Excès de zèle, jouissance, autoritarisme et abus de pouvoirs du traitre tribaliste. Voilà les n exercices auxquels s’attèle le boucanier, le personnage de la surcharge pondérale !
Nous faisons partie de ceux qui croient fermement que Marième Faye a son quota dans le Gouvernement de capharnaüm en bande organisée. Certains Ministres sont choisis par son Macky Sall, d’autres sont nommés sur proposition des partis alliés, le reste est réservé aux hommes et aux femmes de la première Dame comme l’a si bien dit le Ministre Mbagnick Ndiaye qui n’est pas n’importe qui dans la dynastie FAYE-Sall.
27 Novembre 2019 : La Galaxie des Proxénètes et les Incartades d’un Multirécidiviste, Prédateur Nègre de Service et « la Caste Des Talla et Cie ». Par Ahmadou Diop.
Insolite ! Macky Sall, le prédateur nègre de service, prédicateur, prédateur et la pègre familiale ethnique : ou le plus grand nègre de service, peint sous les défroques victimaires des leurres, joue sans trêve sur le piano « américano-français ».
Que nenni, depuis 2012 à nos jours, la suprêmatie de la particratie familiale, ou le label foutoir de la forfaiture d’une rupture éclopée n’en démord jamais, maintient le cap, et ce dans une désinvolture, nonobstant les tirs groupés de tout un pays qui se dresse debout contre la tyrannie népotique et la trahison à ciel ouvert d’un banditisme familial, opportuniste.
Je le rappelle et le martèle à tout instant à chaque fois qu’il est nécessaire. Et la Fondation “Servir le Sénégal”, l’autre scandale gigantesque, parmi d’autres qui se perlent à la pelle D’où viennent donc ces milliards, sortis de terre et des ténèbres, on ne sait où et comment ? Il n’y a jamais eu d’audit sur cette nébuleuse mascotte.
Le 27 juin 2012/ L’OPA sur les audits : à qui profite donc le crime ? Par Ahmadou Diop.
Les audits de la discorde et à géométrie variable, continuent en grande pompe, selon les mauvaises postures au mauvais endroit et au mauvais moment. La montagne a accouché d’une souris.
Nous sommes au cœur d’un régime présidentiel, qui tourne à plein régime. Il dispose de tous les leviers du pouvoir par sa posture que lui confère la constitution. Il est donc par essence juge et partie. Point de contre-pouvoir, aucune ligne Maginot n’est dressée contre lui. Il décide tout seul. C’est un véritable monarque de la République. Ce n’est pas pour rien qu’il demande orbi, urbi, une majorité présidentielle à l’assemblée nationale.
Si l’on veut réguler des prévarications à répétitions, il faudrait que l’on mette nécessairement un directoire collégial de magistrats totalement libres et indépendants du pouvoir politique. A l’instar des grandes démocraties, il est souhaitable de réformer le statut pénal du président de la République. Mais faut-il qu’on ait le courage de dire haut et fort que le principe d’immunité du Chef de l’État devient dans les faits, une impunité inacceptable, alors que pendant ce temps, le citoyen lambda est embastillé le plus souvent pour des broutilles ?
Marième Faye crée sa fondation « Servir le Sénégal » pour se servir elle-même et servir politiquement son mari, alors qu’aucune disposition de la constitution ne prévoit nullement une telle posture. Exemplarité ou indécence absolue ? Les pratiques douteuses sont têtues. On utilise les deniers publics à des fins de propagande ou de culte de personnalité et de l’idolâtrie.
La fondation bidon, « Servir le Sénégal » : une grosse arnaque. Aussi extraordinaire que cela puisse paraître, elle est exclusivement gérée par la première dame, Marième Faye et son propre frère, Daouda Faye, responsable de la communication et des relations extérieures. Incontestablement, la terminologie laisse apparaître une opacité manifeste, qui en dit long sur cet embrouillamini mystificateur, hautement toxique. Quelles relations extérieures ? Peut-on parler de transparence dans ces conditions ? Cela nous paraît totalement décousu et nébuleux au regard de la morale. D’où viennent donc ces milliards sortis de terre ? Motus et bouche cousue. Allez savoir !« Je suis le président de la républiques, je nomme qui je veux ». Il y’a lieu de s’interroger sur l’éthique d’un communautarisme politico-ethnique, qui ne dit pas son nom.
Mansour Faye, est nommé en mai 2012, délégué général à la protection sociale et à la solidarité nationale, n’a qu’un statut scolaire standard, douteux : « nous sommes des sénégalais méritants ». C’est des légèretés fumantes ne tiennent que sur une ligne crête. Sa sœur veut aussi lui offrir la Mairie de St Louis taillée sur mesure et sur un plateau d’or. Chose promise, chose faite. Alors qu’en réalité, Mansour Faye n’a ni la qualité requise, ni l’expérience, ni la capacité, ni l’étoffe, encore moins le profil de l’emploi, approprié.
Mansour Faye détient par devers et de loin plus de postes clés que Karim Wade, qui fut le super ministre d’état du Ciel et de la Terre et des infrastructures.
De délégué à la Protection sociale et à la solidarité nationale, il cumule par la suite et la qualité de maire de St Louis et ministre de l’hydraulique et de l’assainissement. Et ce n’est pas tout. Il a gravi rapidement en un temps record des échelons indus. Il est désormais Ministère des Infrastructures, des Transports terrestres et du Désenclavement, Ministère de l’Hydraulique et de l’Assainissement, ainsi que le Département du Développement communautaire et de l’Équité sociale avec en prime un budget extensible, et dont l’opacité ne souffre d’aucune moralité. C’est un curieux personnage tout à tout qui bénéficie en tout lieu d’une impunité et d’une présomption de culpabilité avérée.
Comme pour ne rien arranger, en septembre 2020, selon une certaine bien informée sur la manière aléatoire de l’escroc, Mansour Faye, par ailleurs beau-frère du président, était chargé de l’achat et de la distribution de l’aide alimentaire d’urgence pendant la pandémie de Covid-19. Une aide de 69 milliards de francs CFA (plus de 105 millions d’euros). Mis en cause pour mauvaise gestion, il affirme qu’il ne répondra pas à une éventuelle convocation de l’Ofnac, l’Office national de lutte contre la fraude et la corruption. Évidemment, s’il a eu une fois de plus un tel culot, c’est parce qu’il bénéficie d’une protection directe de Macky Sall, juge et partie, le met à l’abri de toute poursuite judiciaire. Et ceci n’est que la face cachée de l’iceberg, de ce que nous savons d’un régime prédateur, des privilèges et des passe-droits en bande organisée et en vase clos. Depuis 1980-2005-2012, en particulier en 2013 jusqu’à aujourd’hui les populations dans la banlieue de Dakar sont victimes d’inondations récurrentes, y compris même le département de Keur Massar décrété par Macky Sall, pour des raisons bassement politiques.
L’anarchie et le manque de canalisations dans les zones submersibles en sont la cause directe. Des intempéries récurrentes Et l’état en grande pompe avait pourtant promis des logements sociaux adaptés. Et les dégâts étaient évalués à plus 65 milliards de francs CFA (environ 130 millions de dollars US), selon des estimations du gouvernement et de la Banque mondiale. Tout ça n’est en définitive que du vent et des mensonges organisés par l’état indigne et mafieux, pour croire tromper durablement les citoyens présumés oublieux. En vérité, le pouvoir trompe-l’œil promet plus qu’il n’en fait en termes d’action matérielle. C’est qui l’intéresse de prime abord et les dégâts étaient évalués à plus 65 milliards de francs CFA (environ 130 millions de dollars US), selon des estimations du gouvernement et de la Banque mondiale. C’est de confisquer le pouvoir et la démocratie.
Le 23 octobre 2013, je titrais une fois de plus dans mon blog et sunuker.com : « L’étrange fermeture du marché historique de Sandaga. »
Voici donc ce que j’écrivais : « Hier, à minuit, le marché historique Sandaga est fermé provisoirement sur décision préfectorale, pour des raisons de sécurité, nous dit-on. Une décision politique et non certainement pas pour des raisons de sécurité habilement distillées. Une curiosité. Un test grandeur nature pour servir un ballon de sonde du politiquement incapable. Le provisoire sert toujours d’acquis. C’est la règle ubiquitaire.
Dans ce pays, il n’y a plus de contre pouvoir, en dehors de l’état le tout puissant, au service du dictateur incorrigible Macky sall, qui fait vent debout contre tout et imprime sa propre marque.
De quel droit donc juridique, Alioune Badara Diop, le préfet de Dakar dispose-t-il, alors, pour prendre la décision de fermer unilatéralement le marché historique Sandaga, même si celui-ci est fermé provisoirement ? La parole du politiquement incapable se reniant éternellement, est-elle de l’argent comptant ? Ce qu’il le dit le matin, il le dédit le soir même avant de se coucher et tente de le justifier par des mensonges adroits. L’abondance du discours cache bien des zones d’ombre. »
4 jours après, c’est-à-dire 27 octobre 2013, comme par hasard ou par un accident, un incendie a « complètement détruit », un vendredi le marché Sandaga, le plus important de la capitale sénégalaise, annoncent les sapeurs-pompiers.
150 cantines de ce marché situé dans le quartier d’affaires du Plateau ont été détruites, selon plusieurs médias, qui citent le colonel Senghane Diagne, porte-parole de la Brigade nationale des sapeurs-pompiers.
Selon Seybani Sougou, le juriste, le lanceur d’alerte, personne n’est dupe : dans cette affaire, le ministre transhumant [ps] Alioune Ndao qui a renié ses convictions d’antan, est un cheval de Troie, qui agit par procuration, pour le compte de Macky Sall. Il n’y a plus matière à débat : l’arrêté n°342/A-DK-PL/SP du sous-préfet de l’arrondissement Dakar Plateau en date du 30 juillet 2021, approuvant l’autorisation de démolition du marché de Sandaga est frappé d’une illégalité totale.
Wade-Macky : « le Géniteur » et le Traitre Tribaliste. Par Ahmadou Diop CPC.
Quoique l’on puisse dire, le premier, c’est-à-dire, wade, un démocrate, a séjourné plusieurs fois en prison sans répit, et s’est farouchement opposé durant 26 ans et à couteaux tirés contre le pouvoir tyrannique, le tout-puissant du parti socialiste, a donc manifestement permis l’alternance, au soir du 19 mars en 2000.
Alors que Macky Sall, le véritable diable tribaliste, l’opportuniste, arriviste, m poltron, lâche même, était totalement inconnu hier dans l’échiquier politique sénégalais, se fraya avec fracas un chemin et à bras raccourcis par des postes de nominations, s’érigea en un quart de tour en victimaire des leurres et par la baguette magique de la référence mondialiste.
Soyons justes et honnêtes! Entre Wade-Macky Sall, il n’y a pas l’ombre d’une comparaison possible.
Wade n’a jamais déporté des sénégalais de force ou de gré, avait toute la latitude de charcuter et réduire au silence le renégat pour le faire définitivement, quand il promettait de créer un gouvernement parallèle en cas de victoire. En 2012
Sans Abdoulaye Wade Macky Sall ne serait rien. Et le contraire n’est pas autorisé. Et la morale aurait voulu qu’il soit meilleur que son devancier, puisqu’il nous avait vendu la rupture, la sobriété, la transparence et l’efficience. Ce n’est pas le cas, mais du vent.
Le personnage curieux dans son dernier meeting au stade Amadou Barry laissait entendre que le régime avait commandé du matériel électrique pour faire du FOXARCI. Pourtant ses prédictions cataclysmiques n’ont jamais eu lieu.
Le traitre tribaliste méconnaît les mécanismes des arcanes de l’administration et ignore la bonne marche d’un état de droit régalien, tue la démocratie et les libertés fondamentales ne respecte nullement les institutions, les met au pas pour jouir du pouvoir et assouvir ses propres ambitions en toute impunité
Le jouisseur du pouvoir s’achète tout seul un Avion A 320 flambant neuf, construit un palais et commande un bateau, choisit ses concurrents , imprime illégalement les parrainages, fait voter le code liberticide électronique, procède par des décrets inflationnistes nomme ses” doungourou ” fidèles captifs, et gratifie hystériquement ses généraux, plus de 50 officiers supérieurs ont un caractère de corruption sans éthique ni équité- le Sénégal compte plus de hauts gradés et d’officiers supérieurs que la France
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