[Contribution]-wade, trans-maçonnique indocile dans l’âme au service du satanisme.

Entre la poisse au service de la sénilité dégoulinante et la détermination légitime du peuple debout et en colère contre la tyrannie, notre chemin ne peut être que celui de la liberté pour notre honneur, au nom du progrès. Un autre chemin est contraire aux valeurs intrinsèques de la république. Aurions –nous d’autre choix que d’idolâtrer à longueur de journées et à l’infini une seule famille dont l’effigie coûtant la bagatelle de plus de 50 mds, se mesure à l’érection d’une statuette éternelle, dressée sur les collines des mamelles qu’aucun visiteur ne peut manquer, sous aucun prétexte, sous le prétexte fallacieux qu’elle apporte la lumière, tout en chassant l’obscurantisme, alors que c’est  bien le contraire, qui reste une insulte permanente contre la conscience millénaire ?

Comment en sommes-nous arrivés là, au point que certains de nos valeureux ascètes oublient leur raison d’être, pire encore, laissent leurs chapelets de l’abondance aux vestiaires pour assister à la danse macabre de l’ambassadeur indécrottable, plénipotentiaire du satanisme ubuesque ?

Mais quel Satan donc les a hypnotisés et piqués pour qu’ils se détournent du Tout-puissant créateur de l’univers, quitte même à reporter leurs prières pour se mettre au diapason de l’envers du décor ?

Etrange pays ! Curieux  La vérité des faits réels dépasse la rationalité de l’entendement dans un pays présumé croyant, en particulier, musulman, en majorité, du moins c’est ce qu’on entend dire ici ou là !

Pire encore, comme si cela ne suffisait pas et pour couronner le tout, le même chef d’orchestre  méphistophélique a l’outrecuidance de sermonner tranquillement que Serigne Touba et El haji Malick Sy passaient devant les statues sans rien dire. On est bien dans l’insulte permanente et à l’absolution totale des consciences érodées ouvertement au grand jour, sans qu’il y ait la moindre réprobation probable ou probante.

Etrange pays phagocyté par la franc-maçonnerie à outrance ! Jamais une telle insulte proéminente n’a été portée jusqu’à présent dans l’histoire glorieuse depuis des millénaires. Jamais un affront aussi massif n’a vu le jour dans ce pays au point que le culot est bien à la mesure du mépris abyssal. Dés lors, on devrait s’attendre au pire que nous connaissons, aujourd’hui, en attendant d’autres actes encore plus coriaces, demain, si nous accepterions le culot de l’actualité, qui risque de passer comme une lettre à la poste, tout comme le reste d’ailleurs. Même les grandes figures remarquables sont reléguées au second plan pour n’être que de  simples sujets insignifiants

C’est pourquoi lorsque la chose vitale qui est la démocratie,  notre sens de vie par essence, est confisquée par une pognée d’illuminés, convertis en esclaves de la sarabande au service d’un sénile insignifiant historiquement, chaque homme valide se doit d’être un soldat, une sentinelle pour défendre vaillamment la république, au risque de sortir de l’histoire pour ne plus y être entré. C’est donc une question de vie ou de mort.  Entre l’honneur ou le déshonneur, que faut-il choisir ? Vivre dans la servitude ou mourir dans l’honneur comme Lat Dior Ngoné Latir ?

La réponse est évidente, si nous voulons que demain, les générations futures prennent le bon exemple que nous aurions déjà exécuté librement et en toute conscience, sur des bases voulues, pour que triomphe à jamais, la bravoure séculaire et éternelle devant l’éternel, nous ne devons pas rater le train de la victoire, à ce prisme là, nous devons nous atteler à la tâche et dés maintenant, en mettant les pieds dans le cambouis pour que les éternelles vermines soient  vaincues et gommées de la mémoire collective. Finies donc les incantations stériles et place maintenant à l’action réelle des preuves tangibles pour terminer le bon boulot déjà entamé depuis lurette, car le travail du M23 sur le terrain conquis vaut plus que les insanités de la charogne, les armes empoisonnées des faibles, des vaincus, des couards, minables, condamnés et condamnables par la trahison dont ils se disputent l’ignominie jusqu’à la fin de leurs jours.

Alors, la parole de cette femme aux valeurs plus que douteuses, retourne sa robe au gré du vent, selon qu’elle soit en bonne posture, au bon moment, au bon endroit, pour se convertir à la sauce infecte de la vague déboussolée. Ceux qui incarnent l’ignominie se reconnaissent par leurs preuves bien établies.

A l’instar du Grand maître de l’opportunisme, en l’occurrence, Iba Der Thiam, initiateur du mouvement Abdoo niou doy, mangeant dans tous les râteliers, professeur émérite dans l’art du mensonge adroit, Aïda Mbodj par mimétisme, emprunte les mêmes couloirs de l’indécence, pourfendeuse de l’opposant historique, qu’elle traitait de fantomas, aujourd’hui, devient la griote  servile ,assermentée du même maître du palais.

Avec ou sans autorisation du Préfet des Wade, Y'en a Marre doit nécessairement dormir à la belle étoile, à date échue, alors que le candidat disqualifié pour la course présidentielle brave tout un peuple debout et en colère contre le tyran décrié par le Sénégal et la communauté internationale.

Le combat continue !