Locales : Y aura-t-il une alliance de l’opposition et quelle alliance, comme principe de précaution, face à un dealer, est prisonnier dans son propre piège ?
La date échue du 23 janvier 2022 : une impulsion salutaire, dynamique pour les législatives de 2022, et pourquoi pas à l’horizon 2024 et contre le label de la tyrannie. Assistera-t-on à un remake, ou plutôt à un prélude pour le changement réel, radical, allant dans le sens des progrès exponentiels et dans l’intérêt exclusif du pouvoir du peuple et par le peuple ?
Ou alors, s’agira-t-il tout simplement d’une bande annonce du recul, à savoir la même tambouille que l’on nous a toujours servie, depuis hélas, le tristement célébrissime regrettable soir, historique du 25 mars 2012 à nos jours ?
Et auquel cas, malheureusement, nous sortirons définitivement dans la mémoire mondiale. Toujours est-il que la bonne marmite se sent par son odeur. Le Sénégal ne partira jamais, tant que le pouvoir familial, cliniquement clanique, apparaîtra plus structuré que l’ensemble d’un pays entier et soumis. Je ne cesse de le rappeler et pour cause. La défense des intérêts d’un peuple est proportionnelle au degré de sa conscience ! Et il ne peut en être autrement.
C’est la règle. Car quoiqu’on dise, nous méritons bien ceux qui nous dirigent. Allons, maintenant droit au but et sur le sujet qui fâche, pour y apporter et notre grille de lecture et notre éclairage et nos expertises sur des bases voulues en toute indépendance et en toute conscience, et ce concernant le paysage politique singulier sénégalais !
Et je rappelle aussi au passage un principe de précaution : le real politik. C’est quoi donc ? On l’oublie souvent.
À chaque situation exceptionnelle des solutions exceptionnelles inédites. Par la seule volonté du tyran encombrant et par l’entregent d’une prétendue cour spéciale politique ( crei), ou le bras armé du dictateur dans les faits têtus- un bien Grand mot cousu de fil blanc-, conflit d’intérêt manifeste, pour l’instant, Karim Wade a été arbitrairement gracié, avant d’être déporté au Qatar en catimini et manu militari, on le sait, et dont le moins que l’on puisse dire, n’a pas encore dit son dernier mot. Or, selon l’ex-ministron de la justice de Macky Sall, Sidiki Kaba, dans une interview, la crei a écarté « l’interdiction de l’exercice des droits civiques prévus l’article 34 du code pénal. Pourtant, la privation du droit énoncée aux articles L 31 et L32 appliquée est contraire à l’article 8 de la déclaration des droits de l’Homme.
. Ces dispositions ne sauraient être conformes à la constitution. N’eût été la baraka du Khalif Général des mourides, Serigne Mountakha Mbacké, le metteur en scène, le combinard- malfaiteur, la tempête Tropicale de mars dernier aurait failli l’emporter dans les décombres de l’histoire et dans les poubelles.
Khalifa Sall, lui aussi est passé sous la potence du rouleau compresseur, a perdu et sa qualité de déporté maire de la Capitale sénégalaise sur décision du politiquement incapable et par ses coups tordus. Modification du code électoral L29 et L 30. Selon le calendrier électoral illégitime de l’escroc, le fabricateur des fake news et pour les besoins du service, les deux candidats cités plus haut, sont hors course, se présenteront à la présidentielle de 2024.
NB : lors de la comédie présidentielle de 2019, Pape Diop Bok Guis Guis a été lui écarté les lois liberticides et illégales des parrainages. Une forfaiture qui n’en est pas une.
Quant à Ousmane Sonko, certes présumé innocent, le leader pastef s’est crée sur le vide, s’y fraya un chemin, a obtenu 15%, est classé 3 ème , occupe le terrain, serait-il disculpé ou au contraire condamné, bénéficiera-t- il à son tour d’une peine de mort politique sur l’affaire d’état Aji Sarr / ou le complot, selon ma conviction, viol pour les autres ? Et auquel cas il faut rebattre les cartes. Tout y est. Mais d’ici là, Wait and see !
2023 est une date charnière : seule l’unité de l’opposition représentative et le rapport de force priment sur tout , face à Macky Sall et le label des vacataires , sous la bannière estampillée BOK yakaar des malfrats, y compris Ndamal Cadior, l’autre dealer en perte de vitesse, pour que l’opposition gagne à date échue !
Coalition de l’opposition n’est pas dupe, et non celle de Pastef : il y a nuance. La coalition n’est pas synonyme de dilution et « pour le compte de Sonko ». La France, qui est notre référence fait pareil.
Le salut de l’opposition se trouve dans la coalition, face au rouleau compresseur. C’est la seule chance de l’opposition si elle veut remporter la victoire sans trop de casse, face aux clusters de la mouvance présidentielle ! Alliance-contre nature, disent les autres. C’est mal connaître la politique, face à l’urgence absolue, prioritaire. À défaut, le spectre de la défaite est assurée, face au camp d’en face. On ne récolte que ce que l’on a semé, n’est-ce pas. Il y aura bel et bien des gueules de bois, quand demain fera jour.
Real politik : Wade jette le pavé dans la marre de Sonko et de serigne Moustapha Sy et Cie. Quoiqu’il arrive, la coalition de l’opposition est nécessaire et nécessaire. C’est une garantie. Dans le cas contraire, le verdict amer tombera comme un couperet habituel. Mais la question est de savoir qui sera le chef de fil de l’opposition ? C’est le PDS a plus de députés que tout le reste de l’opposition. Ce n’est pas Sonko même s’il est classé 3 ème, encore moins Idrissa Seck, le dealer, ne peut pas en aucun cas l’incarner, en ayant un pied dans l’apr/ Cese/ conseil économique social et environnemental, est le recyclage « des déchets toxiques ».
Coalition de l’opposition : Pastef (Sonko), PDS, le parti de l’unité et du rassemblement( PUR), Taxawu Dakar, RND de Dial diop- les discussions sont en cours, mais à ce jour, il n’y a eu aucune annonce officielle. NB : toute dispersion ou toute division, peu ou prou, entraîne une débâcle, fait le lit du pouvoir autoritaire, illégitime. Déthié Fall, le dissident, se déclare non aligné, fait en coulisse une discussion, avant de se lancer dans la coalition, écrit-on. Pour l’instant, il n’y a qu’une voix dissonante à tort ou à raison, c’est celle de Thierno Bocoum.
Lorsque les intérêts supérieurs de la nation sont menacés par une bande organisée de faquins, nous devons faire appel à des stratégies imparables pour les mettre hors d’état de nuire. C’est ça le real politique, qui est devenu un principe sacré dans lequel le rapport de force s’impose et ce pour l’intérêt national. Face à l’impunité de la république mafieuse, familiale des prédateurs des corrompus et des privilèges et des passe-droits, des lois d’exception taillées sur mesure, pour ce faire, nous n’avons d’autres choix que de nous unir, et faire corps et cause commune pour endiguer le triomphalisme du mal qui n’a que trop duré, si nous voulons en finir avec lui.
14 Janvier 2019 : Sénégal /Code des communications électroniques : bienvenue « les Bonnets Tricolores » ! Par Ahmadou Diop.
Le changement ne viendra que du pouvoir et par le peuple, et ce, par notre action matérielle, qui demeure plus que jamais le vainqueur, aura le dernier mot, face à la démesure d’un guignol et sa cohorte de fripouilles pouilleuses, toutes alignées, tels des moutons tondus, dressés en coupe réglée.
L’histoire d’un peuple, déterminé, debout, et fier de l’être, se passe nécessairement au bon moment et à un moment crucial de son histoire.
Le monde appartient à ceux qui ont une histoire. C’est la règle dynamique. Or, ici, en Afrique, en particulier au Sénégal, qui est par définition, le laboratoire des gangsters politicards, les lascars plus sont les plus structurés, apparaissent nettement plus forts que la majorité apparentée somnolente, dans les faits têtus.
Ou alors, sommes-nous des couards par notre consentement réactionnaires, pour nous laisser emberlificoter par un vagabond, un aventurier, introverti, qui est sorti de nulle part, si ce n’est à cause de ses mrds de FCFA , dans les caisses de l’état et dans des postes de nomination TANSABULA NEX ? Comme l’a si dit un adage de chez nous, MBEDIU KANAM BOROM MOKOY FADIAL BOPAM.
Le bon dieu ne donne aux peuples que ce qu’ils lui demandent. Autrement dit, le salut du Sénégal dépend de la volonté des hommes et des femmes. Rien ne change chez un peuple si ce même ne change pas ce qui est en lui-même.
Le tyran a la peau dure. À chaque parodie électorale, le même refrain est exhumé. Et rien n’y fait. À quelques encablures des locales du 23 janvier 2023, les mêmes pratiques usuelles reviennent en surface. face à la censure et aux restrictions drastiques d’internet, notamment contre les libertés fondamentales de conscience, et dont le but est de voler à tout les scrutins de pacotille, nous devons tous agir ensemble comme un seul homme pour mettre fin à la république fantoche, ordurière, capitularde et ses dérives exponentielles et « clusters « traitres unifiés sont tous des hors-la-loi.
L’appel à la réaction doit absolument sévir, et constituer une digue contre le combinard, le dealer ! Pour commencer, pour nous autres membres actifs de la conscience Patriotique- XAM SA REW – BËG SA REW – JARIÑ SA REW- les dérives liberticides sur internet du fasciste, n’auront aucun impact ; minime, soit-il, sur notre ligne éditoriale. La politique TAPALÈ- ou la mécanique confiscatoire ne passera jamais, n’est qu’une obstruction aux libertés d’expression. On ne nous a jamais autant foulés du pied et manqué de respect que sous l’ère du Caniche de l’occident. Qu’il se le tienne pour dit ! Le casus belli appelle à la réaction ! L’énormité chevaleresque d’un arrogant, dont le mépris correspond à sa nature, fut-il un soi-disant poste de président anormal, voyou, ne peut avoir aucune emprise dans nos consciences fertiles.
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