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diop-ahmadou-renaissance Panafricaine-Journal-liberté-démocratie- Patriotisme-le Sénégal : demain, c’est maintenant !

diop-ahmadou-renaissance Panafricaine-Journal-liberté-démocratie- Patriotisme-le Sénégal : demain, c’est maintenant !

Blog Cris le 26/08/09. Ancien pensionnaire du Prytanée militaire Charles Nchoréré de Saint-Louis du Sénégal. Écrivain-Chroniqueur. Recueil de poèmes "Vaincre" aux Editions Saint-Germain-des-Prés à Paris 1991 [France]. Auteur chez Edilivre-Avril 2012 : Collection Classique/Essai/Etude Politique/ Sénégal. Actuellement, résident à Bordeaux. Il est actuellement le coordonnateur de la Conscience patriotique pour le Changement au Sénégal -CPC- ״XAM SA REW - BËG SA REW - JARIÑ SA REW״ -Pour une Nouvelle République Sénégalaise [NRS], saine, démocratique et transparente, la vraie de l’ivraie ! Un fonctionnaire si riche, multimilliardaire des ténèbres des postes politiques aléatoires de nomination Tan Sa bula Nex- n’est jamais synonyme de patriotisme.


[Contribution]- violation et modification de la constitution instituant le poste d’un vice-président taillé sur mesure : une pièce à conviction absolue de la dévolution monarchique.

Publié par Ahmadou Diop sur 24 Juin 2011, 14:51pm

 

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Notre chemin ne peut être que celui de la liberté au nom de notre honneur. Nous attendons impatiemment le discours exceptionnel du soldat de premier plan, souleymane Jules diop, ce soir sur les ondes de seneweb radio. C’est un visionnaire coriace, redoutable dont les prédications et les prédilections ne souffrent d’aucune ombre. S’il n’existait pas, dieu l’aurait sûrement inventé sur notre terre.

Honneur aux sentinelles de la république ! Le pouvoir recule face à la détermination des factionnaires.

Farba senghor sauvé provisoirement par ceux qui utilisent la puissance publique, prenant des ailes, doit savoir que l’échappée belle n’est que temporaire. Quand le peuple se lève, rien ne lui résistera Jamais.  Et pour cause. "Kouy doro man kouy saga"-l’action sur le terrain conquis, vaut plus que les insanités stériles, pestilentielles  n’est-ce pas ?  . Le "ndiguël" des patriotes libres et insoumis à aucune écurie confrérique, aux âmes d’acier finit toujours par avoir le dernier mot.

Le retrait du Projet scélérate étant acquis par la force de la rue, passons maintenant à la vitesse supérieure pour terminer le bon boulot définitivement !

La dévolution monarchique du projet maléfique, cette pomme de discorde instituant le poste de vice-président  destiné à mettre par la ruse son cancre, est un Talon d’Achille antidémocratique inacceptable.

Wade père et son cancre : ou le seul  ticket disqualifié.  Ils peuvent jaspiner longuement, mais le rubicond ne peut être franchi cette fois-ci. Oui, nous sommes totalement unis et  d’accord, sans modération aucune à un soulèvement populaire, à la mesure de l’impunité, visant à modifier la constitution considérée comme un chiffon. Si par méprise, le régime s’écroule, comme un château de cartes, à ce moment là, les responsabilités  seront situées ailleurs, pour le bonheur des populations lassées et laissées pour compte.  Ne jamais reporter ce qui est possible aujourd’hui.  C’est une question de salubrité publique. Un tel projet ne peut être négociable. Pour une mobilisation massive, unitaire de toutes les forces progressistes contre le diable !

Debout la république ! Debout le peuple pour mettre le diable et son cancre hors d’état de nuire !

Peuple du Sénégal, le monde civilisé nous regarde ! Une poignée de godillots indignes peut-elle changer à jamais le destin de tout en peuple en colère  sur des bases non voulues ?

Croire pouvoir mettre en  bouteille la colère de tout peuple debout relève d’une illusion monumentale.

Non à la modification  incongrue de la constitution !

Pour l’abrogation immédiate et sans condition du projet de loi sur le ticket Président-Vice-président de la République !

L’histoire d’un pays est composée d’un agrégat d’hommes, de femmes disposant collectivement de la fibre d’honneur et imbus du socle des valeurs intrinsèques pour défendre les intérêts légitimes de la majorité, lorsque les fondements de la démocratie sont en péril. En définitive, cette histoire glorieuse n’a de sens que lorsqu’elle se passe là où ça se passe à un moment crucial de son histoire. Quand la République est menacée par une horde d’illuminés tendant à absoudre les consciences par la force que leur confère leur posture inventée de toute pièce, nul n’a le droit de se taire par le silence coupable  au point de se compromettre demain, dangereusement dans un cul- de- sac, quand ce sera trop pour corriger le tir.

Debout jusqu’à la victoire totale et finale ! Y en a marre !

 Un peuple, un but, une foi. Telle  est la devise de la République. Non, une dynastie, une famille pour la dévolution monarchique du pouvoir !  Non, ce n’est pas notre vision de la démocratie ! Si la République devrait vaciller dans ce sens, l’inventeur d’une noblesse de complaisance serait en mauvaise posture. 

 

 L’heure de l’harmattan a sonné pour la délivrance totale des griffes acérées d’un fascisme déclaré publiquement.  Silence radio. Où  sont donc nos chefs religieux aphones et amorphes sur la question de la moralité au nom de la bonne gouvernance ? N’ont-ils pas abdiqué de leur mission dévolue dont ils se veulent les garants  de premier plan d’une société juste fortement croyante ? Et pour cause.

 Ont-ils une relation névrotique avec le pouvoir de l’argent du contribuable, distribué sans modération, pendant que les vrais bénéficiaires lassés et laissées pour compte, comme toujours, sont renvoyés à leur grade ? Sont-ils des alliés de classe les plus sûrs de connivence  et en parfaite osmose avec le pouvoir politique des leurres, qui les arrose avec des valises de liasses rackettées sur le dos des populations aux poches supposées extensibles ?  Les questions  nous taraudent l’esprit. Notre devoir vertueux au nom de l’éthique morale est de créer les conditions obligatoires d’un soulèvement général, généralisé  et populaire pour venir à bout d’un régime aux puanteurs prévaricatrices, insolentes à grande échelle, ne reculant devant rien, dans l’espoir d’arriver à ses fins par les manières fortes.

 

Depuis qu’il est venu au pouvoir, wade n’a cessé de poser des actes  pour nous insulter  à longueur de journées, comme si nous sommes ses  propres sujets corvéables et malléables dont il a un droit de vie ou de mort, sans que nous puissions agir contre une telle propension dictée au nom de l’impunité. Son armée de députés bénis oui, transmués servilement en vulgaires “doungourous“ sémillants lui doivent soumission et fidélité à tout vent. Des  représentants du peuple ou des  piètres bouffons se prêtent  à grand spectacle infâme pour le plaisir d’un tyran débridé, en attente du retour de l’ascenseur, la seule valeur de l’ignominie qui vaille pour tirer leur miel du jeu du raccourci politique.

Pour toutes ces raisons, nous sommes bien obligés de reprendre du service pour dénoncer jusqu’à la dernière énergie l’incurie de notoriété publique d’un régime pestilentiel, pithiatique avec à sa tête un délinquant incorrigible de la mal gouvernance,  pour couvrir ses propres arrières imprescriptibles, en particulier, sa garde rapprochée bien connue de l’opprobre. Nous l’avions déjà écrit depuis longtemps, nous le répétons aujourd’hui et certainement demain, tant que  le château  de cartes n’est pas tombé pour le bonheur des citoyens pris en otages par les apprentis sorciers ne disposant d’aucune moralité probante.

Alors, nous disons, mieux vaut des hommes de poigne, éternels que des vermines éternelles de poubelle inscrites dans les annales de l’histoire.

 

Or, dans le cas précis, il s’agit bien de combattants du recul et de la médiocrité. Ils n’ont ni humilité, ni foi, aucune probité ne les couvre à jamais. Ils se servent allégrement de la République, plutôt de la servir. Tant que dieu nous donne vie, nous les dénonçons avec vigueur, jusqu’à leur défenestration totale de leur posture, à la mesure de leur  l’impunité.

Tous les intellectuels souteneurs, seront démasqués sans pitié. Ni de compromis, encore moins de compromissions, d’aucune sorte sur cette question vitale.

 

Un intellectuel n’est pas un ramassis de connaissances mécaniques, abstraites au service d’un despotisme déclaré, dans les mêmes faits, têtus. Un intellectuel dispose d’autorité, car étant, par excellence et par définition, l’expression de la  société, la cheville ouvrière des intérêts vitaux de la nation, non le griot assermenté et versatile au service d’un juge et partie, avocat de son propre fils, un flibustier effronté, dont les incompétences et les expériences imaginaires révèlent un népotisme historique au cœur d’un Etat vassalisé.

 

Comment un inculte congénital, telle une teigne à la peau,  à la langue plus que pendue, plus rapide que la vitesse de la lumière et du son, qui se taille les meilleures parts des affaires lucratives, super ministre d’Etat de quatre portefeuilles,  en sus de l’énergie, non seulement budgétivore, avec ses coupures intempestives, malgré des surfacturations de complaisance, un homme à scandales et à répétition, le sommet de l’oci en témoigne, à plus d’un titre,  de toute l’histoire politique,   qui ne dispose d’aucun mandat électif, malgré une défaite plus que cuisante des municipales de   mars 2009, qui lui renvoie à ses études imaginaires,  puisse-t-il s’arroger le culot de clamer haut et fort, que c’est que parce qu’il est le fils du président de la république, qu’il est compétent, qu’il est, aujourd’hui, la victime idéale d’une opposition déboussolée ?

Le poste de vice-président est visiblement balisé pour le cancre génétiquement inapte. Il est bien la copie certifiée conforme à l’original par sa médiocrité congénitale.

L’ambassadeur du népotisme et du despotisme hors pair,  est abonné dans une course effrénée de la part du gain et des achats massifs d’avions, entre autres, terrains, un, deux, trois, quatre et peut être plus, demain, qui sait ?

On est bien au cœur d’une république bananière, inintelligible, car pas un seul jour ne passe sans que nous entendions des âneries indignes de piètres bouffons, si ce n’est le premier d’entre eux, contre exemple de la bonne gouvernance, arrosant son cancre avec une remarquable médiocrité affligeante.

 

 

C’est ça l’alternance des nouveaux riches, riches comme Crésus,  au nom du raccourci politique, en un quart de tour,  ne comptant plus leurs châteaux, tels des champignons, sans compter des comptes bancaires bien fournis, grâce à l’argent racketté de la poche du contribuable, serviable, qu’on croit étirable, tant que cela marche.

 

Ce régime de gloutons ne brille que dans la léthargie et la médiocrité déconcertantes, les seules valeurs plus que négatives dont il se dispute l’ignominie.

 

 

Il est tant d’en finir avec eux, avant qu’ils n’en finissent avec nous, pour paraphraser l’honorable journaliste, aux âmes bien établies, Souleymane Jules Diop.

 

Alors, n’en déplaise aux piètres bouffons,  le maître des Céans et des malédictions,  en l’occurrence, Abdoulaye Wade, partira, dorénavant, qu’il l’accepte ou non !

Le combat continue !

A suivre

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