propres ambitions crypto personnelles, mais aussi, en vue d’assurer par la ruse la dévolution monarchique stoppée par la rue.

Nous sommes au cœur du mythe de l'abondance. Dans une société fortement islamisée, les pratiques magico-religieuses font place aux prières du marabout considéré comme un Saint (Waliyu). pour paraphraser Abdoulaye Bara Diop, les pouvoirs ésotériques des marabouts, leur érudition et leur piété sont, aux yeux des Wolof, les signes de leur élection divine (mayu yàlla). Nous sommes bien dans une cérémonie d'investiture avant l'heure. Ce qui donne du poids au titre de " Une " du Matin de 2000.

Symbolique de l'image ou manipulation sans modération aucune pour défendre sa propre cause égoïste ? Ou s’agit-il,  alors de la règle, tiens-moi, je te tiens par la barbichette ?

 

L’islam est-il est devenu une tribune politique lucrative ? Toutes proportions gardées, si certains hommes  s’enrichissent sans aucun doute par le raccourci politique, pour autant, pourrions-nous utiliser le même schéma dans   l’islam comme étant une source possible d’enrichissement illicite chez certains chefs religieux ?

Nous pourrions franchir un pas sans modération pour dire oui. Autre question. La parole sacrée est-elle vendable pour de l’argent, le Tout-Puissant ?

Il y aurait matière à réfléchir dans notre bien aimé pays de la Téranga, prétendument musulman. Une société à deux vitesses criardes et diamétralement opposées par une différence sociale notoire.

Les dépravations des mœurs ces dernières années ont atteint un point culminant qu’on pourrait bien se demander qui est responsable ? Le politique ou le religieux ? Ou les deux à la fois ? Ce qui est certain, c’est qu’on constate un échec cuisant, patent qui ne souffre d’aucune ambiguïté possible. Mais un tabou tout de même. L’opulence flagrante au regard de la morale des deux côtés particulièrement bien servis interpelle notre conscience. Nous sommes donc dans une société à la renverse qui ne dit pas son nom. Nous savons que la question heurte. Mais il faut poser le problème ? N’y a-t-il pas une complication d’éthique ? Désinformations, manipulations grotesques des médias d’Etat sous ordre de la propagande ordurière constituent aisément le bras armé.

C’est bien donc le même climat politique qui prévaut. On tente de décrédibiliser à la fois et le camp adverse et toutes les forces progressistes, en les ridiculisant davantage de manière à retourner l’opinion publique contre eux. Pour toutes ces raisons, on réquisitionne pour les besoins du service une certaine élite d’une stature sur commande recommandée, apparemment respectable pour inverser la tendance en faveur des oripeaux victimaires, imaginaires. Les médias d’Etat sous ordre de la propagande ordurière constituent aisément le bras armé. C’est un art de l’habileté  le plus sûr de façonner et d’éroder irréversiblement les fondements des valeurs intrinsèques de la société vers un idéal de l’arnaque organisée à grande échelle.

 

L’islam n’est-il pas détourné de sa vocation première et de ses préceptes pour n’être que la boîte de pandore et le ciel ouvert de l’arnaque organisée  au service d’une minorité convertie en bourgeois capitalistes, conservateurs devant l’éternel,  ces alliés naturels et les plus sûrs de premier plan du pouvoir politique, se sucrant allégrement de la naïveté de la majorité lassée et laissée pour compte, en retour d’un hypothétique paradis ?

 Ce pays est le seul pays au monde où l’islam est devenu une profession plus rentable que tout le reste. Nous le croyons résolument. L’homme des reniements incorrigibles semble aiguillonner dans son escarcelle tous les esprits notables notoirement achetables à la pelle qu’il asservit pour son seul compte personnel.

Sommes-nous, aujourd’hui, dans une terre étrange qui ne se reconnaît plus dans ses propres valeurs éloquemment érodées ? Les vampires sont-ils donc en transe ? Surréaliste, ubuesque devant ce spectacle titanesque collectivement suicidaire ?

En vérité, Abdoulaye wade est bien le représentant de l’étincelle  du Sénégal. Il sera brulé par la même médiocrité qu’il a bien allumée lui-même. Le Sénégal n’est jamais en guerre contre lui-même, mais en guerre contre une seule famille satanique,  boulimique, pire que tout. Voilà la vérité.

 

Celui qui a offert un 4X4 à l’agresseur de Me El Hadji Diouf est-il vraiment à la hauteur pour diriger le Sénégal ? La violence est toujours dans ses gènes. Un tic et un mode de fonctionnement qui caractérisent habituellement l’homme dans sa vraie nature. Wade père plombe la démocratie et dresse une certaine élite conservatrice pour ses propres intérêts crypto personnels. Il est tant de faire sauter les verrous si nous ne voulons pas périr. Il n’est plus apte à assurer la cohésion sociale. La démocratie biaisée à guichet fermé n’est plus acceptée, encore moins les soutiens massifs par procuration et à demi mot. Le même pyromane par qui les scandales arrivent éternellement, ne peut être le pompier de service. La diversion ne peut être vendue. La politique n’est pas une fin en soi, mais un sacerdoce. Un chef religieux ne peut être un porteur de voix dans une démocratie qui se réclame comme telle, c’est une inversion des valeurs républicaines.

En réalité, le même fasciste, à l’époque de son purgatoire, brûlait les voitures et les bus, jusqu’à commettre l’irréparable que l’on sait maintenant. C’est le propre de tout autocrate. Aujourd’hui, il s’auto déclare sur des oripeaux victimaires imaginaires. Inacceptable.

Le combat continue !

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