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diop-ahmadou-renaissance Panafricaine-Journal-liberté-démocratie- Patriotisme-le Sénégal : demain, c’est maintenant !

diop-ahmadou-renaissance Panafricaine-Journal-liberté-démocratie- Patriotisme-le Sénégal : demain, c’est maintenant !

Blog Cris le 26/08/09. Ancien pensionnaire du Prytanée militaire Charles Nchoréré de Saint-Louis du Sénégal. Écrivain-Chroniqueur. Recueil de poèmes "Vaincre" aux Editions Saint-Germain-des-Prés à Paris 1991 [France]. Auteur chez Edilivre-Avril 2012 : Collection Classique/Essai/Etude Politique/ Sénégal. Actuellement, résident à Bordeaux. Il est actuellement le coordonnateur de la Conscience patriotique pour le Changement au Sénégal -CPC- ״XAM SA REW - BËG SA REW - JARIÑ SA REW״ -Pour une Nouvelle République Sénégalaise [NRS], saine, démocratique et transparente, la vraie de l’ivraie ! Un fonctionnaire si riche, multimilliardaire des ténèbres des postes politiques aléatoires de nomination Tan Sa bula Nex- n’est jamais synonyme de patriotisme.


[Contribution]-Tous ceux qui se battent pour que Wade ne se présente pas ne travaillent nullement pour les clones de wade.

Publié par Ahmadou Diop sur 14 Décembre 2011, 19:42pm

Nous reproduisons ici ce que nous déjà  écrit. Nous ne varions pas d’un pouce sur cette question fondamentale au point de perdre notre âme.

 

 

 

Elections Présidentielles : 26 février 2012-Pour une victoire totale  et à l’envers du 19 mars 2000 pour l’honneur du candidat de l’unité  de Benno Siggile Sénégal !

 

Idy-macky sont  deux candidats de la sarabande.

 

Sommes-nous le pays à n’élire que les habiles discoureurs aux pratiques douteuses d’hier et d’aujourd’hui,  dont les professions de foi qui sont en contradiction avec leur train de vie d’antan ne valent rien ? La démocratie réelle réside-t-elle dans l’intérêt général  ou au contraire celui d’une minorité véreuse, verbeuse ? La légitimé  politique se mesure-t-elle à l’aune des fonds politiques ou de l’érection de village Safari,  oui, des ranchs de la démesure poussant comme des champignons à Mbour, sans compter l’achat d’appartements  à Paris, sortis de terre  en un quart de tour ?

 

Explication de texte de la stratégie nauséabonde  qui  prétend être l’étrange quatrième président de la république avant l’heure sous l’apparence des incohérences insoutenables du  cheval blanc de pacotille, converti en pompier de service imaginaire : le Seckisme mielleux de la rhétorique alambiquée ou  le Wadisme version ultra libérale non éclairée sur fond de démagogie grotesque. Un cocktail  explosif tendant à absoudre les consciences d’une certaine faiblesse très prononcée de l’argent racketté du contribuable. La frontière est ténue entre le premier et le second.

 

D’abord qu’est-ce que le seckisme ? C’est un  art de l’habileté occulte s’articulant sur ce qu’on pourrait appeler la "méritocratie" comme l’ossature de la réussite sociale, via le tunnel libéral des fonds politiques comme étant la seule valeur qui vaille. L’art de la philosophie du seckisme  repose  sur l’affairisme islamo- politique qui  se résume ainsi sur trois postulats essentiels :

 

 

 

1° L’argent étant la condition sine qua non est utilisé à la fois comme une fin en soi et en tant que stratégie politique, irrévocable, imparable pour gravir au plus haut sommet de l’Etat. D’où l’avantage d’en avoir à condition qu’il soit obtenu  dans les règles de l’art. Ce qui n’est toujours pas dans le cas précité, d’autant plus que la richesse de cet homme n’est jamais élucidée, puisqu’il est bien évident que le blanchiment cousu de fil blanc du protocolaire de rebeuss est la résultante de combines politiciennes savamment orchestrées au plus haut sommet de l’état. La complexité du problème ne pouvait que conduire à lâcher du lest au nom du partage du butin bien légalisé par les preuves plus que fournies. C’est un magicien obscur. Un Point. Un trait.

 

Qu’on le veuille ou non, Idrissa seck s’est bien servi des fonds politiques pour organiser un hold up électoral. Nous le disons à haute et intelligible voix. Personne ni rien ne nous fera changer d’avis.

 

 

 

Nous le répétions dans notre article précédent « pièce à conviction des nouveaux  riches de l’alternance »  que le prétendant quatrième président de la république, converti en guichet automatique  clientéliste, s’est bien enrichi gloutonnement des fonds politiques qu’il avait à sa disposition. Tout le contraire donc de ce qu’il déclarait en réponse à une question de l’honorable journaliste Abdou Latif COULIBALY, sur sa fortune, supposée être la source de sa brouille avec son père putatif. Voilà en substance ce que disait le futur quatrième Président du Sénégal : « Je ne me suis pas enrichi à la faveur du pouvoir. Les seules ressources que mon passage au pouvoir a mises à ma disposition et qui renforcent mes moyens d’intervention politique et sociale, ce sont les fonds politiques que le président de la République lui-même m’a alloués de façon discrétionnaire ».

 

2° L’incompétence communicatoire d’un certain gourou savamment incantatoire, notoire, surréaliste bien huilé sur fond de publicité à tambour battant rime avec les moyens bassement mis en œuvre, en sus d’un recrutement à tout vent et à la pelle de mercenaires intellectuels dévoués au service d’un apprenti  sorcier omniprésent, omnipotent à la poche extensible, sur tous les médias de l’abondance propagandiste, torrentiellement arrosé de briques incessantes, nous donne la mesure d’un imposteur pris la main dans le sac en flagrant délit.

 

Finies donc les campagnes électorales ringardes, clouées aux vestiaires, place, désormais, aux spectacles  déshonorables, acadabrantesques, à débit illimité, ne souffrant d’aucune ambiguïté. Où le farfelu de la tromperie à grande échelle est bien à la mesure de l’indécence titanesque. Circulez, il n’y a rien à voir ! En politique, il y  a les promesses et les programmes bien ficelés au nom de la ruse pour arriver à ses fins. Les promesses douteuses des pratiques peu orthodoxes ne suivent jamais la réalité. Et si  demain, les engagements ne suivront pas, qu’adviendra-t-il, alors, puisqu’il a été élu ? Souvenons-nous de « wax waxeet »-les promesses n’engagent que ceux qui y croient. Moustapha Niasse est bien placé pur le savoir, n’est-ce pas ?

 

Dans sa forme, le  discours lénifiant de la sémantique est très séduisant, mais en réalité, le fond n’y est pas, car la bonne marmite se sent par son  odeur. Un verbiage creux. Rien que de la poudre aux yeux de l’électorat corvéable à merci. Or, cette cuisine aux odeurs nauséabondes nous préoccupe et nous coupe l’appétit depuis mars 2000. Qui peut nous dire, hier et aujourd’hui, la compétence avérée du protocolaire historique ?

 

 

 

La respectabilité de façade est bien à la mesure de leurs moyens peu honorables dont ils disposent, aujourd’hui. Un enrichissement indigne du raccourci politique. Nous le disons à haute et intelligible voix et personne ne nous fera changer d’avis sur la question qui fâche.

 

Moustapha Niasse, Abdou Latif Coulibaly et OTD sont les seuls leaders charismatiques pour gagner les élections présidentielles de février et certainement pas des candidats à la crédibilité plus que douteuse. Abdoulaye Bathily n’est candidat de rien puisque les sénégalais, semble-t-il, votent dans leur majorité par appartenance ethnique, religieuse, même si on ne veut pas l’admettre. Depuis Senghor à nos jours, rien n’a changé. On décide en lieu et place des sénégalais par le « ndiguël » plus soft. Les affinités confrériques priment sur tout. Le vote est bien sectaire et non politique. Que cela plaise ou non ! Ce n’est pas pour rien que les candidats se bousculent chez les chefs religieux à l’approche des scrutins. C’est bien une anomalie de la démocratie dans notre pays.

 

De quelle honorabilité ces deux larrons disposent-t-ils donc ? Nous ne sommes pas des chèvres, encore moins des veaux.

 

 

 

Voilà donc le masque de théâtre  ou l’art des duperies grotesques des marchands d’illusions égrenant leurs basses liturgies !

 

Les sorties au vitriol de snippers convertis en directeurs de campagne ou de  conscience au service de groupuscules fondamentalement sectaires, qui n’ont qu’une seule obsession, le pouvoir à tout prix, nous poussent dans nos gongs pour  mettre les choses au clair et rétablir la vérité historique, confisquée. Cela est nécessaire.

 

 Malgré ce qu’on disait hier, faut-il rappeler que le parti socialiste avait un score  honorable de 36% au deuxième tour des élections présidentielles de mars 2000. Nous ne sommes pas membres de ce parti, mais force est de reconnaître qu’il reste et restera le seul organe politique le mieux structuré  de toute la sphère par essence quoiqu’on puisse dire. Croire pouvoir l’enterrer par les combines politiciennes de diabolisation relève d’une supercherie cocasse. Aucune formation ne peut gagner des  élections présidentielles dans ce pays sans la participation active de ce parti politiquement mieux expérimenté. Ils ont l’art de l’intellectualisme éclairé dans le sang.  Les campagnes de dénigrements systématiques n’y feront rien.

 

 

 

Nous ne faisons pas partis de ceux qui battent contre la candidature de wade pour le déshonneur de deux cambrioleurs pris la main dans le sac et en flagrant délit.  Aucune liturgie si puissante soit elle, ne peut se substituer aux sénégalais. Que cela soit clair !  La confiscation des esprits libres ne passera pas !

 

Tous ceux qui se battent pour que Wade ne se présente pas ne travaillent nullement pour les clones de wade.

 

 

 

Deux piètres  imposteurs de l’école de la sottise.  Circulez, il n’y a rien à voir !

 

Les  éternels cambrioleurs devant l’éternel en lieu et place de la bonne graine.

 

En politique tout se tient. Peu nous importent les invectives, nous disons les choses telles qu’elles sont et non point qu’on veuille qu’elles soient. Nous ne sommes ni des veaux, ni des demeurés au point d’être les porte-paroles de la charogne.

 

Nous continuons d’écrire ce qui nous semble être juste quoique cela puisse nous coûter. Ni rien ni personne ne pourra nous en empêcher. Des cambrioleurs culottés ne peuvent régenter la démocratie biaisée dans ce pays. Que cela plaise ou non ! Qu’ils se le disent pour dit !

 

Tous les gens de bonne foi  dans leur for intérieur s’accordent à mettre cette réalité palpable sur le terrain qui ne peut souffrir de la moindre ambiguïté avérée. Sauf peut être les hypocrites serviles et les malhonnêtes. La moindre crédibilité de ces deux personnages curieusement riches ne peut être établie quoi qu’ils puissent dire avec autant de maladresses.

 

Comment deux individus pauvres, hier, aux cursus scolaires standards du commun des mortels, qui n’ont jamais hérité d’aucune fortune connue, jusqu’ici, puissent voyager aisément au gré du vent et  aux quatre coins de la planète, venir nous dire, oui, nous sommes bien les messies de tout l’échiquier politique, sans qu’ils puissent démontrer, preuves à l’appui, la matérialité de leurs arguments ?

 

Ces deux messieurs qui semblent venir d’une autre planète nous prennent comme des gueux, c’est le moins qu’on puisse dire. En l’espace de moins de cinq ans, ils font le buzz sur les sites internet et les médias dressés  en coupe réglée. Des fortunes colossales qui dépassent la rationalité de l’entendement. Ils nous doivent absolument des explications tangibles sur la provenance de leurs ressources apparemment extensibles.

 

Les pirouettes et les petites phrases déconvenues ne suffiront point à nous éclairer sur la nature du secret de leur enrichissement éclair. Sur ce point là, aucune compromission ne sera tolérée, encore moins de dénégations, pas plus que les insultes qui relèvent d’un fantasme de  l’apanage des faibles.

 

Les seuls sons de cloche qu’on entend ici ou là, consistent à dire, oui, nous sommes blanchis par la justice. Mais quelle justice ?  Justement parlons un peu de cette justice tenue en laisse par le même politique aussi coupable et pire que tout ! On croit bizarrement à cette parodie de justice aux ordres que lorsqu’on est blanchi pour complicité active. Le protocole de rebeuss est un sacrilège et un aveu de taille sur la culpabilité renforcée de deux individus  si loufoques se disputant l’os publiquement.

 

Le voleur volé. Il n’est de pire aveugle que celui qui ne veut rien entendre et qui voit le soleil et qui ne l’admet pas.  Un train de vie qui contraste bien avec son milieu social d’antan, n’est-ce pas là  la preuve déclarée du butin partagé. Il ne faudrait pas compter ni sur le politique, ni sur la justice marchant au pas du premier pour nous éclairer.

 

Dans d’autres cieux, une certaine classe politique digne de ce nom se fait écrire librement  un livre bidon, ne reflétant nullement la véracité d’un parcours exemplaire, ici en Afrique, précisément, au Sénégal, l’imposture du brigandage se mesure à l’étouffe de détournements massifs, spectaculaires, ubuesques et surréalistes, pour se donner une fausse respectabilité de façade. Les richesses mal acquises constituent remarquablement un outil de propagande pour la campagne électorale, qui n’est rien d’autre qu’un cirque indigne de marketing politique indécent, tendant à masquer la face cachée de voleurs de grand chemin, pris la main dans le sac. Qu’on l’accepte ou qu’on ne l’accepte pas,  mais c’est la vérité sur le terrain. C’est bien la régression du politiquement incorrect dans les preuves.

 

A l’exception de deux journalistes aux âmes bien nées, en l’occurrence, ABDOU Latif Coulibaly et Souleymane Jules Diop, qui ont écrit des livres époustouflants, bien fouillés et documentés à l’appui d’une syntaxe lexicale avérée, aucun autre homme politique, en particulier, les deux les plus bavards de l’échiquier en question, n’ont écrit le moindre ouvrage  connu pouvant  étayer leur crédibilité. Ils en sont incapables techniquement et littérairement. Si d’aventure, ils l’écriraient, ce serait sûrement l’œuvre d’un nègre tapis dans l’ombre. Nous défions quiconque de nous donner la moindre contradiction sur cette question là qui fâche.

 

 Ce sont des écrans de fumée et des nullards qui se blanchissent en imams imaginaires Des guignols de premier plan qui s’offrent vulgairement en spectacle, qu’on le veuille ou non. Nous le disons à haute et intelligible voix. Ce sont des monstres médiocres, contrefacteurs. Un point, un trait. Ceux qui les croient sont naïfs ou aveugles. L’école de la sottise est comptable de son bilan calamiteux qui n’échappe à personne. Tous les deux sont des diables sortis de terre lorsque la table est bien garnie.

 

Le premier est un ambitieux de la démesure qui ne dispose guère de compétences et d’expériences plausibles, encore moins de la stature d’un chef d’état,  qu’il prétend être, tandis que l’autre n’était qu’une taupe déclarée, défenestrée comme un malfrat pour avoir fourré son nez dans les eaux troubles de l’alternance de l’arnaque savamment organisée.

 

Il est devenu un opposant suspect de circonstance et ne peut bénéficier donc d’aucune circonstance atténuante et qui ne doit sa promotion sociale que par l’entregent  de sa posture fabuleuse au lendemain des 7 mds miraculeusement volatilisés dans les méandres de la politique de caniveau bien connue.  Les discours savamment lénitifs ne sont pas réellement fondés parce que relevant d’une vaste escroquerie jamais égalée jusqu’ici. Plus ils mentent, mieux c’est.

 

 La politique est un sacerdoce et non point une fin en soi pour arriver à ses fins par la roublardise et des mécanismes douteux. Aujourd’hui, le  sénégalais lambda est largement édifié sur la nature de ces deux énergumènes qui ne disposent d’aucune distinction, si ce n’est qu’ils se sont bien enrichis par le  miracle du raccourci politique que leur avait conféré leur posture imaginaire.

 

 Soyons sérieux et conséquents  dans nos analyses ! Qu’ont-ils vraiment apporté à la démocratie et à la bonne gouvernance ? Ni l’un, ni l’autre. Ils sont incapables de fournir le moindre iota probant ou probable, pouvant laver leur honneur. Parce que tout simplement ils n’en ont pas, car leur propre culpabilité proéminente est à la mesure de leur rang. Et ile le savent eux-mêmes, même s’ils ne l’avouent pas publiquement.

 

Les sondages bidon se commandent sur commande recommandée et se vendent tel du bétail sur le marché à la pelle. Tout dépend de la poche du  commanditaire le  plus offrant. Et d’ailleurs, les instituts de sondages doivent être interdits au nom de la morale politique, car  ils trompent et déroutent le citoyen fortement formaté par la sauce infecte des mensonges blanchis en vérité. Ce n’est nullement de l’argent comptant contrairement aux idées reçues des esprits colonisés.

 

Le combat continue !

 

Ahmadou Diop

 

 

 

 

 

 

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